Le Marché Monétaire Marocain élargi

COMMERCE EXTERIEUR ..................................................3 1.1. Projet de réflexion sur la politique de change et croissance ........................... 3 1.2. Projet d’analyse de l’évolution du taux de change et impact sur l’économie marocaine .............................................................................................................. 5 2. COMMERCE EXTERIEUR : QUEL APPORT POUR LA CROISSANCE ? ...............................8 2.1. Commerce extérieur et croissance économique

économique fonctionne de manière autonome puisque chaque action de production entraîne une distribution de revenus qui est source de consommation. Selon l’analyse classique, l’équilibre global de l’activité est obtenu grâce à la régulation par le marché. Cependant, il apparaît pourtant que l’évolution de l’activité économique ne se fait pas selon un rythme homogène. On assiste, de fait à de fortes variations de l’activité économique qui alterne phase d’accélération et phase de ralentissement

Remerciements…………………………………………………………………………2 Sommaire………………………………………………………………………………. 3 Liste des figures…………………………………………………………………………5 Avant propos …………………………………………………………………………….6 Introduction………………………………………………………………………………7 Partie I : EVOLUTION DU SYSTEME BANCAIRE MAROCAIN……………...…9 Section 1 : Historique…………………………………………………………………10 Section 2 : Loi bancaire de 1993……………………………………………………...10 Partie II : PRESENTATION DE LA BANQUE POPULAIRE………………………12 Section 1 : Présentation du groupe banque populaire………………………….……13

des institutions et produits financiers islamiques ..................................6 Section1: Aperçu historique : économique, politique et religieux ...........................................6 Section2: Exigences et Opportunités offertes par le marché ...................................................9 Section3 : Ethique financière islamique.................................................................................10 Chapitre II: Cas des Banques Islamiques à l’international ............

gouvernement entendu. Cela sous réserve d'approbation par voie réglementaire. La banque centrale est par définition le régulateur du secteur bancaire et le pilote de la politique monétaire du pays. C’est Bank Al-Maghrib qui surveille les niveaux des prix, agit sur les taux de crédit, sur le niveau de la liquidité sur le marché… Dans les pays développés, la banque centrale, à l’instar de la Federal Reserve américaine, ou la Banque Centrale Européenne (BCE), intervient très souvent pour donner un souffle

INTRODUCTION Les banques assurent un financement monétaire permanent de l’économie marocaine. Et avec les récentes évolutions des réglementations et pratiques bancaires, les banques se doivent d’innover et de développer des stratégies relationnelles tout en accordant un intérêt très particulier à leurs clients. Ceci repose sur une stratégie solide, une veille pertinente au niveau des performances. Ainsi dans un environnement de plus en plus compétitif, les dirigeants sont appelés à assurer

du Royaume du Maroc Croissance Economique et Développement Humain* * Ce rapport s’appuie de manière substantielle sur les contributions des membres du groupe CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT HUMAIN : " Evolution et perspectives de l’agriculture marocaine " (Najib Akesbi), " Croissance économique et emploi " (Nizar Baraka et Ahmed Benrida), " Migration, diaspora et développement humain " (Jamal Bouoiyour), " Evolution des performances du secteur agricole " (Rachid Doukkali), " Secteur privé et développement

............................................................................5 Introduction ......................................................................................................................... 12 Chapitre 1 : Etat des lieux du marché bancaire ..................................................................... 15 A. Cadre réglementaire ..................................................................................................... 15 1. Cadre général ...................

scrupuleux, échappant au contrôle des autorités de régulation. Découpés puis insérés dans des produits financiers complexes, qui en ont démultiplié le risque, ces crédits ont été revendus à des banques et à des investisseurs du monde entier. Lorsque le marché immobilier américain s’est mis à chuter, ces crédits n’ont plus été remboursés, provoquant des pertes très considérables pour les acheteurs de produits subprimes. Le 18 Juillet 2007, lorsque le banque d’affaires Bear Steams annonce la faillite de

financement des guerres en Irak et en Afghanistan et la consommation des ménages. Aux USA, le crédit à la consommation des ménages constitue le moteur de la croissance économique. Pour doper l'économie et encourager la consommation, les autorités monétaires ont baissé le niveau des taux d'intérêt. Ainsi, les ménages américains se sont rués sur le crédit quasiment gratuit (taux d'intérêt :1%) et le secteur immobilier a largement bénéficié de cette manne financière. Cependant, les taux d'intérêt du crédit