Le Marché Singulier

Chapitre1 : 1) A quelle personne est écrit le texte ? 1er personne singulier 2) Pourquoi ne peut-il aller en vacances ? chômage du père 3) Quel sport pratique-t-il avec Da ? pêche Chapitre2 : 4) De quelle couleur est le chat ? noir 5) Qui est Da ? grand père d’adoption 6) Est-ce que le garçon a des frères et sœurs ? fils unique 7) Comment Da manifeste-t-il sa présence, lorsqu’il va au marché ? 3 coups de klaxon 8) Quel est le vrai prénom de Da ? Damascène Chapitre3 :

terrain d’investigations sociologiques proprement dit. Bien des recherches empiriques ont, en revanche, put traiter de questions d’argent au sein de la famille, de l’entreprise, des groupes sociaux. Des lieux, tels que la banque, la bourse, le marché des changes, etc. ont été investigués. Mais l’ensemble de ces travaux sont, si on accepte l’expression, éparpillés dans des champs disciplinaires ou sous- disciplinaires qui parfois communiquent peu entre eux. Il y aura donc à faire, en ce domaine

agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; 15 Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. L’Albatros poème issu des Fleurs de mal et écrit par Charles Baudelaire en 1859 narre une scène de vie en mer dans laquelle les hommes tournent en dérision des albatros. Charles Baudelaire est un poète français, poète du XIXe siècle, précurseur

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tragique. Bérenger est de plus en plus en pression de là à devenir rhinocéros, à quitter l’humaniste pour la rhinocérique en se métamorphosant. * Utilisation de « je » et « eux, tout le monde » montre la confrontation, le rapport entre le singulier et le pluriel cela renforce la solitude et l’attirance de Bérenger vers le groupe le plus dominant ce qui va inverser la norme « Je suis un monstre, je suis un monstre » (il se considère comme un monstre en faisant cette anaphore mais à la base ce

différences existent-ils avec celle de Maslow ? Selon Alfred SCHUTZ, il existe trois besoins interpersonnels fondamentaux : * le besoin d'inclusion : C'est le besoin d'attention et de reconnaissance des autres, (Désir d'être en lumière, singulier et remarqué). Á l'autre extrême, on retrouve, l'effacé, le tranquille qui n'aime pas être remarqué, ni être vu du public. (Plusieurs personnes de ce type dans un même groupe l’empêchent de se développer) * le besoin de contrôle : C'est le

Paragraphe n° 1 : Dans la scène étudiée, Phèdre évoque son sentiment d'amour passionnel, la transformant ainsi en texte lyrique dans lesquelles des émotions personnelles du personnage sont divulguées. Tout d'abord, c'est la première personne du singulier qui est employée tout au long de l'extrait (« Je le vis », « mes yeux »). En plus de cela, nous pouvons remarquer une ponctuation expressive, constituée principalement de points d'exclamation comme ponctuation de fin de phrase alliée à des phrases

Grande Ourse : constellation (étoiles) frou-frou : petit bruit de tissu froissé vin de vigueur : un vin qui donne de la force Une lyre : instrument de musique antique, à cordes pincées, symbole de la poésie Rq : le mot « amour » masculin au singulier devient féminin au pluriel (« que d’amours splendides j’ai rêvées ») Les procédés d’écriture : - Métaphores (images) : « j’étais ton féal » (v.3) = le poète est au service de la Muse, de la poésie/ « Petit-Poucet » : il se compare au personnage

«CASANOVE », 94. Une marche d’armée» (65/367-368) A la fin du XVIIe siècle, les premières expositions de peintures et de sculptures instaurées par l’Académie royale de peinture ont lieu dans la salle carrée du Louvres. Baptisées Salon , elles participent à la libération du carcan qui immobilisait la peinture dans un monde d’art mécanique. La critique d’art est née de ces expositions afin de faire connaître

autre moi » que nous croyons voir dans chaque individu, car autrui est aussi un étranger. Ainsi, dans un deuxième temps, nous pourrons nous demander si comprendre autrui ce ne serait pas au contraire une recherche, une volonté de connaître cet être singulier. Mais comment l’aborder personnellement, comment relier cet autre qui n’est pas moi à moi-même ? On peut parvenir à comprendre l’autre grâce au dialogue, le but étant de saisir sa fin, soit ses intentions, ses émotions, ses propos. Cependant, le