Le Marché Singulier

comme une vérité générale. Elle utilise un ton provocateur à l’égard de l’homme car elle s’adresse à son égal : « cherche, fouille et distingue, si tu peux ». Elle l’apostrophe à plusieurs reprises : « Homme » et utilise la deuxième personne du singulier « tu sembles ». La présence de l’impératif à de nombreuses occasions dans le texte comme « observe » ou « rends-toi à l’évidence » démontre un sentiment de confiance, une certaine défiance vis-à-vis de l’homme. Elle n’a pas peur car elle parle

personne : première, deuxième, troisième du singulier ou du pluriel 2) son temps : présent, passé, passé composé, passé simple, futur… 3) son mode : indicatif, subjonctif, conditionnel, impératif, infinitif ou participeex : ils voient  = 3e pers. du pluriel du verbe voir, présent de l’indicatif INDICATIFTEMPS SIMPLESTEMPS COMPOSESPrésentterminaisons : -e, es, e, ons, ez, ent-s, s, t (d), ons, ez, ent (ont)- x, x, t, ons, ez, entex : je marche, tu bois, il rend, ils font…Passé composé

attendant le moment d'être exécuté. Kyo se suicide avec son cyanure, mais Katow, attendri par l'angoisse insupportable de deux jeunes hommes, leur donne le sien. Il est donc conduit par une sentinelle vers le fanal. Problématique : En quoi cette marche funèbre révèle-elle l'impuissance de l'homme face à sa mort ? Plan : I) Une atmosphère terrifiante et insoutenable II) La mort inévitable clôturant une scène tragique III) Le personnage de Katow : Un héros et un martyr Analyse : « dit seulement

chemin pour le suivre à travers sa ville « Prend la ligne D du RER […] Prend la ligne 13 du métro », on entre dans la ville grâce aux transports modernes. L’auteur nous fait découvrir le marché de Saint Denis où se regroupent de multiples ethnies « En une heure tu traversera Alger et Tanger ». Il présente le marché comme la partie la plus importante de la ville car il y consacre 12 vers. Grand Corps Malade nous envoie ensuite vers la rue de la République qui est la rue la plus importante de Saint Denis

celle-ci apparait sous différent aspect par différents lieux. Le poète qui nous sert de guide s’adresse directement à celui qui l’écoute, se dégage alors un aspect d’intimité, de confiance et d’amitié avec le poète avec l’emploi de la 2e personne du singulier. L’énonciateur cherche à apporter un enseignement, il y a alors une fonction didactique qui se cache derrière le sens de l’enseignement. Le poète est soucieux de transmettre des informations sérieuses, il recherche l’exactitude avec « j’ai révisé

le çà par la complicité d’un surmoi pervers produisait des symptômes névrotiques. Une certaine lecture de Descartes par Sartre nous a habitué à croire que nous disposons tous en tant qu’être humain d’un libre-arbitre en parfait état de marche. La psychanalyse et tous les développements postérieurs de la psychologie soulignent que ce n’est pas le cas. Il faut peut-être revenir à Descartes lui-même lorsqu’il nous parle du plus bas degré de la liberté à savoir la liberté d’indifférence. Celle-ci

une goutte perlant d’une rose ? L’emphase avec laquelle le poète nous introduit dans son histoire semble diminuer légèrement lorsque celui-ci nous met en garde contre le temps qui passe. Le temps passe, et rien ne peut arrêter la marche du temps, même un très grand amour. Remarquons ici que le terme « belle », contrairement au premier vers, qualifie non seulement « choses » mais est intégré dans un ensemble plus vaste : « les belles choses », qui pourrait signifier tout ce que l’on

L’expression du premier paragraphe qui montre que le narrateur évoque son enfance est : «je ne me rappelle pas une caresse du temps où j’étais tout petit». (l. 2) 2) Le pronom personnel dominant dans le texte est celui de la première personne du singulier : «je». Il renvoie au narrateur, Jacques. 3) «je ne me rappelle pas une caresse du temps où j’étais tout petit». (l. 2) a) «rappelle» est au présent, «étais» est à l’imparfait. b) Le présent se rapporte au moment de l’écriture, lorsque le narrateur

le prisonnier entend la chanson d’une paysanne « Où j’ai été coltigé »et aussi au chapitre 23 où le condamné écoute l’histoire d’un vieux fou destiné au même sort que lui : « je filais une pelure ». De plus, Hugo utilise la première personne du singulier pour être dans la peau du personnage et que son histoire soit encore plus passionnante. Le fait qu’il utilise dans son journal des lieux réelles renforces encore l’authenticité : place de Grève à Paris, la Cordonnerie royale … Enfin, il utilise les

Il est deux heures et demie (précis). 16- (passé) dix heures, nous partirons. 17- Le maître a mis ses fautes à (nu). 18- Il va (nu) pieds. 19- Elle prie tête (nu). 20- Ils lui ont dit : (haut les mains). 21- Il a vendu ces marchandises (meilleur) marché. 22- Elle a vu (feu) Madeleine en songe. 23- (Feu) la reine nous aimait beaucoup. 24- La (feu) mère n’a pas choisi un successeur. 25- Elle parle à sa mère (d’égal à égal). 26- Nous avons eu des réussites sans (égal). 27- Nous tâcherons de faire le