Le Mari de la coiffeuse

qu’il est né, il a aujourd’hui 7 ans. La naissance de cet enfant a bouleversé sa famille : son fils, âgé de 17 ans alors, n’a pas assumé cette paternité, d’autant que la mère de l’enfant est partie. Madame Lapierre a pris parti pour son fils contre son mari, qu’elle a alors quitté, ainsi que le confort matériel dans lequel elle vivait. Son fils a alors connu une période très difficile, jusqu’à un internement psychiatrique. Elle savait qu’il s’était installé dans la région B, elle a donc cherché à se rapprocher

cuisine, insistait pour conserver au repas du soir un certain décorum. On le dégustait donc avec lenteur. D’abord parce que c’était meilleur pour la digestion, mais surtout parce que Mme Templeton qui était un fin cordon bleu s’ingéniait à gâter son mari et sa fille. Maureen n’avait pas de problème de poids et n’était pas particulièrement obsédée par la minceur, aussi dévorait-elle avec appétit. La tourte aux rognons fut absorbée par le trio de gourmets dans un silence qui en disait long sur la

celle-ci n’est pour rien dans ses échecs financiers ; elle paraît même être une bonne épouse puisqu’elle a organisé pour son mari un anniversaire surprise. b. Le lecteur a cependant envie de rire à la fin de cette histoire car il imagine la scène finale ; elle est complètement opposée à ce qu’espérait chacun de son côté le mari et la femme. On imagine la tête qu’a dû faire le mari tenant sa femme morte sur les bras et découvrant ses amis assemblés dans une maison en fête. On imagine également l’expression

rhétorique ce que vous avez, après nous avoir si bien dit ce que vous n'aviez pas. - C'est juste. J'ai de la garbure, du jambon et de la merluche, répondit l'hôtelier essayant une pudique rougeur, comme une honnête ménagère prise au dépourvu à qui son mari amène trois ou quatre amis à dîner. - Alors, s'écria en choeur la troupe famélique, donnez-nous de la merluche, du jambon et de la garbure. - Mais aussi, quelle garbure, poursuivit l'hôtelier reprenant son aplomb et faisant sonner sa voix comme la

rhétorique ce que vous avez, après nous avoir si bien dit ce que vous n'aviez pas. − C'est juste. J'ai de la garbure, du jambon et de la merluche, répondit l'hôtelier essayant une pudique rougeur, comme une honnête ménagère prise au dépourvu à qui son mari amène trois ou quatre amis à dîner. − Alors, s'écria en choeur la troupe famélique, donnez−nous de la merluche, du jambon et de la garbure. − Mais aussi, quelle garbure ! poursuivit l'hôtelier reprenant son aplomb et faisant sonner sa voix comme la

rhétorique ce que vous avez, après nous avoir si bien dit ce que vous n'aviez pas. - C'est juste. J'ai de la garbure, du jambon et de la merluche, répondit l'hôtelier essayant une pudique rougeur, comme une honnête ménagère prise au dépourvu à qui son mari amène trois ou quatre amis à dîner. - Alors, s'écria en choeur la troupe famélique, donnez-nous de la merluche, du jambon et de la garbure. - Mais aussi, quelle garbure, poursuivit l'hôtelier reprenant son aplomb et faisant sonner sa voix comme la

écouter l’enregistrement, manuels fermés, et en vérifier la compréhension globale : Chez le coiffeur, une cliente assez désagréable parle avec la coiffeuse ; elle évoque de manière négative la vie dans son immeuble et ses relations avec les voisins ; elle compare la situation actuelle/passée. 2 CORRIGÉ : 1. dans un salon de coiffure — 2. une coiffeuse avec une cliente, Mme Pinchon — 3. les nouveaux voisins, les relations de voisinage — 4. Elle a mauvais caractère, sa vision des choses est très négative

d’ennemis, le fakir retenait sa respiration. Par ami, il entendait toute personne qui ne s’offusquerait pas de le trouver dans cette armoire. Par ennemi, tous les autres : employés d’Ikea, policiers, l’éventuelle acheteuse de l’armoire, l’éventuel mari de l’éventuelle acheteuse rentrant du travail et trouvant un Indien en chaussettes dans sa nouvelle armoire. À grand-peine, il déglutit et essaya de s’humidifier la bouche. Il avait les lèvres pâteuses, comme si quelqu’un les lui avait collées avec

par la fenêtre. Elle est penchée au-dessus de l’évier de la cuisine. Elle s’essuie les mains sur son tablier et vient m’ouvrir la porte. J’aime bien Hazelle. J’ai du respect pour elle. Le coup de grisou qui a emporté mon père a également tué son mari, la laissant seule avec trois garçons et une petite fille à naître. Moins d’une semaine après son accouchement, elle était dehors 8 à chercher du travail. Hors de question qu’elle aille à la mine avec un bébé. Elle a convaincu certains commerçants

m'aperçoit par la fenêtre. Elle est penchée audessus de l'évier de la cuisine. Elle s'essuie les mains sur son tablier et vient m'ouvrir la porte. J'aime bien Hazelle. J'ai du respect pour elle. Le coup de grisou qui a emporté mon père a également tué son mari, la laissant seule avec trois garçons et une petite fille à naître. Moins d'une semaine après son accouchement, elle était dehors à chercher du travail. Hors de question qu'elle aille à la mine avec un bébé. Elle a convaincu certains commerçants fortunés