Le Mari de la coiffeuse

français susceptible d'être adapté au cinéma. - 1987 : En collaboration avec le célèbre dessinateur Bilal, il signe Hors jeu (éd. Autrement), œuvre originale d'une imagination délirante sur le football du futur. - 1990 : Il est le scénariste du Mari de la coiffeuse, réalisé par Patrice Leconte. - 1994 : Jean-Pierre Cottet, directeur de l'antenne sur France 3, lui demande son aide pour la création de fictions. Il y occupe un rôle de conseiller et assiste les scénaristes sur l'écriture des dialogues.

née le 12/10/1973, elle a trente-neuf ans et elle vit en couple avec son mari dans une maison. Mme D exerce plusieurs métiers tels que coiffeuse et secrétaire. Mme D ne fume pas et ne boit pas car elle dit que c’est nocif pour ses enfants. En effet, Mme D a déjà deux enfants : une fille née en 1998 et un garçon en 2001. Tous deux sont nés par voie basse mais avec quelques difficultés donc il a fallu utiliser les forceps. Son mari et elle ont décidé d’avoir un autre enfant donc Mme D avait arrêté de

analytique Le Jeu de l'amour et du hasard, Acte III Scène 6 de Marivaux LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD, L'AVEU D'ARLEQUIN A LISETTE (III, 6) Introduction : Comédie de Marivaux, 1ere représentation en 1730. 2 jeunes nobles Silvia et Dorante doivent se marier. Silvia et Dorante ont conçu un stratagème : échanger son rôle avec celui de son valet. Arlequin, le valet de Dorante a courtisé Lisette, femme de chambre de Silvia, ils doivent donner leurs véritables identités, ils craignent les conséquences de

numérotage -état daté 1° Identification des parties vendeur Monsieur TEVENEAU Jean-Claude Pierre Henri, Coiffeur et Madame VERGNON Marie-Lousie Adèle, coiffeuse, son épouse demeurant ensemble à ORLEANS (45000), 18 rue de paris Nés, savoir : Monsieur à Lens le 7 aout 1944 Madame à ORLEANS le 14 mai 1943 Mariés tous deux en premières noces sous le régime de la communauté légale réduite aux acquêts à défaut de contrat de mariage préalable à leur union célébrée à la mairie d’Orléans

archaïsme constitué de deux mots inséparables, est traduite par « douce et lisse ». Le sens y est, mais pas la musicalité, qui vient de la rime interne en « sé » et du rythme identique des deux mots : «,o, /,o, ». Quand l’Ogresse va demander à la coiffeuse de lui peigner sa queue, elle le fait dans une formule rythmée, qui fait rimer « halsé malsé » avec « 3anzé », chèvre. (Voir tableau, A). Plus loin, la chèvre provoque l’Ogresse au combat dans une autre formule. (Tableau, B). On y voit apparaître

prétendant de Silvia : un jeune homme bien né, plutôt sage et raisonnable, qui ne connaît pas l’amour. - Lisette / femme de chambre de Silvia : c’est un personnage complexe, plus qu’une domestique, puisqu’elle est aussi la confidente et la coiffeuse de Silvia. - Arlequin / valet de Dorante, l’un des personnages importants de la commedia dell’arte. 3- Ces personnages font penser à la commedia dell’arte avec notamment Arlequin qui est aussi présent dans treize comédie

n°2 (Acte II, scène 9) : un duo amoureux entre Silvia et Dorante (de « Ah, ma chère Lisette » p86 à « Sans difficulté » p88) L.A. n°3 (Acte III, scène 6) : les aveux comiques de Lisette et Arlequin (de « Sachons de quoi il s'agit » p122 à « la coiffeuse de Madame » p125) L.A. n°4 (Acte III, scène 8) : le dénouement (de « Laissez-moi » p133 à la fin de la scène p136) Documents complémentaires : • Mise en scène de Jean Liermier (2008 – Théâtre de Carouge). Vous pouvez accéder à quelques extraits

(Acte II, scène 9) : un duo amoureux entre Silvia et Dorante (de « Ah, ma chère Lisette » p86 à « Sans difficulté » p88) • L.A. n°3 (Acte III, scène 6) : les aveux comiques de Lisette et Arlequin (de « Sachons de quoi il s'agit » p122 à « la coiffeuse de Madame » p125) • L.A. n°4 (Acte III, scène 8) : le dénouement (de « Laissez-moi » p133 à la fin de la scène p136) Documents complémentaires : • Mise en scène de Jean Liermier (2008 – Théâtre de Carouge). Vous pouvez accéder à quelques extraits

structure de la chevelure : plus fournie à la base, plus légère aux pointes. 2. Le miroir D’après la description que Aragon nous bâtit des cheveux d’Elsa, nous pouvons en déduire que l’auteur se tient derrière sa femme, celle-ci se tenant assise à sa coiffeuse. Or, le miroir ne reflète pas le visage d’Elsa comme il devrait le faire, mais, d’après les dires d’Aragon, ce miroir reflète bien d’autres choses... En effet, c’est un miroir qui sert à la fois de "rétroviseur" et de "projecteur". Rétroviseur car

ne dort jamais dans cette chambre , c’est une vieille histoire :Louise a perdu son mari très jeune , il est mort d’un suicide d’après la police scientifique , mais Louise est sûr et certaine qu’il s’agit d’un meurtre , car son mari auparavant aurait tué la femme de son meilleur ami à cause d’une stupide histoire ! Louise dit donc que se serait son ancien ami qui aurait voulu se venger. Mais, le jour ou son mari était mort, Louise se trouvée au courses pendant ce temps, donc elle a aucune preuves