Le Marronnage

 Le marronnage est-il un mouvement révolutionnaire Avant la 2ème moitié du ХVІІІème siècles,les esclaves de Saint-Domingue désertaient déjà les habitations de leurs maitres.Les plantations de tabac,d’indigo… Le marronnage c’est le phénomène consistant en la désertation de l’esclave qui laisse l’habitation de son maitre pour aller se réfugier dans les mornes à la recherche de la liberté.C’est la forme de protestation la plus active et la plus spéctaculaire de l’esclave de St-Domingue

l’esclavage. En comprenant qu’elle est enceinte de son bien-aimé Vincent, marron, elle décide de fuir en marronnage aussi pour que son enfant soit libre. Thèmes: Evelyne Touillot réfléchit sur la possibilité de la liberté dans l’esclavage. La liberté prend les formes différentes: l’assassinat des nouveau-nés, le suicide, l’accouchement des bébés plus blancs en se couchants avec le maitre, le marronnage, la lutte dans le forme d’empoisonnement. Chacun et chacune ont leur propre choix. Un autre thème

jugeaient bon de le faire mais ils ne devaient ni les torturer ni les mutiler sans motif valable. Malheureusement les maîtres ne le respectaient pas : ils les marquaient au fer rouge, ils les émasculaient, ils étaient mutilés. Si ils étaient accusés de marronnage ils avaient un collier de cou (aux longs bouts recourbés) qui les empęchaient d’essayer de s’enfuir à nouveau. Et ils pouvaient ętre tués (si il y avait violence envers son maître, vol et si les esclaves se regroupaient). Les esclaves qui étaient

des Bonis et leur a été attribué un territoire. Les Bonis, désormais en paix se sont structurés en une communauté. Le peuple Boni prend naissance à ce moment, puisqu'il n'est pas issu directement de l'Ouest africain, mais de la réunion, durant le marronnage d'hommes et de femmes d'ethnies différentes .Depuis 1861,ils ont été officiellement protégé par la France. Boniville a longtemps été le chef-lieu des Aluku. Appelé Agodé par les habitants, ses maisons caractérisent l’architecture traditionnelle

que la peine de mort. Les maîtres sont contraints de nourrir et vêtir leurs esclaves et de leur donner par chacune semaine deux pots et demi de farine de manioc ainsi que deux habits de toile par an. IV. Les révoltes d'esclaves et le marronnage Le marronnage est, selon le Code noir, puni par la mutilation puis par la mort à la troisième récidive. Les Marrons se réfugiaient généralement dans des lieux inaccessibles. Le fuyard lui-même était appelé Marron ou Nègre Marron,Negmarron voire Cimarron

jugeaient bon de le faire mais ils ne devaient ni les torturer ni les mutiler sans motif valable. Malheureusement les maîtres ne le respectaient pas : ils les marquaient au fer rouge, ils les émasculaient, ils étaient mutilés. Si ils étaient accusés de marronnage ils avaient un collier de cou (aux longs bouts recourbés) qui les empęchaient d’essayer de s’enfuir à nouveau. Et ils pouvaient ętre tués (si il y avait violence envers son maître, vol et si les esclaves se regroupaient).

Statue De La Neg Mawon. La Statue du "nèg mawon" se trouve dans la capitale du pays en face du palais national. Dans sa main droite l'esclave tient une machette, symbole de la résistance des esclaves et dans l'autre main une gourde. La fuite ou marronnage fut un puissant mode de résistance que les esclaves noirs adoptèrent très tôt non seulement en Haïti et dans les Antilles, mais aussi dans l'océan Indien (La Réunion, île Maurice et île Rodrigues), ainsi que dans toutes les colonies esclavagistes

jugeaient bon de le faire mais ils ne devaient ni les torturer ni les mutiler sans motif valable. Malheureusement les maîtres ne le respectaient pas : ils les marquaient au fer rouge, ils les émasculaient, ils étaient mutilés. Si ils étaient accusés de marronnage ils avaient un collier de cou (aux longs bouts recourbés) qui les empêchaient d’essayer de s’enfuir à nouveau. Et ils pouvaient être tués (si il y avait violence envers son maître, vol et si les esclaves se regroupaient). Les esclaves qui

Ils ont à leur tête un ancien esclave devenu général, Toussaint Louverture, qui obtient l 'abolition de l'esclavage à Saint-Domingue en 1793. Toussaint Louverture, Gravure, fin du XVIIIe, BNF, Paris. Partout où l'esclavage est pratiqué : le marronnage Pour échapper à leur condition, certains esclaves s'échappent, se cachent et forment des bandes de marrons (mot tiré de l'espagnol cimarron qui veut dire « fuir », « s'échapper ») qui vivent de la chasse, de la pêche, de la cueillette ou encore

par le progrès économique, par la religion, mais aussi par le racisme. 4. Les résistances à l’esclavage Doc A. Extraits du Journal de bord de Joulin, officier d’un navire négrier nantais (1738), sur les révoltes d’esclaves Doc B. « Sur le marronnage », article des Affiches américaines, journal de Saint-Domingue, 1784 Doc C. Articles 15, 16 et 38 du Code Noir, contre le marronage Les formes diverses de la résistance des esclaves, définition du marronage. Introduction – 1/2 Les