Le Marronnage

contrer les activités esclavagistes en se mutinant sur les bateaux ou bien en se rendant marrons, c’est-à-dire fugitifs. Le « Grand Marronnage », activité d’origine Brésilienne, consistait en une composition de sociétés d’esclaves en fuite qui vivaient dans les forêts ou dans les grands pays. Ils se réfugiaient dans les endroits durs à atteindre par les maîtres. Le marronnage mène à la création de sociétés autres que celles des colons fondateurs. Selon eux, ces nouveaux réseaux possèderaient des armées

le même mais ils ne sont plus des esclaves. La pression des notables aura raison de cette abolition et l’esclavage est rétabli en 1802 par le Consulat. Une partie de la population noire refusant cet état de régression sociale, s’enfuit en forêt (marronnage). Après 1817 et la fin des guerres napoléoniennes, la Guyane va connaître une période très prospère grâce au commerce des épices, du sucre et des bois précieux. Le député républicain français de la Martinique et de la Guadeloupe, Victor Schoelcher

faudrait toujours avoir à porter de main ; si on veut approfondir sa connaissance d’un épisode de l’histoire réunionnaise pour être au courant d’une anecdote, du petit détail connu ou oublier. Par exemple, la partie consacrée à l’esclavage est « marronnage », « seule vraie guerre que la Réunion ait connue », extrêmement complète et documentée abonde en détails pittoresques comme l’affaire « De la Chasse à l’Homme » ou l’apparition de « catégories intermédiaires » avec des Noirs qui sont blonds et

oublier que la majeure partie de la population se rattache au monde nègre par ses origines et nombres de ses traditions. Ce courant de pensées issu du surréalisme s’est étendu dans toute la Caraïbe et à contribuer à la naissance de créolisation et de marronnages variés. S'il reste aux Antilles un gros travail à faire pour l'alphabétisation et l'éducation générale des masses, on observe donc qu'il s'est formé d'ores et déjà une pléiade d'intellectuels de couleur qui ont franchi le stade où l'on ne fait qu'assimiler

introductions de gibiers ont des impacts sanitaires importants sur les populations sauvages : zoonoses, parasites, appauvrissement ou dérives génétiques, pollution génétique par introduction d’animaux exotiques, d’élevages, ou issus de croisements et marronnage. D'autre part, l'affirmation que seul le chasseur peut réguler renvoie directement au refus d'une majorité de chasseurs d'accepter toute cohabitation avec les grands prédateurs, qui sont fréquemment victimes de braconnage (lynx, ours, loup). Un

capable de le prouver A son entourage en vue de la société Et respectant le mariage qui est sacré Car ce sentiment engendre l’honnêteté En Haïti le placage fait la une des journaux Ainsi tout citoyen instruit doit aboutir à ce niveau Car le marronnage, plus qu’un défaut Conduits à des comportements immoraux Un vrai citoyen doit être prêt á souffrir Et ne doit être mesquin qui ne fait que mentir Mais pour son foyer doit est prêt à périr Car un citoyen mesquin mérite de mourir Un Citoyen

d’affranchissement vérifier par un notaire. L’esclave ne doit pas dépasser les taux du propriétaire. Des causes suspensoirs : Un esclave ne peut être vendus ni libre. C) la résistance On peut sortir de l’esclavage la fuite massive ou personnel le marronnage : lieu de vie des esclaves en périphéries des villes. Le phénomène de résistance et de fuite des augmentent avec l’augmentation des esclaves. La législation ne cesse de ce durcir. Des soupçons négatifs envers les marronniers. Un espace d’insécurité

orientales de poursuivre l'expansion économique de Bourbon. Mais les esclaves n'attendirent pas l'abolition de l'esclavage en 1848 pour tenter d'échapper à leur asservissement et retrouver leur liberté. Ce phénomène désigné, rappelons-le, sous le nom de marronnage, tant aux Antilles que dans l'océan Indien, reste inséparable de l'histoire de l'esclavage à Bourbon, où il prit une ampleur particulière au milieu du XVIIIème siècle. En 1732, la population de l'île atteignait plus de 8000 habitants, dont 6000

propriété d'autrui leur reviendraient trop cher ("outre la peine corporelle des esclaves, de réparer le tort en leur nom"). Les maîtres ont tout intérêt à se débrouiller entre eux. Pour échapper à leur condition, les esclaves pratiquent le marronnage (article 38). Ainsi, un esclave en fuite est appelé un(e) marron(ne). Si il est retrouvé, il sera mutilé comme un animal ("(…) aura les oreilles coupées et sera marqué d'une fleur de lys que une épaule ; et s'il récidive (…) aura le jarret coupé

comme seuil de départ. Apres le départ de Duvalier Fils en 1986 le vent de liberté qui soufflait en Haïti a engendré le rapatriement des fils du pays a quitté le pays pour vivre en exil. Le socialisme qui pendant plus de 30 ans pratiquait le marronnage s’affirme au grand jour. Le PUCH ou Parti Unité Communiste Haïtien dont René Théodore fut le secrétaire général même avant 1987 est reconnu comme l’aine des Partis Socialiste de l’ère post-duvalierienne. Après ce fut le tour du professeur Gérard