Le Masque De La Mort Rouge

| |Cette composition met en scène la journée d’un soldat sur le front et, plus symboliquement, le cercle vicieux de la bataille qui mène inéluctablement à la | |mort. | |Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là

cet extrait, les « riches » sont appelés les « blancs » car le blanc est synonyme de propre, d’élégant . Dans ce texte, le monde est montré tel qu'il est, injuste . II. Le femme, la femme marchait dans cette avenue sombre de Brouillard , où la mort et le viol suivaient toutes personnes . Le sol délabré, les pavés explosés, les rats qui couraient dans la pénombre et dont les bruits de leurs petits pas dont les flaques résonnantes provoquaient des frissons et sueurs froides dans le dos des passants

lexical des couleurs et leurs connotations. Le rouge : “crachats rouges de la mitraille” dénote le feu des armes mais connote aussi le sang des blessures et la violance en général. Le bleu : “ciel bleu” s'oppose au rouge car il connote la paix , la sérénité. Le vert : “qu' écarlates ou verts” liés a la vie. Le bleu : “prés du roi qui les railles” connoté par le pouvoir. Le orange : “croulent les bataillons en masse dans le feu” liés à la mort des soldats lors des explosions durant la guerre

L’œuvre représente un tableau de 4 lignes et 8 colonnes de différentes soupes dans des boîtes de conserve de formes cylindrique. Malgré leur différence de goûts, les boîtes sont toutes rouges avec Campbell’s en blanc dans le rouge et blanches avec le goût de la soupe en rouge. Je distingue l’intérêt historique et artistique Ces soupes sont vendues par vendues par Campbell soup Company. Cette œuvre appartient au « popular art », mouvement artistique créé en Grande Bretagne. La Guerre

présente les ravages de la guerre. Des corps décharnés :des membres sont éparpillés un cadavre propulsé dans un arbre sur la gauche, une main frappée par la mort au centre de chairs humaines. La plupart des personnages représentés ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul

par « ils » dans la strophe 5 et dans le reste du texte : répété 8 fois. Ce sont des gens sans visage qui se masquent : l’inconnu utilise la peur. Quand on ne connaît pas l’ennemi, on ne sait pas à qui s’en prendre : pouvoir sans limites, pouvoir masqué « disait » « désirait » « s’accabler de politesse » et au vers 15 : antithèse . Vers 14 : hypocrisie « rationnait » donnait le strict minimum , « jugeaient les fous » impossible. Accumulation de verbes d’actions, ce qui traduit l’étendue de leur

ses aspects. On peut aussi repérer une composition chronologique de l’œuvre. La composition : Cette composition met en scène la journée d’un soldat sur le front et, plus symboliquement, le cercle vicieux de la bataille qui mène inéluctablement à la mort. Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les Poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et

message n'est plus le même. Le masque était autrefois utilisé comme porte-voix, mais depuis, son utilisation a changé. Il sert à différencier la personne du personnage, le comédien de la comédie. Il souligne les traits et les accentuent : le masque est symbole d'identification. Mais la palette d'expression est restreinte et il n'est pas toujours aisé de changer de masque durant une représentation en signe de modification d'humeur du personnage. Ainsi les masques aux doubles expressions furent crées

à gauche on remarque la présence d’une roue. Le panneau central est le plus important. Il représente une tranchée. Comme le soleil est à l’horizon, on peut penser que c’est la fin d’une journée de combat. Le seul personnage de la scène porte un masque à gaz. Il est immobile et emmitouflé dans un drap. A sa gauche gît un cheval éventré par une mitrailleuse. Sur la droite du panneau s’élève un charnier humain. Les corps sont transpercés, éventrés. Au milieu d’eux il y a un fusil baïonnette au canon

(noir, gris) soit chaudes (rouge, marron). Les 3 couleurs les plus utilisées sont le gris, le marron et le rouge. Lumière: Elle est très peu présente. Elle semble artificielle et blafarde. Panneau de gauche Il représente le départ de soldats au matin pour le front. Il y a une rangée de soldats qui suit une diagonale, du brouillard et au loin les lueurs de la bataille. Panneau central Il représente le résultat de l’assaut. On voit un soldat seul être vivant, avec un masque à gaz, au milieu des ruines