Le Mensonge Freud

intelligent pour n'importe quelle raison mais que tout les autres me trouve clairement stupide alors la representation que je me fait de mon intelligence est mauvaise. Mais ceci aborde plus le theme de est ce qu'on se connait objectivement et du mensonge à soi meme. Ainsi, comme le défend Lavelle on vois chez nous que l'etre auquel on aspire etre mais qui n'est pas encore.On a vu que la personne la mieux placer n'etais pas forcement nous malgré que ça pourrait l'etre car on ne peut pas porter le

sciemment) ce que pourtant l’on sait. D’où le problème : comment peut-on ignorer une vérité que cependant l’on connaît – y résister en ce sens ? En a-t-on seulement le pouvoir ? Il semble de ce point de vue paradoxal d’affirmer qu’il existe un mensonge à soi, une intention délibérée de se tromper. Et pourtant l’existence de l’illusion ou celle du préjugé attestent la possibilité effective d’une telle résistance à la vérité. 1.Non, on ne peut pas résister à la vérité A. La vérité est universelle

faire serait due à sa conscience qui lui fait croire qu’il serait capable de tout savoir sur lui-même. Cette illusion est peut-être générée par un besoin de toute-puissance, le fait de se croire maître de soi et transparent, limpide à soi-même. Selon Freud, le fait d’avoir une conscience nous incite à croire qu’elle nous informe sur tout ce qui nous concerne. Or, la conscience peut ignorer certains aspects de nous-mêmes refoulés au point de devenir inconscients, et donc inaccessibles à la conscience

peuvent pas ignorer que ce qu’ils disent ou font est contraire avec ce qu’on peut estimer qu’ils doivent savoir. Cependant, se mentir à soi-même semble une contradiction dans les termes car il faudrait que le menteur sache qu’il trompe pour qu’il y ait mensonge et ne sache pas qu’il est trompé. Dès lors, on peut se demander s’il est possible de se mentir à soi-même et comment. Est-ce en se détournant d’écouter sa conscience ? Est-ce parce que notre moi plonge dans un inconscient qui lui échappe ? Ou bien

critique le fait pour l’homme de se déresponsabiliser de ses actes. Si dans certaines situations, nous sommes tentés, pris par le temps ou influencé par l’extérieur, de nous dire que ça n’est pas de notre faute. Il s’agit pour lui d’une sorte de mensonge à nous même. Pour Sartre l’homme est responsable de sa passion, il a choisi de s’y abandonner sachant se qu’il l’attendait. Au même titre que la passion, il dénonce l’attitude des croyants. En effet ces derniers, par leur recherche de réconfort et

dans certains cas presque impossible de connaître ses propres secrets ce qui les rend donc indicibles. En effet, c’est ce qu’a mis en exergue Sigmund Freud, père de la psychanalyse en théorisant l’inconscient. Nous pouvons être toute notre vie en proie à un secret dont nous ne connaissons pourtant pas, consciemment, l’existence. C’est ce que Freud a appelé le refoulement. Ceci résulte souvent d’un traumatisme trop insoutenable pour permettre à notre « moi » conscient de vivre en paix avec, c’est

l’illusion est difficile à corriger –voire impossible : le bâton apparaîtra toujours cassé…- d’où la question : L’illusion est-elle naturelle est inévitable ? Nous avons beau savoir, nous continuons à voir. 2) Le mensonge. L’illusion n’est pas mensonge, car celui-ci est intentionnellement fait pour tromper et laisser dans cet état de tromperie. L’illusion elle, est de bonne foi, elle est innocente. 3) La chimère. La chimère est un être fictif reconnu

peuvent pas ignorer que ce qu’ils disent ou font est contraire avec ce qu’on peut estimer qu’ils doivent savoir. Cependant, se mentir à soi-même semble une contradiction dans les termes car il faudrait que le menteur sache qu’il trompe pour qu’il y ait mensonge et ne sache pas qu’il est trompé. Dès lors, on peut se demander s’il est possible de se mentir à soi-même et comment. Est-ce en se détournant d’écouter sa conscience ? Est-ce parce que notre moi plonge dans un inconscient qui lui échappe ? Ou bien

l'erreur serait plutôt en rapport avec le Symbolique, tandis que l'illusion serait le propore de l'imaginaire et enfin l'hallucination serait l'apparence du réel. Ainsi pour Lacan l'erreur à un rapport avec l'imaginaire et aussi le desir. En effet Freud explique dans son oeuvre "L'avenir d'une illusion" que ce n'est jamais par hasard que nous faisons erreur. En effet on peu y voir une origine inconsciente sucité par le desir. Par exemple selon les conceptions de la psychanalyse, l'acte manqué qui

négation réduit le phénomène d'inconscient. On a donc plusieurs possibilités. Notre vision nous replongera au siècle cartésien qui a su se prolonger dans les siècles suivants. L'inconscient est et reste l'accomplissement incertain du médecin Sigmund Freud qui a su nous charmer avec son originale vision optimiste. En suivant Michel Foucault, on assimile l'inconscient au domaine onirique. Cette touche de rêverie dans cet inconscient nous amène à nous projeter en nous-mêmes, ne sommes-nous pas libres d'avoir