Le Menteur Corneille

| |Habitude |-La constance d’une habitude est d’ordinaire en rapport avec son absurdité. Marcel PROUST | |Hâte |-Le trop de promptitude à l’erreur nous expose. CORNEILLE | |Héritier |-Qui attend les souliers d’un mort risque d’aller pieds nus.

scène ! On peut voir en lui un double de Dom Juan, un peu à la manière de Sancho Pança aux côtés de Dom Quichotte. Il est d’abord un homme du peuple, à travers son langage, ses difficultés à soutenir un raisonnement philosophique, son côté poltron et menteur, mais surtout à travers ses superstitions religieuses. Il met d’ailleurs le « Moine bourru » (associé à la sorcellerie et au surnaturel) au même niveau que Dieu (Acte III, scène 1). S’il lui arrive parfois de prendre la défense du « petit peuple »

Commentaires : Cette fable est une fable politique. Elle critique le pouvoir, en effet, le Lion correspond au roi, et cette fable met en exergue certains traits de caractère du pouvoir politique. Le lion est orgueilleux, « fier » (V2), fourbe et menteur, puisqu’il dit aux autres animaux «  Nous sommes quatre à partager la proie », mais en réalité il ne partage rien du tout, et prend toutes les parts, trouvant un prétexte à chaque fois, son statut, puis « le droit du plus fort », puis « le plus vaillant »

curative. quelqu'usage que l'homme fasse de la parole, on est amené à dire que que l'homme , avant de devenir homo sapiens , il faut qu'il ait été homo iustus, l'homme du serment juste. pour autant , l'on ne doit pas oublier que selon pierre corneille “ le menteur est toujours prodigue de serments”. lahoucine el merabet

Commentaires : Cette fable est une fable politique. Elle critique le pouvoir, en effet, le Lion correspond au roi, et cette fable met en exergue certains traits de caractère du pouvoir politique. Le lion est orgueilleux, « fier » (V2), fourbe et menteur, puisqu’il dit aux autres animaux «  Nous sommes quatre à partager la proie », mais en réalité il ne partage rien du tout, et prend toutes les parts, trouvant un prétexte à chaque fois, son statut, puis « le droit du plus fort », puis « le plus vaillant »

représentations théâtrale au 17eme siècle, et de surcroit, qu’elle séduise autant le public ? En effet, le thème de l’hypocrisie au théatre connait un succès fulgurant, notamment avec le Tartuffe et le Misanthrope de Molière, mais aussi le Menteur de Corneille, ainsi que Othello de Shakespeare. Le point de vue religieux à leur sujets est dans précédant : En donnant à voir le spectacle des passions et des vices, en tant que purgatoire, catharsis ; le théatre apparait comme une véritable école du

écrivain et critique français, auteur du traité L'Art poétique (1674) et historiographe de Louis XIV. 12 Académicien et poète médiocre du XVIIIe siècle 13 Durant la guerre de Troie, décrit comme le plus laid de l'armée grecque, et par sucroît insolent, menteur et railleur. Il sera tué par Achille pour avoir voulu violer la dépouille de Penthésilée, reine des Amazones. 14 Époux d'Hélène et frère d'Agamemnon. 15 Vieillard obèse, chauve, toujours ivre, qui fait partie de la suite du dieu Dionysos, dont il

pouvoir sous sa main, Rien ne pût être borne à l’empire romain : Et que, si bien le temps détruit les républiques, Le temps ne mît si bas la romaine hauteur, Que le chef déterré aux fondements antiques, Qui prirent nom de lui, fut découvert menteur. 9 Astres cruels, et vous dieux inhumains, Ciel envieux, et marâtre nature, Soit que par ordre ou soit qu’à l’aventure Voise le cours des affaires humains, Pourquoi jadis ont travaillé vos mains À façonner ce monde qui tant dure ? Ou que

tout pouvoir sous sa main, Rien ne pût être borne à l’empire romain : Et que, si bien le temps détruit les républiques, Le temps ne mît si bas la romaine hauteur, Que le chef déterré aux fondements antiques, Qui prirent nom de lui, fut découvert menteur. 9 Astres cruels, et vous dieux inhumains, Ciel envieux, et marâtre nature, Soit que par ordre ou soit qu’à l’aventure Voise le cours des affaires humains, Pourquoi jadis ont travaillé vos mains A façonner ce monde qui tant dure ? Ou que ne fut de

après l’affront ; (2) L’appel à la vengeance (I, 6) Ce sont deux littératures différentes. Le premier texte est tiré de la littérature orale espagnole. On va voir comment l’emprunt va être traité, et quand il passe à la tragédie française de Corneille, quelle est l’histoire du personnage et quels sont les enjeux (ce qu’on peut gagner ou perdre dans une entreprise) Le sujet commun. Présentation du corpus. Synthèse biographique. Choisissez les points les plus importants pour accéder à l’analyse