Le Mépris Comparaison

vide et de solitude que ressent Boule de Suif , et suscite la compassion du lecteur ; la protagoniste est isolée , aucun regard n’est échangé , c’est un huis-clos 1 “ noyée dans le mépris” métaphore de la noyade + focalisation interne Nous avons accès au ressenti de Boule de Suif : elle se sent dépassée par le mépris et l’indifférence dont elle est l’objet . Le lecteur est invité à s’identifier au personnage2 “ gredins honnêtes “ oxymore C’est un paradoxe entre “l’honnêteté” de la classe sociale

exclut une grande partie de la société (le peuple)polyptote du mot mépris “mépris”, “mépriser”→ Insiste sur le fonctionnement de la société aristocratique française qui est fondée sur la quête de la gloire, la distinction, le principe de l’honneur = viser l’excellence (titres, richesse, pouvoir), mépriser celui qui est inférieur. tournure restrictive avec la négation restrictive “ne…que” → Dénonce la raison du sentiment de mépris de la nature artificielle, du jugement. Montesquieu reprend le jugement

dépréciatif Il déconsidère ce qu’il désigne, le discrédite. On peut aussi avoir recours à des mots appartenant au niveau de langue familier ou argotique afin de dévaloriser ce dont il parle, de montrer son mépris ou le peu de considération qu’il lui accorde. 2- Les figures d’analogie a- La comparaison et la métaphore Ces images établissent une analogie valorisante ou dévalorisante pour le comparé selon le comparant utilisé. b- L’hyperbole Elle permet de rendre une idée plus visible. Elle se caractérise

également rejetée et méprisée des autres, ce que l'auteur traduit de manière très éloquente lorsqu'il dit: «Elle se sentait noyée dans le mépris de ces gredins honnêtes qui l'avaient sacrifiée d'abord, rejetée ensuite, comme une chose malpropre et inutile.»  Il emploie à cet effet des images très fortes, puissantes et émouvantes.  Boule de Suif se sent «noyée dans le mépris», elle a l'impression de suffoquer sous les regards calomnieux des autres qui l'ont «sacrifiée d'abord, rejetée ensuite», c'est-à-dire

Texte numéro 2 BAC : Jean-Baptise Chassignet «Mépris de la vie et consolation contre la mort » (1594) Situation : Jean-Baptise Chassignet (1571 - 1635) est né à Besançon. Il étudie à Dole et fera du droit. Il écrit à l'âge de 23 ans en quelques mois les sonnets de son œuvre ''mépris de la vie et consolation contre la mort'' composé de 434 sonnets. Thématique de l’œuvre : Rappeler à l'homme et le convaincre du caractère bénéfique de la mort. Certaine vanité dégagée. (Attraper le vent, ce n'est

singulière, une agilité monstre pour gagner quelque cachette. ». Maupassant appuie aussi sur ce fait avec : « se laissait tomber à la façon d'une loque, et il se roulait en boule, devenait tout petit, invisible, rasé comme un lièvre au gîte ». La comparaison « comme un lièvre au gîte » évoque bien cette notion de vulnérabilité en faisant référence à la petite taille du lièvre et à sa peur qui l'encourage à se cacher dans son gîte, car en effet cet animal est très chassé. Ce gîte pourrait nous rappeler

Introduction I) Portrait du personnage A. laideur du personnage Dans la description, il y a des éléments péjoratifs qui ressortent comme l’animalité, utilisation de figures de style : comparaison : « grand comme un pongo » (v.5), métaphore : « tanière entrebâillée de ses souliers » (v.17), « affamé » (v.7), il a faim, renvoi à l’animalité. Le personnage nous est montré comme un animal. Le personnage est courbé moralement et physiquement. Il a un physique démesuré : faute de gout, faute pour

de vie d’auquel époque. Dans cette analyse notre travail consiste à faire la comparaison du point de vue chez LOARD HENRY (un personnage du Portrait de Dorian gray) sur l’estime et le mépris et leur signification dans l’œuvre LES PASSIONS DE L’AME (1596-1650) de DESCARTES. Donc comment Lord Henry voit l’estime et le mépris ? Et quelle est la différence entre Lord Henry et Descartes sur la définition de l’estime et de mépris ? Pour commencer, Lord henry considère l’estime à une personne et

lumineuses (évocation de clarté, de Soleil)-Accentuation des sentiments "ô splendeur", "je crois en toi"-Métaphore du bouvreuil qui fait son nid en haut de la statue --> union de la Nature (protectrice, génitrice) et des Dieux (religion) | -Comparaison à "un grand lys" --> Ophélie fait partie de la nature environnante-Personnification de chaque éléments de la nature: Nénuphars qui soupirent, arbres qui se plaignent...-Nature --> mise en valeur comme une divinité-Allitération en "s" et

personnages qui est ici un milieu populaire. Enfin on relève dans le texte des allusions aux patrons et à leur regard sur les ouvriers on relève "sauvages", " loups" aux lignes 34 et 35 montrant le mépris du patronat et l'annoce de leur colère qui va etre intense et " brigands" à la ligne 44 montrant le mépris que subissent les ouvriers. Enfin Zola à travers ce texte met en avant des lieux et des moments symbolique. En effet dans le texte la fôret à une connation symbolique. Elle symbolise un lieu de