Le Mercantilisme 1450 à 1750

d'économie politique, a été popularisé par les économistes néoclassiques tel qu'Alfred Marshall. Le mot « économie » devient alors, de façon concise, synonyme de « science économique » et peut être considéré comme substitut de l'expression « économie politique »[]. Cela correspond à l'influence notable des méthodes mathématiques utilisées dans le domaine des sciences naturelles. On parle également de l'économie lato sensu comme de la situation économique d'un pays ou d’une zone, c'est-à-dire de sa position

Partie 1 : ECONOMIE MARCHANDE, MERCANTILISME ET PHYSIOCRATIE : XVI – XVIIIe siècle Chapitre 1 : l’évolution des faits jusqu’au XVIIIe siècle Introduction : Développement du commerce, c’est une rupture double, idéologique et factuelle (le monde va changer). Il faut voir l’idéologie comme un paradigme. Avant cette période le commerce était tenu comme suspect, immoral, le commerce est vu comme une activité stérile : problème du statut et de la valeur du commerce. Ce paradigme vient d’Aristote

Chapitre 2 : L'économie subordonnée aux impératifs politiques et juridiques (1450 – 1750) Introduction : De la pensée grecque à la fin du Moyen-Âge Chez les Romains, on trouve essentiellement des éléments de gestion agricole. Après ce morcellement de cet Empire, on assiste à une régression de la civilisation urbaine et de la culture écrite. On va assister à l'émergence de la féodalité et c'est l'Église qui va maintenir la tradition de l'écriture et qui va monopoliser l'espace culturel. L'insertion

donc qui veut dire administration de la cité. « Politique » renvoie à la cité-Etat. Traditionnellement on définit l’économie comme la science qui étudie la façon dont sont aménagées la production et la répartition des richesses. Le terme économie politique renvoie à la modernité dans la gestion de la cité où le gouvernement joue nécessairement un grand rôle. L’expression économie politique est créée au début du 17e siècle et employée à l’ origine selon Charles Gide pour dire que « l’étude de la production

Introduction : Cette cour permet d’acquérir des outils d’analyse qui s’adresse à notre intelligence  et d’enrichir nos connaissances. L’économie possède un énorme statut, c’est une science positive et non normative. Elle possède une position dominante. L’économie à un mode de pensé universel contesté par des hétérodoxes. Cette discipline légitime et égoïste est préférée de l’intérêt général. Les néo-libéralismes sont favorables à une société de marché. L’économie est une science automatique, elle s’auto

maison, du domaine. Et on rajoute le terme politique qui renvoi à la cité-Etat. Traditionnellement, on définit l’économie comme la science qui étudie la façon dont sont aménagées la production et la répartition des richesses. Le terme économie politique renvoi à la modernité dans la gestion de la cité où le Gouvernement joue nécessairement un grand rôle. L’expression économie politique est créée au début du 17ième siècle et employée à l’origine selon Charles Gide pour décrire « l’étude de la production

Sommaire Le marché au travers de la pensée économique et principaux systèmes économiques. 2 Introduction aux sciences économiques 2 Chapitre 1 : Les principales étapes de la pensée économique 3 I. Le Mercantilisme 3 II. Les Physiocrates 3 III. Les Classiques 3 IV. LeMarxisme 4 V. Les Néo-classiques 5 VI. Les Keynésiens 5 VII. La place de la monnaie dans la pensée économique 6 Chapitre 2 : Les systèmes économiques 9 I. Définition d’un système économique 9 II. Le

------------------------------------------------- COURS D'ECONOMIE POLITIQUE Introduction L’économie désigne à la fois une pratique et une science, situation paradoxale. C’est d’abord une science puisqu'elle a une autonomie complète voire quasi-complète, elle se rapproche des sciences par l'aspect positif et normatif de sa discipline. Elle est davantage une science qu'une politique. C’est ensuite une pratique dans le sens où l'économie occupe une place dominante et pourtant très controversée

pratiques économiques justes selon la religion chrétienne. C’est à partir de la célèbre approche de Machiavel que je cite » seule la fin justifie les moyens » que l’économie va se déconnecter sensiblement des décisions morales pour satisfaire les besoins de l’homme. La renaissance oriente l’esprit de l’humain vers les intérêts matériels et terrestres. Un fort courant individualiste se développe. Le sociologue allemand Marx WEBER montre à cet effet le moteur de l’éthique protestante, qui légitime l’acquisition

pratiques. Il n’y a pas de coupure. Il y 4 niveau de réalité : - Territoire : l’Allemagne est le seuls territoire qui sont en stagnation. Qui s’en sort à peu près mieux que les autres. L’économie mondiale se porte un peu mieux qu’en Europe (situation de stagnation faute d’innovation majeur « Robert Gordon » la doctrine économique libérale. - la discipline : économie politique pas pareil que l’économie en générale. L’économie politique est à la fois e confortable car l’éco politique a acquis le statut