Le Mexique Une Puissance Régionale émergente

désordres écon et monétaires de l’entre 2 G, et leur amplifications durant la crise de 29 -La ruine suscitée / la 2nd GM (en particulier en Europe  ancienne zone des gd puissances écon -L’émergence de la prise de conscience / USA de leur rôle de leadership politico-écon mondial. Les USA sont en position de domination : puissance financière, éco et pol, contrôle des moyens de transports. A) Une première tentative de gouvernance : reconstruire l’ordre éco La conférence de Bretton Woods Afin d'organiser

Koweït, Qatar….Ce qui en fait la première zone de production à l’échelle de la planète. Le Moyen-Orient produit ainsi plus de 1 184 millions de tonnes. Sur la première carte on retrouve de grands pays également comme les États-Unis, la Chine, le Mexique, le Canada, le Brésil….Mais également de plus petits pays comme le Venezuela, l’Algérie, la Libye, l’Angola, le Nigeria, le Kazakhstan… On observe que certains pays importants de la planète ne disposent pas ou peu de cette ressource, comme en Europe

L’Europe s’efforce de concourir à une zone de libre échange dans le cadre euro-méditerranéen. Elle est en train de transformer les relations ACE-UE en appuyant les regroupements régionaux en Afrique sub-saharienne, dans les Caraïbes et dans le Pacifique. Elle développe également la coopération avec d’autres entités régionales dans le monde, comme l’ASEAN en Asie ou le Mercosur en Amérique du Sud. (http://www.europe-entreprises.com....) ------ Des réformes des institutions internationales

résultent : - d’une part, des engagements fermes (« consolidation ») de maintenir inchangées les conditions d’accès à leur marché (par exemple un niveau maximal de droits de douane), - d’autre part, des disciplines imposées aux accords préférentiels régionaux en vue de limiter les discriminations au détriment des pays non parties à ces arrangements ; - L’interdiction de l’unilatéralisme se traduit par l’acceptation et la mise en œuvre des décisions prises par un arbitre international indépendant : l’Organe

réclamait la signature d’un traité climatique à l’issue de ce sommet. Celui-ci souhaitait une entente internationale financée par des investissements privés entre autres. Cependant, cette conférence est considérée comme un véritable échec, les grandes puissances polluantes tels que les Etats-Unis et la Chine n’ayant modifié leur position et par conséquent aucune réelle avancée n’a pu être mise en œuvre. Ce qui constitue le défaut majeur de la gouvernance environnementale mondiale actuelle. 2) Absence

en vastes systèmes autour des pôles de la mondialisation (Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon) et de certains États du Moyen-Orient détenteurs de la rente pétrolière, avec des soussystèmes de drainage des flux à l’échelle régionale (autour des nouvelles puissances économiques en Asie du Sud-Est ; vers la République d’Afrique du sud en Afrique au Sud du Sahara) [2]. Cette forte polarisation au profit des systèmes migratoires s’accompagne d’une extension des zones de départ et d’un élargissement

consensus international, que l’OMC avait de facto héritée du GATT. L’approche mercantiliste de la négociation a échoué à équilibrer enjeux de libéralisation et de régulation. Le «consensus censitaire » qui privilégiait le pouvoir des grandes puissances commerciales affronte les rapports de force nouveaux créés par des stratégies d’alliance inattendues. La « diplomatie non-gouvernementale » s’est professionnalisée - de Johannesburg à Cancun - et occupe les vides laissés par l’assistance du Nord

Renault en quelques chiffres Chapitre 1 : Une Stratégie d’Alliance - L’alliance avec Volvo - L’alliance avec Nissan Chapitre 2 : Une Stratégie d’Internationalisation - L’expérience Américaine - Renault au Brésil - Renault au Mexique - Nouvelle organisation régionale Chapitre 3 : La Stratégie Commerciale de Renault - E-commerce - Une stratégie de fidélisation Chapitre 4 : Le Plan « Contrat 2009 » • Conclusion 2 INTRODUCTION : Le secteur des constructeurs automobiles mondiaux se

culturel, etc.) qui permettent de définir une puissance à l’échelle continentale et mondiale. Zbigniew Brzezinski écrit qu’« aucune puissance ne peut prétendre rivaliser avec les États-Unis dans les quatre domaines clés – militaire, économique, technologique et culturel – qui font une puissance globale » (Le Grand Echiquier : l’Amérique et le reste du monde, Bayard, 1997). On peut donc parler de SUPERPUISSANCE car tous les critères de la puissance y sont combinés et atteignent leur maximum d’intensité

entier. MOBILISER DES CONNAISSANCES - Le chapitre en premier lieu concerné est évidemment celui portant sur la façade atlantique de l'Amérique du Nord qui fait partie du second thème I du programme de géographie : « Les trois grandes aires de puissance ». Vous pouvez enrichir votre réflexion en puisant des informations dans le chapitre précédent qui traite de la superpuissance des États-Unis, voire dans celui qui porte sur la mondialisation (acteurs, flux, réseaux). -Vous devrez utiliser un vocabulaire