Le Miroir des âmes simples

 TITRE  PROVISOIRE                    17H45  /  CNSMD  ~    Scène  ouverte    /  Projet  ALIZEE  DUVERNOIS                    18H00  /  Cie  MIROIR  DES  SONGES  -­‐    LA  LETTERA  AMOROSA   19H00  /  Cie  COURRIER  DE  NUIT  /  LA  DANSEUSE  AUX  PIEDS  D’ARGILE   -­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐

ou la plus soucieuse de l’appréhender. -> jugements de valeur : les uns présentant le roman comme la forme littéraire la plus vulgaire etc, les autres comme la meilleure. BUTOR. ‘Répertoire’ Kafka. Trouvait ses bouquins hilarants. - !! Gogol. ‘Les âmes mortes’. 13 octobre 2011 Humorisme moralisant : Calvino. ‘Nos Ancêtres’ – ‘Le baron perché’. S’fout dans un arbre et depuis les arbres, il voit les hommes et continue de leur parler, ‘parmi les hommes mais loin d’eux’. Flaubert… ? on pourrait

 était  pendant  ce  temps  devant  le  miroir…  quant  soudain   elle  baissa  la  tête  pour  prendre  quelque  chose  d’autre  dans  sa  valise…   brusquement  on  voit  le  reflet  de  la  femme  mystérieuse  dans  le  miroir  qui  la   regardait…  mais  elle  ne  se  doute  de  rien…  puis  elle  se  redressa  et  elle  regarda   dans  le  miroir  encore  une  fois…  et  tout  était

souterrain, ou autrement dit, les Enfers. Dans la mythologie grecque, toutes personnes qui mourraient devaient nécessairement passer par là. Le concept du mot « Enfer » n’a rien à voir avec celui du christianisme. En effet, c’était l’endroit où les âmes des morts étaient jugées, de manière à savoir si elles allaient recevoir un châtiment pour leurs fautes ou une récompense pour leurs bonnes actions. Quatre régions principales séparaient le monde souterrain. La première, celle située le plus près

signifie pas que l'homme primitif, non encore "dépravé" par la vie sociale, aurait été une sorte de saint charitable et généreux. L'homme de "l'état de nature", chez Rousseau, ne saurait être véritablement généreux et charitable, pour la bonne et simple raison qu'il ne vit pas au concact de ses semblables (on peut difficilement être généreux et charitable à l'égard de ses semblables quand on est isolé.) ; à l'état de nature, la bonté naturelle de l'homme s'exprime donc principalement par la "pitié"

d’expérience est polysémique, il est utilisé en de nombreux domaines. Ce que l’on entend, dans l’usage courant, c’est d’abord l’ensemble des données théoriques et pratiques qu’un sujet peut acquérir lors de sa vie. Cela dit, c’est déjà plus que la simple somme de ce qu’il a vécu, c’est le tissu de cette vie une fois réfléchie, car l’homme d’expérience a une compréhension de son xp plus qu’il n’a multiplié les expériences. En un sens plus restreint et proprement philosophique, l’expérience désigne

glorias, les vitres épaisses jaunies par les mouches, les serviettes tachées par le vin bleu (312).On sentait l’absinthe, le cigare et les huîtres. (372). Il retourna aux cours. Mais comme il ne connaissait rien aux matières élucidées, des choses très simples l’embarrassèrent. (31). Il n’y comprit rien ; il avait beau écouter, il ne saisissait pas. (15). Il se rendit aux bals de l’Opéra… D’ailleurs, il était retenu par la crainte d’un affront pécuniaire, s’imaginant qu’un souper avec un domino entraînait

” momifiés et portant un masque d’or mystique représentant des dieux bestiaux d’une origine quasi inconnue. Où bien que ce soit dans la mythologie grecque avec leurs enfers mettant en scène des immenses vallées incandescentes où l’on aperçoit des âmes anéanties déambulant sans réel but. Ces deux exemples ne sont qu’une poignée parmis les représentations que les hommes ont pu imaginer mais démontrent efficacement à quel point la mort est un sujet important pour les vivants. Les morts sont les vivants

attribué à Denys l’Aréopagite l’écriture du Traité de la théologie mystique, écrit dans les années 500. Dans cette œuvre, le terme « mystique » porte l’accent sur l’incompréhensibilité du mystère, et apporte donc une nuance au mot qui s’éloigne de la simple initiation au mystère. Suivant la tradition philosophique platonicienne, l’auteur du recueil incite ses lecteurs à envisager Dieu non pas en disant ce qu’il est, mais ce qu’il n’est pas. Cette recherche d’une connaissance de Dieu est un chemin

parresseux, ou de La Fontaine à lui-même » Jean de La Fontaine - « chanson des cris de Paris » Anonyme - « une petite fille roulait une boulette… » Anonyme - « Description chimérique d’un être de raison… » Abbé Claude Cherrier - « l’enfant et le miroir » Florian - « La barricade » Victor Hugo - « on m’as mis au collège …» Germain Nouveau - « enivrez vous » Charles Baudelaire - « les effarés » Arthur Rimbaud - « Ne…. » André Spire - « le droit le devoir de vivre » Paul Eluard - « la rose et