Le Misanthrope Piece Classique

notamment au niveau des rimes. Les nombreux sonnets de Ronsard, dédiés aux femmes qu’il aime (Marie, Hélène) ont d’abord séduit, puis ennuyé certains lecteurs. Molière, un siècle plus tard parodie l’apparition du sonnet dans le Misanthrope (Acte I, scène 2). Oronte crée de toute pièce un sonnet, mais celui-ci ne présente pas grand intérêt. Philinte trouve cela « charmant » mais Alceste le désapprouve. En effet, la faiblesse du message, c’est-à dire exprimer à Philis qu’il attend une réponse n’est pas compensée

Médée . (résumé page 28). Aristophane (450-385 ACN) : comédie grecque.Auteur de plus de 40 comédies, il nous en reste 11. Considéré comme fondateur de la comédie. - Les Nuées (-423) : pièce conservatrice de sa morale « anti-intellectuelle », contre Socrate, les sophistes, les rhéteurs, les physiciens, les métaphysiciens, la décadence des mœurs, la volonté de tout remettre en question. - Les Oiseaux.

humanistes (Montaigne) et classiques (La Rochefoucauld et La Fontaine par exemple). L'honnête homme est cultivé, parle bien, est à l'aise en société, mais il est toujours gouverné par son sens moral. Il ne doit pas céder à l'orgueil, à l'ambition, aux intrigues. C'est donc un idéal social, un modèle qui guide les actions et les paroles des nobles du XVIIe siècle. Il est modéré en tout (EX : Philinte par opposition à Alceste dans Le Misanthrope de Molière) et il suit

par l’identité même du saint (patron des naïfs, des étourdis, des étudiants). 4. Adam de La HALLE (deuxième moitié du XIIIe) p 66 Appartient aussi à l’ « école arrageoise ». Jeu de la feuilleté : première « pièce de théâtre » d’inspiration entièrement profane ; plusieurs intrigues mêlées (les mésaventures d’Adam, le motif féérique, les divagations d’un fou. Style vif et familier, met en cause nominalement la plupart des personnages importants de la ville d’Arras ;

souvent la première scène, apporte les informations indispensables pour situer l'action, identifier les personnages, reconnaître le conflit. On distingue quatre types d'exposition.   II- Le monologue du héros : Malgré la critique du siècle classique qui condamne ce procédé, la tragédie utilise souvent le monologue du héros dans la scène d'exposition. En revanche, la farce et la comédie y ont recours sans difficulté, le monologue étant source de rire. Aragan : Ah! monsieur Fleurant, tout doux

S'il occupe une place importante dans la société, il a perdu le soutien du roi sous l'influence de Mme de Maintenon se retrouve à nouveau en conflit avec l'Eglise. Avec la mort des principaux auteurs dramatiques qui ont fait sa renommée, le théâtre classique s'éteint lui-aussi, avec le siècle. 3) Principaux auteurs : Biographie : Racine (1639/1699) Jean Racine est un Dramaturge du XVIIe siècle. Orphelin, il reçoit auprès des jansénistes de Port-Royal une éducation religieuse

rôle dans le domaine des arts et de la littérature avec une diffusion plus large des œuvres et un développement de la lecture. Le xviie siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies deMolière et les tragédies de Corneille et Racine, ou pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser

Lear. En 1601, il y eut du froid entre lui et Ben Jonson, sans doute pour une de ces raisons futiles qui paraissent insupportables à l'épiderme si sensible des gens de lettres, et Jonson se plaignit fort qu'on l'eût qualifié de « peste » dans une pièce où Shakespeare avait mis la main. En 1603, la mort de la reine Elisabeth, qui l'avait toujours protégé ne nuisit pas à sa fortune, car il retrouva dans Jacques Ier un patron encore plus bienveillant. Il donne alors ses meilleures pièces. Après la Tempête

aussi bien arriver en plein milieu de la pièce et qui n'était pas dans la rue en ce jour dans le seul but d'assister à une représentation théâtrale. Cette contrainte imposée par le public influe également dans la structure dramatique même de la farce puisque celle-ci, pour focaliser l'attention des spectateurs se doit de commencer par une accroche forte. Ainsi, toutes les farces comportent une sorte de prologue qui semble détaché et indépendant du reste de le pièce et qui déploie parfois une action mouvementée

cinq actes (comportant respectivement trois, cinq, cinq, huit et six scènes) et en prose jouée pour la première fois le 15 février 1665 au théâtre du Palais-Royal. Elle portait alors le titre Le Festin de Pierre, mais Molière n'ayant pas publié la pièce de son vivant, le titre est devenu Dom Juan ou le Festin de Pierre en 1682 lors de sa première édition dans les Œuvres posthumes de Monsieur de Molière : ce nouveau titre devait servir à distinguer la version originelle de Molière — en prose — de