Le Misanthrope V 35 72

.34 2.1.1 Littoral ou côte ? ......................................................................................................34 2.1.2 Le littoral des géomorphologues .............................................................................35 2.1.3 Le littoral, espace de vie..........................................................................................36 2.1.4 Le littoral, éco-sociosystème ...................................................................................36 2

.........................................................................................................33
 La forme creuse ............................................................................................................................35
 La satire de la bêtise .....................................................................................................................36
 La relation ironiste, ironisé et observateur d’ironie..................................................

.......................... 68 2.1.2. Théâtre et genre littéraire ................................................................... 69 2 2.1.3. Genre dramatique ............................................................................... 72 2.1.4. Discours et texte dramatique.............................................................. 74 2.2. Particularités du texte dramatique ............................................................. 84 2.2.1. Théâtre, cette « machine cybernétique

folles de scission de la personnalité. Les différents aspects de ce problème du Double ont trouvé chez l'auteur viennois, Ferdinand Raimund, une expression assez particulière. Dans sa pièce comique et romantique, Le roi des Alpes et le Misanthrope, la guérison du misanthrope Rappelkopf (Loufoque) est amenée par le fait que le roi des Alpes, Astragale, montre au héros apparaissant sous la forme de son beau-frère, ses propres fautes et faiblesses. Cette action se meut à la limite du tragique et du comique

••••.••••••••.•••.••••••••.••••.••••• 66 Chapitre III - Eau maternelle et eau féminine ..................................... .......................................... A- Les eaux dormantes B- L'eau léthale C" L'eau narcissique 66 Chapitre V - L'Eau cathartigue .•.•.••••.••••.•.••••.••••••••••.•. 93 A- Pour Maupassant malade .••••••.••••••••.••••••.••.•.••.. 93 BOO Dans son oeuvre Conclusion •••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 0 Bibliographie des ouvrages consultés ••••••••••

et références 1. ↑ Prononcé /ʒoaʃɛ̃ dy bɛlɛ/ («Jo-a-chin ») selon Léon Warnant dans son Dictionnaire de la Prononciation française, et non /ʒoakɛ̃ dy bɛlɛ/, soit approximativement «JO-a-kin(e) du BÈ-lè» (ni « YO-a-kime »). 2. ↑ Port 1978, p. 72 3. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h Port 1978, p. 73 4. ↑ Joachim Du Bellay, L’Olive, édition critique par Ernesta Caldarini, Droz, « Textes Littéraires Français » 214, 2002, p. 36 5. ↑ ancenis.fr: La statue de Joachim du Bellay [archive]

de Rome arrivent au palais. Encouragé dans sa décision par Paulin, Titus choisit de les recevoir, malgré l'irruption d'Antiochus, désespéré, qui l’incite encore à venir voir Bérénice. Scène 9. Arsace écoute Antiochus exprimer son désespoir. Acte V Scène 1. Arsace, heureux, est en quête de son maître. Scène 2. Il annonce à Antiochus, qui n’osait plus espérer, que Bérénice s’apprête à quitter Rome. Scène 3. Titus invite Antiochus à être pour la dernière fois le témoin de l’amour qu’il voue

of purpose, because the new visible sources of power, and the springs of decision, had no reference to the local culture. In areas where the local culture was not contiguous with the new forces, this has meant a sort of suspended animation for it (p.35). Aux yeux d’Abraham, la période coloniale marque l’anéantissement des cultures indigènes puisque la violence du colonialiste vise la suppression de la nature africaine. Pour l’ouvrier noir, cette idée de son anéantissement à travers l’exploitation

13 Racine P. 26 La Fontaine P. 34 Madame De Svign P. 44 Madame De La Fayette P. 49 Boileau P. 55 La Bruyre P. 58 XIIIme Sicle P. 60 Montesquieu P. 61 Voltaire P. 64 Rousseau P. 72 Beaumarchais P. 75 XIXme Sicle P. 82 Chateaubriand P. 84 Hugo P. 87 Vigny P. 94 Musset P. 96 Lamartine P. 101 Stendhal P. 103 Balzac P. 107 Flaubert

depuis lors mais aux autres résultats obtenus dans le même corpus, avec les mêmes options et les mêmes conditions. Or cette proximité entre les recueils de Baudelaire et de Rimbaud est aussi étroite que celle qui lie au Menteur Don Juan (0,180), le Misanthrope (0,173), l’Avare (0,177), les Femmes savantes (0,173), le Bourgeois gentilhomme (0,222) et le Malade imaginaire (0,207). Si donc on conclut que l’auteur du Menteur est le même que celui des pièces citées, on doit pareillement conclure qu’il n’y