Le Mode De Scrutin Au Maroc

l'insinuation prescriptive concernant le "bon parti", celui qui correspond à nos "ça va de soi" [...] lorsque tel politologue stigmatise un parti ou prophétise le déclin d'une organisation ou la mort des partis, l'on devrait d'abord réfléchir sur le mode de production de travaux à vocation explicative qui, en s'instituant juge, prennent parti dans une compétition dont ils devraient rendre compte." (Michel OFFERLE, Ibid., p.7). Cependant, il ne s'agit pas de se réfugier derrière une indifférence axiologique

que « la loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et à la fonction électorale ». En complément, la loi du 6 juin 2000 fait obligation aux partis politiques de présenter au moins 50% de candidats de chaque sexe au scrutin de liste, sous peine de pénalités financières. Ce qui n'est pas toujours appliqué, lors des élections présidentielles de 2002, les grands partis politiques ont préféré payer l'amende que de respecter ce pourcentage... Cette mobilisation a réunit

Promotion de la bonne gouvernance, lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent (SNAC Maroc) Diagnostic du cadre anti-corruption Rapport de l’équipe d’évaluation SNAC TP 4/2013 Pour plus d’informations, veuillez contacter : Unité de la coopération du crime économique Direction de la société de l’information et de la lutte contre la criminalité – DG-I Conseil de l’Europe F-67075 Strasbourg Cedex FRANCE Tél. : +33 390 21 56 73 / Télécopie : +33 388 41 27 05 Email : guillaume.parent@coe

l’Empire Romain, de partager des symboles unificateurs forts, une culture politique et religieuse et plus encore, un mode de vie civilisé basé sur des normes et unifiant tout un peuple. La culture romaine fut donc propagée au sein de ses « colonies » grâce aux moyens suivants : la monnaie commune à l’effigie de César, le latin, une mode vestimentaire avec les toges, mais surtout un mode de gouvernance fondé certes sur une dictature mais participative avec l’existence d’un Sénat et de ses représentants

être d ‘abord dotée d’un cadre juridique lui garantissant son rôle statutaire en matière de planification. Ensuite, elle doit être dotée de moyens humains 8 qualifiés, un système d’information fiable et des ressources financières suffisantes. Au Maroc, s’agissant du capital légal, le législateur a confié la planification locale aux collectivités locales par le biais des différentes chartes communales (voir articles et note circulaire en annexe2) reconnaissant ainsi l’importance fondamentale de la

• ROYAUME DU MAROC CHEF DU GOUVERNEMENT Ministère Délégué Auprès du Chef du gouvernement Chargé des Affaires Générales et de la Gouvernance us4o 4.;1 ri? sil _3,11 USsI li ci9 3.111.? Note de présentation du projet de loi n°112 -12 relative aux coopératives Le Maroc a opté depuis son indépendance pour le soutien du secteur coopératif et parié sur l'esprit coopératif fédérateur des efforts des producteurs dans un cadre de solidarité, en vue de moderniser et de développer un

par la séparation des pouvoirs. 1. Le suffrage universel     Le suffrage universel est proclamé à plusieurs reprises et notamment aux articles 23 (« L'élection a pour base la population. ») et 24 (« Le suffrage est direct et universel. Le scrutin est secret. »), tandis que l'article 25 le définit plus précisément : « sont électeurs, sans condition de cens, tous les Français âgés de vingt et un ans, et jouissant de leurs droits civils et politiques ». L'article 26 proclame également l'éligibilité

droit de grève • A gauche : - « Les jeunes turcs » du PR : renforcer l’autorité du présidt du conseil - Léon Blum : renovat° du régime (36 – 41) : La Réforme Gouvernementale (1936) - Vincent Auriol : suffrage universel : vote des f°, obligatoire, scrutin prop ; élimination du Sénat : AN (pb pol) + Cel Nal des provinces (q° rale) ; pdt de la Rep = chef du gvt pr 3 ans MS pb : système repose s/ les partis pol qui seraient peu nbx et structurés ≠ vie pol frçse 2) Les enjeux du débat constitutionnel Forces

La comparaison : un substitut à l'expérimentation (Durkheim). Pour Durkheim les SS ont pour défaut de ne pas être vérifiables par des expérimentations scientifiques. Pour lui, la seule façon d'assurer la scientificité des SS est la comparaison. « Un mode de questionnement particulier des phénomènes politiques, qui permet de saisir la spécificité de chacun d'entre eux » (B. Badie et G. Hermet, La politique comparée, p.1). Comparer = classer, labelliser. On appréhende les gens à partir de catégories

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