Le Moi Est Il Haïssable

personnages au comportement proche de l’absurde Des personnages médiocres afin de souligner l’absurde Ex : Meursault dans l’étrangers qui ne sait pas exactement pk il tue l’arabe et qui n’a jamais éprouvé le moindre sentiment fort C le personnage haïssable Barmadu dans voyages au bout de la nuit est méchant, lâche mais qui défini la guerre et les hommes en insistant sur leur absurdité Les romanciers mettent en scène des héros qui pourrait ne pas plaire au lecteur mais qui, par le défaut ou

manie les viandes, les remanie, démembre, déchire, et en use de manière qu'il faut que les conviés, s'ils veulent manger, mangent ses restes. »; il est vraiment un mangeur répugnant « capables d'ôter l'appétit aux plus affamés ». C’est un homme haïssable, il a peur de sa propre mort et quand vient la mort d’une de ces connaissance il n’en a pas la moindre émotion « ne pleure point la mort des autres, n'appréhende que la sienne ». Cela révèle qu’il délaisse complètement les autres « les hommes ensemble

elle aussi, le met en état de différenciation par rapport aux autres. Le moi coïncide également avec l'amour-propre : l'affirmation de soi devient le principe du mien et du tien, c'est-à-dire de l’usurpation de toute la terre.(fr 295) Le moi est haïssable car les hommes préfèrent l'imagination à la raison( fr.82), car il se fait le centre de tout mais il est toutefois revêtu des oripeaux de la civilité. Le moi, ne l'oublions pas appartient à la créature déchue(fr.441) Mais l'homme est également

En même temps que s'appointait son désir de se soustraire à une haïssable époque d'indignes muflements, le besoin de ne plus voir de tableaux représentant l'effigie humaine tâchant à Paris entre quatre murs, ou errant en quête d'argent par les rues, était devenu pour lui plus despotique. Après s'être désintéressé de l'existence contemporaine, il avait résolu de ne pas introduire dans sa cellule des larves de répugnances ou de regrets, aussi, avait-il voulu une peinture subtile, exquise, baignant

Les autres ne nous voient-ils pas mieux que nous ne pouvons nous voir ? C’est ce que nous allons chercher à savoir dans cette partie. « Autrui, c'est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n'est pas moi. » de Jean-Paul Sartre « Le moi est haïssable... mais il s'agit de celui des autres. » de Paul Valéry « Et la vie c'est soi-même et soi-même c'est les autres. » de Juan Carlos Onetti

Le "je" représente à la fois l’auteur, le narrateur et le héros, celui qui écrit et celui dont il s’agit, un être ayant une existence historique. Pourtant, au Maroc, société traditionnelle ou la religion occupe une place importante. Le "moi" est haïssable. L’individu n’y est envisagé que dans le cadre de son indépendance vis à vis du groupe. C’est un être soudé à une communauté elle-même soumise à Dieu et aux autorités politico-religieuses. En conséquence, la notion d’individualité présente dans les

hommes. Soyons l'humanité. Il nous restera à abdiquer un dernier égoïsme: la patrie. A regarder évoluer l’humanité, je veux bien croire que Dieu est l'auteur de la pièce, mais Satan est le directeur du théâtre. Historiquement les prêtres sont haïssables, mais socialement ils sont nécessaires. La religion n'est autre chose qu’une ombre portée de l'univers sur l'intelligence des hommes. La haine, c'est l'hiver qui s’empare du coeur. Le plus grand ennui, c'est d'exister sans vivre. Les grands

------------------------------------------------- COURS EN CITATIONS (ARGUMENTS D’AUTORITE) * Pascal : * « le moi est haïssable » (amour propre) * Kant :  * « le mal est l’aiguillon de l’activité » (nécessaire à l’homme) * « le monde tend vers l’harmonie » * Ricœur : * « le mal : racine commune du péché et de la souffrance » * Aristote : * « l’homme est un animal politique » * Saint Augustin : * cité dépravé de l’homme / cité divine

Médée est une femme complexe. Elle est abandonnée par son mari. Elle commet le pire des crimes : l’infanticide. Personnage en proie au furor. Médée bascule d’une figure humaine vers la figure d’un monstre. Crime (scelus nefas). Médée, un monstre haïssable, mais une femme torturée, prête à tout par amour, anéantie par la trahison de son amant.

préfère donc la discrétion, l’allusion, les effets de sourdine (les litotes) célèbres chez Racine. Quant à sa personne, par souci d’universalité et par principe religieux, l’artiste classique, en honnête homme, ne la met pas en avant : le moi est haïssable (Pascal). L’IMITATION DE LA NATURE : quelle nature ? Pas celle des paysages ! Le classicisme exige une transposition artistique : il n’est pas un réalisme et rejette le laid, le bizarre ou le réalisme sociale. La nature, est la nature humaine.