Le Monde Comme Il Va

d’abus, et les concepts qui l’expliquent parfois arrivent tout au plus à tenir cette colère à distance, sans en modifier profondément la nature. Autant je peux comprendre que cette forme d’expression artistique soit comme « un symptôme et un symbole de cette atmosphère de fin [...] du monde 1 » dont parle Jung, autant je ne peux y percevoir ni symptôme ni symbole de renouvellement. J’ai par contre découvert, grâce à la rencontre avec certains films et avec certains auteurs, que mon rapport au cinéma

notre culture ainsi que d’autres cultures. Ce monde grec s’articule autour de : - La langue (grec = langue indo-européenne (latin,…)). Différentes familles de langues. Le grec est très important car par ex le français est un mélange de langues indo-européennes. Filiation directe. Naissance de la littérature par Homère (Homère a-t-il existé ?). Bible en grec = livre. 90% du lexique du grec moderne est du grec ancien. Présence réelle dans le monde d’aujourd’hui. - Les philosophes (et la culture)

opposition à d’autres matières. La philo c’est de regarder différemment. C’est donc une méthode, un style de pensée qui va servir à penser les choses de manière différent. Elle n’a jamais de fin, pas de thème. Chaque philosophe, décide son style et son courant. Elle doit se nourrir d’autres sciences (histoire, économie, …, actualité). Chapitre 1er : Mondialisation, système-monde Un être humain,… c’est une subjectivité, la loi d’un corps qui a des besoins et des désirs qui passent essentiellement

L’émancipation des peuples colonisés a bouleversé la géopolitique mondiale en multipliant les nouveaux états. Elle a aussi créé un mouvement politique tiers-mondiste qui va tenter d’être un acteur des relations internationales. La décolonisation a-t-elle vraiment inauguré la marche vers la lumière (Che Guevara) pour un Tiers-monde qu’on appelle aujourd’hui le Sud et même les Suds tellement il apparait éclaté ? I°/ La décolonisation multiplie les Etats Indépendants après 1945 : A) Les causes de

faut pas le redire tel quel plus loin. On peut le reprendre, mais dans ce cas il faut le creuser, le développer, y rajouter qqch. -une seule référence par idée, une seule illustration Analyse du sujet : imaginer comme une possible fuite hors du réel. Dans la première partie on va donc accepter cette notion d’imaginer dans le sens qui permet de comprendre le rapport avec la fuite. Au début il ne faut pas définir tous les sens de l’imagination, car ça ne fait que retarder le moment où on rentrera

l’esprit de ses états. D’autre part, on parle de conscience réfléchie en référence à la capacité proprement humaine de se retourner sur cette première impression. La conscience réfléchie permet l’analyse et le jugement. Par elle, l’homme se constitue comme un sujet distinct de ses états psychiques. Par cette possibilité de réfléchir, la conscience est donc toujours conscience de soi en même temps que conscience de quelque chose. Enfin, la conscience morale est la conscience du Bien et du Mal, il s’agit

étant
les

objets
d’étude
de
l’esthéticien
(beauté
­
art
­
nature
­
sensibilité
­
 jugement
d’appréciation).
 
 Nous
allons
voir
à
travers
cela
que
l’esthétique
a
fortement
évolué,
et
selon
trois
points
 de
vue
;
l’angle
historique,
l’angle
philosophique
et
l’angle
culturel.
 
 I.
L’esthétique
comme
science,
théorie
ou
étude
 
 
 Avant
tout,
il
faut
savoir
que
l’esthétique
n’est
autonome
que
depuis
le
18ème
 siècle,
c’est‐à‐dire
qu’avant
cela,
elle
ne
portait
pas
ce
nom.
C’est
une
invention
du
siècle
 des
lumières,
une
invention
moderne.
 Le


«La construction sociale de la réalité”, Paris, Armand Colin, 1996, pp. 178-249 Peter Ludwig Berger, né le 17 mars 1929 à Vienne en Autriche, est à la fois un sociologue et un théologien américain d'origine autrichienne, se définissant lui-même comme appartenant à la tradition libérale protestante. Berger a obtenu un Bachelor of Arts (diplôme en sciences sociales) au Wagner College en 1949, avant de faire un Master of Arts et un Doctorat en Philosophie à la New School for Social Research respectivement

1. Le Moyen-Age et le christianisme de l’occident. Il se propage en Asie mineure, Italie, jusqu’en Occident. Au début du 4ème siècle, l’empereur Constantin va se convertir et le christianisme deviendra la religion de l’empire romain. Il n’y a pas encore d’Eglise (de culte unifiée) et il y a de nombreuses querelles et hérésies (sectes qui croient en le même Dieu mais de façon différente). Le peuple se passionne pour ces querelles et en débat dans des conciles. L’empereur intervient fréquemment

La Conscience « Le pire état de l’homme, c’est quand il perd la connaissance et gouvernement de soi » - Montaigne. La conscience est ainsi, pour ce qui concerne la pensée comme pour la conduite de la vie, promue au rang de ce qu’il ya d’essentiel dans l’humain – ce dont chacun doit prendre le plus grand soin. Pourtant cette possession de la conscience est loin d’aller de soi. Jusqu'à qu’elle point « possédons »-nous notre conscience et dans quelle limites nous échappe-t-elle ? I. Nature