Le Monde Est Vieux Dit On

s'exerce ds ts les genres litteraires(essais, poésie, théâtre) contre la philosophie de Leibniz, dt le pers. eponyme, élevé ds un optimisme béat va découvrir le monde et ses durs réalités. Quelles sont les leçons que l'on peut tirer de ce conte philosophique à partir de cet extrait? I / Les deux rencontres décisives : Derviche et vieux Turc a/ la leçon du Derviche Cette leçon du du derviche, est négative. La sagesse pour l'h. serait selon lui, résumée en 2 mots adressés à Pangloss

est un texte bref, qui n’est pas sans évoquer le genre du conte à bien des égards. L’histoire est celle du peintre Wang-Fô, un vieux sage qui parcourt la Chine avec son disciple Ling ; on dit de lui qu’il peut rendre ses peintures vivantes. Un jour, tous deux sont arrêtés par l’Empereur, qui lui promet un châtiment terrible pour avoir peint « "un univers plus beau que le monde réel" » et lui ordonne d’achever l’une de ses toiles. Comment sera-t-il sauvé ? Nous vous laissons lire la nouvelle pour le

trop joli. Un matin, il dit au maréchal de Gramont : «Monsieur le maréchal, je vous prie, lisez ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent*. Parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.» Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : «Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses : il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.» Le Roi se mit à rire, et lui dit : «N'est-il pas vrai que

à peine la trentaine, fait dire à Hernani: «Et vieux, on est jaloux, on est méchant, pourquoi? Parce que l’on est vieux». Mais, septuagénaire, ce même Victor Hugo écrira "L’Art d’être grand-père" où il se décrit plein de bonheur face à ses deux petits-enfants: «En me voyant si peu redoutable aux enfants, les hommes sérieux froncent leurs sourcils mornes; un grand-père échappé passant toutes les bornes, c’est moi […] Je ne suis rien qu’un bon vieux sourire entêté». Bien d’autres écrivains, au

bayadère, danseuse des temples de l'Inde. Ses poignets étaient chargés de chaînes et elle paraissait ne danser de- vant le vieux que par contrainte. (p.128) Dans cette description, le vieux tient un sétâr à la main et joue de la musique tandis que la jeune fille danse, les poignées chargées de chaînes. Nous retrouvons également la description d’une image peinte sur un vase que le vieux fossoyeur donne au narrateur lorsqu’il creuse une tombe pour enterrer la femme. Un dessin qui représente uniquement

ALPHONSE DAUDET RÉCIT D'UN PETIT ALSACIEN Ce matin-là, j'étais très en retard pour aller à l'école, et j'avais grand-peur d'être grondé, d'autant que M. Hamel nous avait dit qu'il nous interrogerait sur les participes, et je n'en savais pas le premier mot. Un moment l'idée me vint de manquer la classe et de prendre ma course à travers champs. Le temps était si chaud, si clair on entendait les merles siffler à la lisière du bois, et dans le pré Rippert, derrière la scierie, les Prussiens qui

philosophique : Darwin, Nietzsche et mort de Dieu, Freud et trois blessures narcissiques infligées à humanité : scepticisme généralisé, relativisme, déchristianisation et pertes de repères des auteurs : Giraudoux, Camus, Sartre - le mouvement dit du "théâtre de l'absurde" ou "théâtre de la dérision" = Ionesco, Pinter, Adamov, O'Neill, et bien sûr Beckett le théâtre de l'absurde : - déconstruction de la pièce (cadre spatio-temporel), de l'intrigue, du décor, du costume, des acteurs et de

pagaille à travers la scène. Tous les personnages se posent des questions (sont présent l’épicier, l’épicière, la serveuse, une dame et son panier, le logicien et le vieux monsieur ainsi que B et J). Bérenger se fiche complètement de la situation. Daisy passe et Bérenger a peur, il se cache, il ne veut pas qu’elle le voit dans cet état. Le vieux monsieur et le logicien discutent sur les syllogismes. B et J discutent sur l’alcool et ses effets, sur le poids de la solitude et sur le désintéressement total

LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURSINTRODUCTIONJules Verne aura permis d’accomplir des véritables voyages dans le futur, des exploits que les avancées de la science de l’époque ne les autorisaient pas encore à réaliser dans la réalité : voyage sous la terre, s’élever vers la lune, voler en ballon…C’est romans sont regroupés sous le titre de Voyages extraordinaires. Mais le tour du monde en 80 jours fait exception : aucune machine extraordinaire. L’auteur reste encré dans le présent.UN PARI AUDACIEUXCHAPITRE

Noël ce sera moi. - Bon, alors je resterai avec toi. Quelques jours plus tard, le soir de Noël, tout était calme et puis Lineik demanda au vieux Jon : - Est-ce que tu as peur ? - Un peu, car j’ai peur de mourir. Mais, toi, pourquoi as-tu voulu rester ? - Si je devais t’expliquer, tu ne me comprendrais pas. J’ai quelques choses en plus que tout le monde, d’inimaginables. Soudain, à minuit pile, une cinquantaine d’hommes apparut. C’était une bande de truands qui venait du pays voisin. Tous