Le Monde illustré

pourrait faire le rapprochement avec le thème du masque. On voit alors apparaître celui du double : derrière cet outrageux maquillage, qui illustre le Lorenzaccio plein de vices, se cache le Lorenzo épris de liberté. 3) Il s’agit d’un décor unique de rue pavée, avec une bâtisse en ruine, une cabane, deux bancs et trois arbres morts. C’est un décor mort qui illustre parfaitement l’état de Florence à l’époque de Lorenzo. Le ciel est couvert et orageux. Le gris prédomine, rehaussé par endroits de légères

considérer qu’elle est unesuite d’évènements accidentels, que le hasard joue un rôle déterminant dans la trame desévènements humains. Cette conception a été immortalisée par une phrase de Pascal : ‘Si le nez de Cléopâtre avait été plus court, la face du monde eût été complètement changée’. Pascal fait référence à la période où César vient d’être assassiné, et il a légué epouvoir à Octave, son fils adoptif, mais d’autres revendiquent sa succession. L’un des rivauxd’Octave est Marc Antoine, à qui on confie

l’importante considération que l’auteur apporte à celle-ci. En deuxième lieu, Pierre a un désir de profiter des plaisirs de la vie au lieu d’étudier. Il utilise l’allégorie « collé sur un livre» pour illustrer son dégoût et son désintérêt pour le monde qui ne font qu’étudier. Son désintérêt est clairement illustré avec l’usage de la répétition dans troisième vers de la deuxième strophe : «Soin dessus soin accroître». La répétition est utilisée pour démontrer à quel point il trouve les études monotones.

guerre mondiale, le léninisme puis le stalinisme en Russie, le fascisme italien et le nazisme allemand, et qui semblent déjà aux contemporains de nature différente des dictatures traditionnelles. D’après le politologue Hans Kohn (Les dictatures dans le monde moderne, 1935), « Par rapport aux despotes du passé, les dictateurs modernes exercent un pouvoir bien plus large et étendu à des champs beaucoup plus vastes de la vie individuelle et sociale ». Après 1945, le totalitarisme devient un objet d’étude

Dès le début de son texte, Alain met sa thèse en avant "penser, c'est dire non". De ce fait pour Alain penser consiste à refuser toutes les idées extérieures qui lui sont proférées. Il illustre sa thèse avec un exemple imagé faisant référence au quotidien, à la vie ordinaire. En effet, le oui est l'action de s'endormir qui correspond à un abandon de la pensée, tandis que le non est l'action de s’éveiller, de douter des informations reçues.D’abord position de la thèse : penser, c’est dire non. Pour

vision qu’il porte d’une génération et de décrypter les différences notables au sein d’une même génération. Jean-François SIRINELLI entre encore plus dans le détail que Frédéric GAUSSEN en s’attardent particulièrement à la « génération 68 » qui est illustré par la photographie des hippies à Paris. Grâce à cette vision globale de ce qu’est une génération, nous arrivons rapidement à une question : Comment définit-on une génération ? Comment l’individu peut-il être associé à une génération plus qu’à

dont Assieds toi au bord d'une ondante rivière qui peut être aperçu comme un apologue. Chassingnet expose sa réflexion sur la permanence et le changement du cours d'eau en comparaison avec la vie puis l'homme. Il s'agit d'une fiction réaliste qui illustre une vision philosophique. La belle esclave more deTristan L'Hermite Tristan l'Hermite est né en 1601 et mort en 1655, auteur dramatique français contemporain, élu à l'académie française en 1649. Il fait publier la belle esclave more, poème

Structure Caractère étrange et déroutant de la scène : le dialogue et la narration/ L’étrangeté du narrateur Vision du monde qui illustre « l’homme absurde » : contraste entre les deux personnages / passage permettant de compléter le portrait moral de « l’étranger » Analyse de chaque partie : Caractère étrange et déroutant de la scène Le dialogue et la narration Discours direct Meursault ; discours rapportés l. 12 et 16→ décalage entre la question et la réponse +l. 29-32 → pas réelle Marie

scène finale expose des personnages types à cette occasion: un cardinal, un futur duc, des seigneurs et nobles, et le peuple; qui dans cette scène, accoure pour assister au règne. L'action a lieue sur la grande place, toujours à Florence, ce qui illustre une fois de plus la dimension officielle que prend ce cérémonial. Il s'agit d'une place spacieuse, publique idéale pour ainsi rassembler un grand nombre de personne. En outre, on remarque notamment le rôle de l'Eglise lors de cette cérémonie. Côme

Un des aspects les plus importants de la vie de Cornelia est sa relation avec ses fils adultes. La plus grande partie de l’information que nous possédons sur son rôle durant cette période provient de ce que Plutarque écrivit dans Vie des hommes illustres. Elle est dépeinte comme active pendant leur carrière politiques, surtout celle de Gaius. Plutarque décrit comment Gaius écarta une loi qui discréditait Marcus Octavius, le tribun que Tiberius avait destitué car Cornelia le lui demanda8. Il dit