Le Monde Nous Paraît Logique Parce Que Nous Avons Commencé Par Le Rendre Logique Nietzsche

quelque manière. Par exemple, les trois stylos qui sont sur mon bureau sont concrets, mais le chiffre 3 est quelque chose d'abstrait. (Occurrences en problématisation : l'art, le temps, la matière et l'esprit) ABSURDE : dénué de sens, contraire à la logique et qui viole les règles du raisonnement. ACCULTURATION selon l’ethnologie et l’anthropologie : le processus d’apprentissage grâce auquel un sujet s’insère dans une culture donnée. Dans certains cas, il peut s’agir du processus obligatoire par lequel

de philosophie ! C’est pourquoi il est si important d’identifier le paradoxe : car tout se construit à partir de lui ! C’est pourquoi aussi, c’est l’objet de l’introduction de tout travail philosophique que d’exposer ce paradoxe et, dans sa suite logique, le plan ou la problématique proprement dite. * On appelle problématique la façon dont va être menée la recherche d’une solution au problème du sujet. C’est donc l’objectif que l’on se fixe, ce que l’on se propose de démontrer au terme de

sensibilité, c’est-à-dire ma manière d’appréhender le monde. Texte de Kant :La discipline transforme l’animalité en humanité. Par son instinct un animal est déjà tout ce qu’il peut être ; une raison étrangère a déjà pris soin de tout pour lui. Mais l’homme doit user de sa propre raison. Il n’a point d’instinct et doit se fixer lui-même le plan de sa conduite. Or puisqu’il n’est pas immédiatement capable de le faire, mais au contraire vient au monde pour ainsi dire à l’état brut, il faut que d’autres

l’entendement qui produisent les concepts. | |absurde |Qui est contraire à la raison, qui s’oppose au bon sens. | | |La logique distingue le faux de l’absurde. Un raisonnement absurde renferme une contradiction interne, alors qu’un | | |raisonnement faux n’est pas nécessairement contradictoire.

propre civilisation. Nous faisons donc de l’ethnocentrisme. MAIS Cette augmentation de la technique a fait que certains États qui présentaient plus de techniques sont entrés dans une véritable course avec les autres États ce qui nous dirige vers un monde beaucoup plus technisé. ILLICH : La technique est devenu beaucoup trop importante dans nos vies car nous sommes maintenant dépendants de toutes les machines et de tous les objets du quotidien. Nous ne sommes plus vraiment libres mais son escalve.

On doute parce que l’on a un motif de douter : il ne permet ni d'affirmer ni de nier quoi que ce soit, et se traduit par un embarras de l'esprit. Pour échapper à cet embarras générateur d'inquiétude, la tentation est de se ranger à l'opinion courante, de se retrancher derrière la sécurité qu'offrent les idées toutes faites. Le doute ordinaire, s'il n'est pas dépassé, risque donc d'entraîner le renoncement à penser par soi-même. C’est pourquoi il est utile de douter, afin de se rendre compte de certaines

et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 1 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 1 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 1 4. La création artistique est un acte de communication 1 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 1 II. Les fins de l’art 1 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques 1 A. Le

l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication 11 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 11 II. Les fins de l’art 12 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques

Le terme de « théodicée » signifie étymologiquement « justice de Dieu » (du grec théos, Dieu, et dikè, 1justice), c’est un discours se proposant de « justifier la bonté de Dieu par la réfutation des arguments tirés de l’existence du mal dans ce monde, et par suite la réfutation des doctrines athées ou dualistes qui s'appuient sur ces arguments »[4]. Il est essentiel de souligner le principal enjeu de la théodicée leibnizienne. La question est d’abord : comment accorder l’existence du mal avec l’idée

recréer et à refaire, plus ou moins habilement, ce qui existait déjà dans le monde extérieur.  Telle était déjà l’opinion de Platon, qui fut l’un des premiers théoriciens de l’art comme simple imitation. Dans La République, il affirme ainsi que l’art n’est qu’une copie de la réalité, et même une copie de copie, c’est-à-dire une imitation au second degré de la réalité.  En effet, pour Platon, la vraie réalité est le monde des idées, comme nous avons pu le voir dans Le mythe de la caverne. Ainsi,