Le Monde perdu

Hugo met en relief le lyrisme de ce poème dû à l’expression de ses sentiments personnels et à la réalité des épisodes cités. Le récit étant au passé souligne qu’il fait un bilan de sa vie car le temps dominant des verbes est le passé composé : « J’ai perdu » (v.1), « J’ai vu » (v.14). La répétition de l’interjection « hélas » (v.2 et 7) accentue la douleur d’Hugo éprouvée à la perte des êtres aimés. Les anaphores de « J’ai » répétées onze fois, les tétramètres « Qui me va mieux » (v.15), « Les vents

suite au PCF (Parti Communiste Français) et devient journaliste, puis rédacteur en chef du quotidien communiste La Marseillaise. Il est l’auteur d’ouvrages célèbres tels que Total Khéops (1er volet de la trilogie marseillaise) ou encore Les Marins perdus. Il écrit Le soleil des mourants en 1999, un an avant son décès prématuré suite à un cancer à l’âge de 54 ans (2000). Analyse Dès les premières pages du livre, l’histoire de la vie ratée et gâchée de Rico nous interpelle. Cet homme qui avait

mère grâce à la littérature mais ce ne sont que des illusions : il reste impuissant face à la maladie, incapable de réellement aider celle qui lui a donné la vie. Enfin, le dernier personnage met en scène Monsieur Linh. Suite à la guerre il a tout perdu : il doit quitter son pays anéanti, afin d’avoir une nouvelle et meilleure vie en Occident. Tout comme les deux autres héros étudiés, il est impuissant. Cependant il n’est pas impuissant face à la maladie mais face à la perte de tout ce qu’il détenait

Mais sur ce monde luxuriant, de l’amusement, du plaisir, de la fête plane un atmosphère dérangeant. Tout est si brillant, trop brillant... Le contexte d’écriture de la pièce, la triste période de crise de la république de Weimar est significatif. S’il s’agit d’un moment de fête le thème n’en sera pas moins grave. Un couple se forme au devant de la scène, un homme fort, en béquille, et une petite femme blonde et pomponnée se retrouve : Casimir et Caroline. Casimir a perdu son travail et

affinités → Propre théorie de l'art 1908 : trace d'une première esquisse « A la recherche du temps perdu » → récit qui intègre des souvenirs d'enfance 1908-1909 : écrit un ouvrage sur Sainte-Beuve (critique littéraire du XX éme siècle , connut pour sa théorie sur la littérature , pour lui il faut connaître la vie de l'auteur avant l’œuvre -Pour Proust on a deux moi : le moi artiste et le moi que tout le monde voit 1852: « contre Sainte Beuve » -Proust :« un livre est le produit d'un autre moi que nous

ON « ON n’a rien à y faire !ON n’est pas de ce monde ! »Anonyme« Le temps est tout,l’homme n’est plus rien »K. Marx AvertissementQu’ON en finisse. PréambuleConstat de l’impossibilité aujourd’hui de répondre à la question suivante :« Quel jour sommes-nous ? », alors que demain est hier et hier aujourd’hui.DéfinitionsON. 1°. Pronom personnel indéfini de la 3ème personne, invariable, faisant toujours fonction de sujet.2°. Abrév. Organisme Neutralisé. 0 Au fil des siècles, les individus se virent

découvrir le livre qui va lui permettre de quitter le monde réel. A la suite du titre, ligne 20  « Il est nuit » il y a une ellipse temporel suivie de deux questions rhétoriques ligne 21 et 22, le personnage a perdu la notion du temps car la lecture lui a procuré un moment de plaisir. Des lignes 26 à 34, un rythme particulier s’installe, il y a seulement deux longues phrases ; le narrateur ressent la liberté et l’exaltation d’un nouveau monde. On retrouve plusieurs répétitions métaphoriques du verbe

expliquerons-nous les principaux mécanismes et mécanismes de défense présents dans cette pathologie.Dans les processus caractériels de la mélancolie nous notons, avec Freud, du point de vue psychique une humeur profondément douloureuse, un désintérêt pour le monde extérieur, la perte de la faculté d’amour, l’inhibition de toute activité et une autodépréciation s’exprimant par des reproches et des injures envers soi-même. La mélancolie représente la forme majeure des états dépressifs. C’est un état de dépression

sujet ici Objet d'étude : le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde Textes: Texte A - Honoré de Balzac, Illusions perdues, 2e partie, 1836-1843. Texte B - Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, chapitre VII, 1881. Texte C - Guy de Maupassant, Une Vie, chapitre XIV, 1883. Texte D - Karl-Joris Huysmans, Là-Bas, chapitre XIX, 1884. QUESTIONS (6 points) 1. Le titre, Illusions perdues, choisi par Balzac pourrait-il convenir pour l'ensemble des textes proposés ? Justifiez

passé composé, répétition de « voir » (4 fois) -> conception du monde selon sa propre expérience. Les désillusions : évocation des larmes : « j'aurais pleuré […] si elle ne s’était mise à rire.». Le reste de son sens moral face a une fille qui n'en avait plus -> comparaison pour exprimer sa peine. « je croyais [...] stigmate » : imparfait d'habitude, illusions perdues, stigmate = marque sur la peau -> rend bien compte de l'illusion perdue. Une nouvelle naissance : le passé simple signifie une