Le Monde Sauvage

Texte bac n°1 :Présentation : Pour donner suite à la découverte de l’Amérique par C-C en 1492, les Européens du XVI -ème sont confrontés à la découverte de l’altérité dans ce Nouveau monde qu’ils s’emploient à explorer et coloniser. Il leur consacre deux chapitres de ses Essais publiés entre 1580 et 1588 ; « Des Cannibales » dans le livre I et « Des Coches » dans le livre III. Dans ces chapitres, Montaigne se sert de l’évènement que constitue la découverte de l’Amérique pour construire une réflexion

s'élevait un vieux château entouré de douves profondes, et depuis le mur de base jusqu'à l'eau poussaient des bardanes à larges feuilles, si hautes que les petits enfants pouvaient se cacher debout derrière les plus grandes : l'endroit était aussi sauvage que la plus épaisse forêt, et une cane était là sur son nid elle couvait ses canetons qui devaient sortir des oeufs, mais elle commençait à en avoir assez, car cela durait depuis longtemps, et on venait rarement la voir ; les autres canards aimaient

découverte du nouveau monde et sur le choc des cultures. Il se place en témoin de son temps : en 1562 à Rouen, Montaigne va rencontrer trois cannibales. La méditation se transforme ici en un réquisitoire véhément et indigné contre les méfaits de la colonisation. Dans ce passage, nous nous intéresserons aux caractéristiques d’un savoir nouveau, puis nous verrons une vision idéalisée du nouveau monde selon Montaigne, et enfin nous verrons en quoi fait-il le procès de l’ancien monde.   I). Un savoir

pousserait les humains primaires présents à interagir entre eux. Ceci aurait pu être une cause possible de conflits pouvant amener à la domination des uns sur les autres. Les hommes sauvages vivraient seul en ne dépendant que d’eux même pour leur survie. N’ayant aucune connaissance approfondie du monde qui l’entoure, l’homme sauvage ne serait être un homme intrépide cherchant ainsi le combat, en effet ‘’rien n’est plus timide que l’homme dans l’état de nature’’ *1 affirme Rousseau, croyant également que

romanesque et romantique des jeunes filles avec le vocabulaire précieux de l’amour (« qui couraient légèrement, deux demoiselles de condition, embrasser tendrement, fondre en larmes, les cris les plus douloureux, bonté d’âme, les amants ») et leur nature sauvage et perverse (« deux filles toutes nues, singes, mordant les fesses ».). => parodie du roman d’amour : toute forme d’amour dans le conte est pervertie : Cunégonde trompe Candide, les femmes sont violées ou ont de mauvaises mœurs, et les femmes de

les passe en Algérie, près des déserts Hoggar et Tassili. Entre deux cultures, celles des Algériens et celle des Français d'Algérie, sa famille vit en retrait, ne se mélange pas aux autres. Ils restent entre "métisses". Nina Bouraoui est une enfant sauvage, réservée. Elle vit avec intensité le désert, les moments passés avec sa soeur et sa mère. Elle voit les regards que portent les hommes sur sa soeur aînée, et elle s'identifie, très jeune déjà, à son père. Cheveux courts, activités traditionnellement

dégager la problématique suivante : En quoi cette description de la nature montre elle un moment de bonheur ? C’est pourquoi il convient tout d’abord d’étudier le jardin paradisiaque et sauvage. Puis nous mettrons en évidence la vision du bonheur. ***Dès le début nous remarquons que le thème du jardin sauvage et domestiqué est omniprésent dans le texte. A travers l’expression « ce verger ainsi métamorphosé » citée au début de la première phrase, nous voyons que Julie a planté des fleurs et

des occidentaux devant les cannibales découverts au Nouveau Monde. Les interrogations nées de ces rencontres et les constats de différences de développement des sociétés amènent certains à ravaler les indigènes, les « sauvages », au rang d’animal. A l’opposé de cette perspective, Montaigne, philosophe et homme de culture, prône une autre réflexion. […] Or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a dit, sinon que chacun appelle

Vème siècle, Hérodote, grand historien, est le premier à parcourir et décrire le monde grec dans des Enquêtes (historia en grec -> histoire) XVIème siècle, même après les grandes découvertes de C. Colomb et Magellan la cartographie du globe reste très incertaine Rencontre avec les sauvages -> remise en cause des frontières de l’humanité. Les rituels sauvages (cannibalisme..) fascinent les humanistes. Le sauvage incarne l’innocence, la bonté et la simplicité face à la situation en Europe (Guerre

du champ anthropologique liée à des visions du monde et de l’homme spécifiques. 4 - XVI siècle : préhistoire de l’anthropologie Contexte socio-historique Anthropologie n’existe pas Vision du monde : théologique Récits de voyage des explorateurs et des missionnaires Géocentrisme L’homme est au centre de Récits qui cherchent à démontrer l’univers l’animalité des « sauvages » Grandes découvertes : continent américain. Les sauvages vivent à l’état de nature. Description du social