Le Monde Sauvage

mythe du « Bon Sauvage ». C’est d’ailleurs autour de cette figure du « Sauvage » que sont regroupés les trois textes du corpus, qui ont en commun d’évoquer les Indiens du Brésil et d’avoir été publiés au XVIe siècle. Dans ces trois textes qui appartiennent à l’objet d’étude « Renaissance et Humanisme : Vers un mouvement culturel européen », les mœurs des Indiens sont mises en parallèle avec celles des Européens. Nous nous demanderons donc dans quelle mesure la figure du « sauvage » permet à l’humaniste

précis. Mais ce qui est universel, ce n’est pas la culture en elle-même, car il existe des cultures. Ce qui est universel c’est la disposition naturelle et nécessaire à la culture. On peut donc se demander, « A-t-on le droit de considérer comme sauvages et barbares des êtres différents de ceux que l’on connaît ? ». Dans un premier temps nous allons voir que la culture permet en partie d’échapper à la barbarie. A la naissance l’être humain est l’être le plus inachevé, en effet il y a encore

Site internet du musée du quai Branly (musée des arts) : Le mythe du bon sauvage. XVI – XIXe : la découverte de l'autre, entre fantasme et réalité Hérité du Moyen Age et de la Renaissance, le mythe du bon sauvage se cristallise autour de la figure d'un ancêtre mythique qui serait issu d'une société archaïque encore à l'état de nature. Cette utopie, véhiculée par les voyageurs et les missionnaires, aura permis à l'homme de projeter sur ces territoires lointains sa vision imaginaire d'une terre

L’homme serait-il l’unique responsable de la disparition des animaux ? Plusieurs causes peuvent contribuer directement ou indirectement à l'extinction d'une espèce ou d'un groupe d'espèces. A travers le monde, on compte désormais 16 119 espèces en voie de disparition. Toutes les classes d’animaux sont touchées, les mammifères, les poissons et les oiseaux. Aujourd’hui, ces espèces sont menacées, par des phénomènes naturels, mais bel et bien à cause de l’homme. Les raisons de la disparition des

| |     Dans l’extrait de Voyage en Nouvelle-France de Jacques Cartier, |     Dans l’extrait de Dialogue de Monsieur le baron de Lahontan | |les Français séduisent les sauvages en utilisant leur richesse. |et d’un Sauvage dans l’Amérique du baron de Lahontan, l’auteur | | |montre la supériorité des Français par leur bien-être. | |Illustration 1.1

excursion dans la montagne afin d'y réfléchir seul. Mais en quoi cette ascension en montagne symbolise-t-elle la destinée du personnage ? A. Le cadre spatio-temporel Un temps radieux = été + champs des cigales Un cadre romantique = nature sauvage (montagne), grand thème de la poésie et de la peinture romantique Un cadre symbolique = quitté son père pour avoir un salaire correct et un métier intellectuel. B. L'inégalité sociale La haine de classe = maltraitance du père et des frères

l’état sauvage, en danger critique d’extinction, en danger, vulnérables* et ceux a «moindre risque». Nous allons essayer de répondre à la question de recherche suivante : Quelles sont les causes d’extinction de certaines espèces terrestres au XXI siècle ? «Les animaux en voie de disparition» cela a toujours été un problème. Des associations ont été fondées pour mieux protéger ces espèces: CITES (La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées

emploie un mode binaire qui en révèle deux aspects différents. D’un côté, c’est selon lui un « manifeste calviniste » à « la grande prose oratoire, destinée à dénoncer les vices de ses contemporains » et de l’autre, c’est «un témoignage en faveur du “sauvage” » où se lit « la bonhomie de l’observateur évoquant “cette marmaille toute nue” qui “grouille comme petits canars” ou “trepille et gratte la terre comme connils en garenne”. » Jean de Léry est pour Franck Lestringant « un écrivain qui fait alterner

le montrent les formulations indéfinies suivantes : « Tout le monde a lu les admirables pages dans lesquelles Cooper, le Walter Scott américain, a tracé les mœurs féroces des sauvages » ; « On a frémi pour les colons ». Enfin, le narrateur et le lecteur sont englobés par la première personne du pluriel : « Seulement les barbares dont nous parlons sont au milieu de nous. » Ainsi le lecteur et le narrateur s’opposent tous deux aux sauvages dont il est question. Cependant, le narrateur s’amuse à déjouer

« tirer », « pendre » (l17-19) ( torture = mort. - « je » (l22-24) ( barbarie européenne. II) Le mythe du bon sauvage a) Eloge de la vie sauvage - « sauvage » (l5) ( bon sauvage avec la nature. - « plus amère que la leur » (l22) ( litote ironique, leur barbarie plus humaine. b) Dénonciation ironique et polémiques des européens - « je », « sauvage », « barbare » (l1) ( barbare = européen. - « parfait » (l5) ( répétition du mot. - l7-l10 ( CL guerre.