Le Monopole Bancaire

planification et commerce extérieur: Cette étape était caractérisée par le monopole de l’État sur le commerce, seuls les organismes publics étaient autorisés à importer ou exporter sous couvert d’Autorisation Globale d’Importation (AGI) ou de licence d’importation délivré par le ministère du commerce. On citera à cette occasion quelques instructions qui ont été à la base de la gestion de ce système : * La loi N° 78/02 portant monopole de l’État sur le commerce extérieur. * L’avis de change N° 01

entre autres aux prélèvements autoritaires de ses excédents. 1990 : le Crédit Agricole peut désormais financer les besoins des particuliers et des entreprises en milieu rural comme en milieu urbain. En contre partie le Crédit Agricole n’a plus le monopole de la distribution et des prêts bonifiés à l’agriculture. 1990 est aussi l’année de la création de Pacifica qui est une société d’assurance dommage incendie, accident, risques divers (IARD). 1996 : acquisition de la Banque Indosuez qui fait passer

fidèles de bénéficier de cadeaux, d’autres des bons de réduction ou des bons d’achat. Certaines ne permettent que d’obtenir des points qui seront échangeables par la suite, pendant que d’autres s’utilisent exactement comme on utilisera une carte bancaire. Depuis quelques temps, on peut constater que ce système tend à se généraliser, dans de plus en plus de secteurs, et en développant régulièrement de nouvelles formes. Afin de mieux comprendre et expliquer ce phénomène, nous allons nous focaliser

français L’importance du système financier français se résume en 2 données : * Il représente 2.7% PIB * 17 % de l’indice SBF 250 De plus la France à un taux élevé de bancarisation de sa population. L’organisation du système repose sur la loi bancaire de 1984 : relative à l’activité et au contrôle des établissements de crédit ; prolongé par une loi de 1996 : relative à la modernisation des activités financière ; et une loi de 2003 portant sur la sécurité financière. A. Les organes de tutelle

(banques et organismes de crédit) qui opèrent une déconnexion entre prêteurs et emprunteurs en acceptant d’assumer le risque de non remboursement à la place du prêteur ; celui-ci, en contrepartie, ne reçoit qu’une faible rémunération pour son placement bancaire. Les entreprises comme les administrations peuvent également recourir au financement direct sur les marchés financiers, où prêteurs et emprunteurs se rencontrent en principe sans intermédiaires. Pour y récolter des fonds, les entreprises peuvent

monétaire totale. - La monnaie métallique devient vite insuffisante pour répondre aux besoins de l ’économie - c’est l’ensemble des billets émis par la Banque de France et détenus par les agents économiques - depuis 1848, la BDF détient le monopole d’émission des billets - les billets ont: ▪ cours légal : les créanciers sont obligés de les accepter en paiement ▪ cours forcé : ils ne sont plus convertibles en or Comment appelle-t-on l’ensemble de la monnaie

bipolaire à un monde unipolaire. Parmi les conséquences c’est le développement à l’échelle du monde. Phase 3 : la globalisation Les débuts des années 2000 va être marqué par plusieurs changements dont notamment : Le développement des NTIC Le système bancaire va investir de plus en plus en système productif et vice versa Le cycle de vie des produits et des technologies devient de plus en plus court, impliquant ainsi une concurrence de plus en plus grande entre les firmes. L’EI tout

(chèque + carte bancaire)). La monnaie scripturale n’est qu’un jeu d’écriture. Les moyens de paiement : chéquier, carte bancaire, prélèvement automatique. La monnaie est un actif liquide (= directement utilisable permettant d’effectuer un paiement immédiat sans coût de transformation). Pour circuler la monnaie à besoin « d’instruments » en fait ce sont des supports techniques appelés moyens de paiements comme les chèques et les cartes bancaires. C’est la Banque Centrale qui a le monopole de l’émission

–l’opposé est une économie de subsistance (forte autoconsommation et faible renouvellement de biens)) La monnaie est un phénomène social puisque son utilisation repose sur la confiance des agents économiques dans le système qui la crée : le système bancaire. La monnaie est un moyen de paiement accepté au sein d’une communauté donnée. Certaines monnaies appartenant à des puissances économiques ont cependant la possibilité de servir de moyen de paiement au delà de leur frontière nationale : dollar

règlements internationaux (BRI) de Bâle qui assure l'exécution technique des opérations de compensation. Ayant fait preuve de son efficacité, le mécanisme de change de l'UEP est progressivement assoupli via l'introduction d'une procédure d'arbitrage bancaire, d'une plus grande flexibilité du régime des paiements intra européens et de leur décentralisation au profit des marchés. L'UEP assure à l'Europe d'après-guerre une stabilité complète des changes et favorise la libération des échanges commerciaux