Le Multiculturalisme

Lafayette Global Marketing | | TERM PROJET: FINAL WRITTEN REPORTPierre CABANNES-Louise QUILLET | PART I 4 INTRODUCTION 5 I. Internal analysis 6 a... Sauvegarder le document Théorie Politique (L1)-Le Multiculturalisme CHAPITRE III : Multiculturalisme et identité face à la démocratie libérale. Sous un habillage conceptuel nouveau, des théories a priori démocratiques... Sauvegarder le document Domaine Bancaire 09CG988 10CG02295 10CG01711 10CG01373

individuels. • L’universalisme : les droits ne sont que généraux et égaux. Pas de particularismes. Primauté de l’intérêt général sur l’intérêt particulier. Aucune existence institutionnelle des groupes ethniques, religieux… C’est le contraire du multiculturalisme des U.S.A ou de l’Australie qui reconnait des droits spécifiques. (Canada => Turban pour la police…) => W. Kymlicka in la citoyenneté multiculturelle. (expliquer le principe brièvement + exemple) Ceci est la conséquence du principe de laïcité

voisinage, et plus de deux cents ans après que Voltaire eut mené une bataille philosophique passionnée contre l'intolérance religieuse, le sectarisme et l'injustice qu'elle légitimait, est ce possible? La tolérance peut elle s’apprendre ? (Un multiculturalisme pacifique) L’intolérance et le fanatisme religieux (discours de Kofi Annan 08/2000) Le fanatisme est une forme d'intolérance extrême qui pousse à la persécution de l'altérité sous toutes ses formes. Ce terme a été traité par Voltaire

concept of multiculturalism was preceded by the concept of cultural pluralism, which was first developed in the 1910s and 1920s, and became widely popular during the 1940s. The concept of cultural pluralism first emerged in the 1910s and 1920s among intellectual circles out of the debates in the United States over how to approach issues of immigration and national identity. 2. After 1970 the desirability of assimilation and the melting pot model was challenged by proponents of multiculturalism, who

situations – il est légitime de privilégier l’objectif de « survivance culturelle ». Face à une telle indétermination, d’aucuns s’inquiètent à propos de certaines zones d’ombre dans la pensée de Taylor. C’est ainsi que, dans le cadre d’un « multiculturalisme bien compris », Jürgen Habermas s’oppose aux droits collectifs qu’il compare à « une protection administrative des espèces menacées ». Craignant une réification de l’identité culturelle et une essentialisation du « nous », il préconise d’accorder

occidental notamment à chaque fois que l’on s’apprête à prendre un avion, à visiter les pyramides d’Égypte, ou un simple passage devant une synagogue du quartier Outremont à Montréal, nous imposent à «repenser» le sens de notre humanité, le multiculturalisme y relatif et les relations internationales. Cette réflexion m’apparait désormais comme un impératif catégorique (au sens kantien du terme), face l’imminence d’une guerre des civilisations entre l’occident judéo chrétien et le monde arabo musulman

« être ensemble » communautaire mais chaque individu est obligé de constater l’existence de l’autre même si ça ne le convient pas. Ces émissions de télévision sur les religions ou encore ce journal de Mayotte ont pour fonction de nous montre le multiculturalisme de la société réunionnaise. M ais de quelle manière la télévision a une fonction de modernisation ? ********************* De plus la télévision a une fonction de modernisation. Qu’est ce que la modernisation ? C’est une forme d’une organisation

livre de Huntington est à la fois une théorie des relations internationales et une critique du multiculturalisme comme politique intérieure. Huntington reproche aux multiculturalistes américains de vouloir créer « un pays aux civilisations multiples, c’est-à-dire un pays n’appartenant pas à aucune civilisation et dépourvu d’unité culturelle. » Il croit que l’affrontement entre les partisans du multiculturalisme et les défenseurs de la civilisation occidentale constitue le « véritable conflit » aux États-Unis

collectif, mais également d’une culture et d’une mémoire, marques de la contingence et de la particularité de l’union commune (Taylor, 1995a). La politique de la reconnaissance et la critique du libéralisme L’ouvrage célèbre de Charles Taylor, Multiculturalisme. Politique et différence, dont l’original anglais fut publié en 1992, doit être situé dans la période « communautarienne » du philosophe. La pensée politique de Charles Taylor est une pensée de la pluralité dont la constance est celle de favoriser

mutuellementOn va reconnaître que le multiculturalisme est un besoin que l’on peut comprendre. Cela peut être un piège si cette volonté devient une source d’enfermement et si est perdue de vue ce que doit représenter la nation pour chaque citoyen. B STASI disait que l’immigration a toujours été une chance pour la France. Elle y a trouvé ses forces vives et peut être demain une partie de la solution à son problème de natalité. Forcément en découle un certain multiculturalisme qui est nécessaire. On en