Le Multiculturalisme

niveau infra ou supra national ? Multiculturalisme et droits culturels La société moderne a su tenir compte des revendications des droits civils et politiques, économiques et sociaux. Aujourd’hui ce sont des « droits culturels » qui sont revendiqués. Toute société est de fait multiculturelle, formée de populations diverses. Comment gérer cette diversité ? En France, les « républicains » (comme les « libéraux » aux Etats-Unis) pensaient gérer le multiculturalisme en distinguant le public du privé

échelles de l’espace sont bousculées, les temporalités bouleversées, les anciennes hiérarchies socio-spatiales affaiblies au profit de redéfinitions résultant d’impératifs essentiellement économiques. » Ainsi, on peut se demander si le multiculturalisme, souvent revendiqué comme une qualité incontournable d’une société contemporaine et comme une ouverture à la mondialisation, ne pose-t-il pas des problèmes complexes pour coexister sur un même territoire avec des individus dont les valeurs

de l’homme qui sont arrivés en disant « Tous les hommes naissent et demeurent libres et égaux ». À notre époque actuelle on retrouve le multiculturalisme et l’égalité des cultures, appuyé par Lévi-Strauss qui dit « Le barbare c’est celui qui traite l’autre de barbare. C’est être barbare que de diviser le monde en être supérieur et inférieur ». Le multiculturalisme est le résultat d’une prise de position politique ou morale adopté pour promouvoir l’égalité. Tout ressemble beaucoup plus a l’ethnocentrisme

  _La discrimination positive ne serait pas légitime  au nom de la Laïcité puisqu’en favorisant des  minorités, on porterait atteinte à la majorité.  _De plus, la discrimination positive ne ferait que  renforcer le “communautarisme” et le  “multiculturalisme” qu’ils dénoncent.  _Les baux emphytéotiques (forme de contrat de  location très longue durée) seront interdits.   →Allusion notamment à la Grande Mosquée de  Marseille et le bail conclut avec la mairie.    Combattre le fn­laïcité.​  Site internet du 

(Descartes, Discours de la méthode ) multiculturalisme Coexistence de plusieurs cultures dans une société, un pays. Courant de pensée américain qui remet en cause l'hégémonie culturelle des couches blanches dirigeantes à l'égard des minorités (ethniques, sexuelles, etc.) et plaide en faveur d'une pleine reconnaissance de ces dernières. (Le multiculturalisme a notamment pour représentants les philosophes M. Walzer et C. Taylor.) Le multiculturalisme, ou la politique du puzzle ethnique

et/ou leurs traits ethniques, biologiques, etc., mais aussi par leurs modes de vie, par leurs pratiques sexuelles et autres. Ainsi, dans la pensée de Rawls résonne l’écho de la doctrine du multiculturalisme, beaucoup plus que de la doctrine de l’assimilation. Bien entendu, la réalisation de l’idéal du multiculturalisme n’est seulement possible, comme Rawls lui-même le reconnaît, que dans le cas où les candidats à la coexistence des doctrines religieuses, philosophiques ou morales ne refusent pas la séparation

« vivre ensemble » également, les politiques des grands pays d'immigration commencent à s'imposer là aussi et soulèvent de multiples questions quant aux identités nationales : introduction d'éléments de droit du sol pour l'accès à la nationalité, multiculturalisme, lutte contre les discriminations font partie aujourd'hui des nouveaux attributs de la citoyenneté en Europe, malgré une mosaïque de situations. Au Japon, devenu lui aussi terre d'immigration, la politique des « travailleurs hôtes » connaît des

L’universalisme prôné par Lévi-Strauss à partir d’une notion d’humanité universelle, nous interdit-il de juger comme inhumaines, des pratiques dont la violence et la cruauté révèle un mépris de l’humanité de l’autre ? I: Multiculturalisme -> égalisation des pratiques culturelles: 1) Tolérant (= suppose une acceptation et une justification volontaire, ce qui est positif). Ainsi, après une réflexion, il y a une reconnaissance des pratiques culturelles. 2) Indifférent (= suppose

questions serait : pas vraiment. Depuis quelques années, l’enjeu lié aux relations interculturelles entre immigrants et québécois s’est aggravé, et ce, pour une raison bien précise : il faut savoir faire la différence entre multiethnicité et multiculturalisme. Depuis toujours, les québécois forment un peuple très métissé. Notre histoire a fait en sorte qu’aujourd’hui du sang amérindien, italien, irlandais coule dans nos veines. On ne se base pas à la couleur de peau pour définir un québécois de souche

craignent que le fait d’accorder plus d’autonomie aux communautés ne favorise la désolidarisation de la société française, et qu’en lieu et place d’une société de citoyens nous n’ayons une société de communautés. Se pose alors la question du multiculturalisme. Est-il possible de fonder une société dans laquelle l’individu est seul sujet de droit, mais dans laquelle les communautés ont une place plus importante. C’est le cas des Etats-Unis qui ont plus ou moins bien réussi à mettre en place une société