Le Multiplicateur Keynésien

résultent de conflits d'intérêts entre les capitalistes, les rentiers et les travailleurs. En effet, les travailleurs et leur syndicat poussent l'Etat à prendre des mesures keynésiennes pour augmenter la demande et lutter contre le chômage. Leur pouvoir de négociations augmente à proximité du plein-emploi. Ces mesures keynésiennes provoquent de l'inflation selon la relation de Phillips. Les rentiers sont ceux qui vivent de leur rente, ce qui sous-entend qu'ils ne travaillent pas. S'il y a inflation

les théories keynésiennes. Les théories monétaires s'opposent sur le rôle de la monnaie dans l’économie. Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre, les keynésiens affirment que la monnaie est active et qu'elle peut être utilisée pour améliorer les performances économiques, et les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie. objectif: rétablir la demande à son niveau initial stratégie keynésienne se propose

A- L’équilibre sur le marché du travail B- L’équilibre sur le marché des biens et des services C- L’équilibre monétaire 2. L’approche keynésienne A- Le rôle de la demande globale dans la théorie keynésienne B- Les composantes de la demande globale C- Le multiplicateur keynésien D- La demande globale et le rôle de la monnaie E- Le fonctionnement du marché du travail 3. Les déséquilibres économiques et les stratégies

intervention minimaliste pour financer les biens publics et corriger à la marge les imperfections de marché. b. Théories keynésiennes ou néo-keynésiennes L’intervention de l’Etat est nécessaire pour éviter les blocages ou une sous-optimisation durable cycliques ; il y a l’id qu’un chômage peut exister sur le LT. Logique keynésienne Contrairement aux classiques, les Keynésiens pensent que l’économie n’atteint pas automatiquement l’équilibre mais qu’elle est soumise à des cycles de croissance.

que l'accroissement de l'investissement entraînait un accroissement plus que proportionnel du Revenu National : c'est ce que l'on appelle le mécanisme du multiplicateur. (Ce mécanisme ne figurant pas au programme de terminale ne sera pas présenté ici mais vous pouvez aller l'étudier dans les activités que nous vous proposons sur le multiplicateur). Pour que ce processus puisse se mettre en place, il faut que les capacités de production ne soient pas, à l'origine, toutes utilisées : sinon, il n'y

permettra à l’économie de sortir de la situation de sous-emploi dans laquelle elle se trouve. Les politiques de relance vont bon train, et la France connaît la période mythique des Trente Glorieuses. Cependant, dans les années 70, les politiques keynésiennes s’avèrent inefficaces pour la reprise de l’économie après le premier choc pétrolier. En réaction à cela un renouveau libéral voit le jour avec deux économistes fondamentaux, Friedrich von HAYEK de l’école autrichienne et Milton FRIEDMAN, chef de

monnaie III- Les instruments de l’analyse keynésienne 1- La fonction de consommation 2- La fonction d’épargne 3- La fonction d’investissement 4- La fonction de liquidité R. VIVIEN Economie générale, IUFM Poitiers 25/03/2007 - 17:35:13 1/20 L’équilibre macro-économique IV- L’équilibre macro-économique keynésien 1- La détermination du niveau d’équilibre 2- Les variations du niveau d’équilibre et le multiplicateur d’investissement 3- La détermination

relance de l’I en facilitant leur Financement grace à une politique monétaire expansive. (baisse du taux d’intérêt.) • Baisse du Tx d’intérêt = coût crédit + faible (financement externe) Et accroît effet de levier, rentabilité. • Pour keynésiens, politique monétaire expansive = effet positif sur l’investissement et croissance, mais, négatif car baisse tx d’interet = Hausse inflation. [donc, moins de croissance.] • Pour les Libéraux, création monétaire trop importante = Inflation.

cela, de nombreux gouvernements français ont décidé de relancer l’économie française (économie CHIRAC 75 et gouvernement socio communiste en 82 -> fuite vers l’Allemagne, importation importante de machines et outils). Ce qui a contrecarré l’effet multiplicateur recherché. (On éjecte 100, mais cela ne profite pas entièrement à l’économie française car on payait l’Allemagne). Conséquences : les réserves diminuaient. On n’avait de moins en moins de $. Pour y faire face, il fallait procéder à des dévaluations

abordé la question de la monnaie comme instrument de stabilisation du cycle économique. Cependant l’étude de ce phénomène a donné lieu à un débat entre deux écoles de pensée : les non interventionnismes (classiques) et les interventionnismes (Keynésiens). En résumé, les non interventionnismes croient que le cycle économique découle de l’exercice d’optimisation par les agents économiques de leur satisfaction ou de leur profit. Les marchés, laissés à eux-mêmes sont mieux à même de faire fonctionner