Le Multiplicateur Keynésien

l’intervention de l’Etat dans sa lutte contre le chômage, essentiellement en période de crise économique. Mais, malgré son succès auprès de nombreux dirigeants de l’époque ayant appliqués ses théories avec succès, les politiques économiques d’inspiration keynésiennes vont se révéler inopérantes lors de la crise économique de 1970. Cependant, ces résultats, plus ou moins mitigés, n’empêcheront pas plusieurs lignées d’économistes du vingtième siècle, de se réclamer de Keynes pour des emprunts de nature différente

l’acceptation générale de la nécessité d’une régulation par l’Etat de l’économie. Il existe donc un débat très vif concernant l’efficacité de l’Etat d’une part, et ses domaines d’intervention d’autre part. Ce débat oppose au niveau théorique les keynésiens aux libéraux et semble, à l’heure actuelle, gagné par les libéraux. Néanmoins, l’Etat intervient dans l’économie à travers la politique économique (conjoncturelle et structurelle) et la politique de l’emploi. La régulation par le marché

Pigou lui m prend en compte friction (tps adaptation necessaire) et faible mobilité main d'oeuvre. Keynes accede modele libéral mais pense que jamais CPP repecté donc pas applicable. S'oppose a la notion de chomage volontaire. B – Critique keynésienne ditingue salaire nominal (constaté) du réel (corrigé par inflation). Jamais de baisse du nominal mais inflation peut faire baisser le salaire réel --> seule variable necessaire a l'eco. L'offre de travail (venant des travailleurs) ne dépend pas

pensée rattachées à l’analyse macroéconomique. Comme nous le verrons une ligne de fracture entre deux écoles se trouve au cœur même de l’origine de la macroéconomie, il s’agit d’une opposition entre l’école classique ou néoclassique et l’école keynésienne en effet les principaux écrits de Keynes traduisent une volonté de rupture vis-à-vis de l’école classique. Or ce sont ces écrits qui marquent l’avènement de l’analyse macroéconomique. Toutefois notons que s’il existe de fortes divergences d’opinion

RELANCE BUDGETAIRE Relance budgétaire : effets keynésiens et non keynésiens L’analyse keynésienne des effets d’une hausse des dépenses publiques insiste sur la hausse de la demande agrégée dans l’économie. La hausse de la demande publique permet une hausse des revenus et donc une hausse de la consommation des ménages si celle-ci est principalement sensible aux revenus courants (effet multiplicateur). Dans cette analyse, deux facteurs principaux limitent la hausse de la demande agrégée : la hausse

qui aurait pour conséquence de faire monter les taux d'intérêt à long terme, dont les investisseurs tiennent particulièrement compte au moment où ils se décident à se lancer dans des projets de longue haleine. Les effets bénéfiques du multiplicateur keynésien seraient donc neutralisés, et au-delà, par la hausse des taux d'intérêt anticipés par les agents économiques, qui freinent leurs dépenses. Ainsi, que pouvons-nous dire des effets d'éviction ? Quels en sont ses limites ? Dans le souci

DE L’INVESTISSEMENT 1) Les théories de la consommation agrégée 1-1) La Théorie Keynésienne de la consommation La consommation représente 70% de la demande agrégée. L’épargne permet l’investissement et permet d’augmenter le niveau naturel de production. Il est donc important d’étudier ce qui détermine la consommation et l’épargne. 1.1.1) La fonction de consommation keynésienne Keynes est le premier à avoir posé une théorie de la consommation au niveau macroéconomique,

conférence de méthode d’économie : La révolution keynésienne ? La crise de 1929 remet en cause la théorie néoclassique d’autorégulation du marché même si ils mettent en cause la diminution de caractère concurrentiel des marchés et développent la théorie du chômage involontaire. Le chômage remet aussi en cause la loi de Say qui affirme que tout offre créer sa propre demande. La théorie Keynésienne fait alors son apparition qui en détectant une anomalie dans la théorie néoclassique développe un

propre demande », mais ceci est vrai à condition que tous les individus consomment leurs revenus. C’est là que Keynes intervient, au contraire il prend en considération ceux qui épargnent, et ceux qui sont au chômage. De là, découle sa théorie du multiplicateur : moins de revenus entraîne moins de dépenses, ce qui entraîne moins de débouchés pour les entreprises, ce qui entraîne moins d’embauche, et ainsi de suite. Pour résoudre ce problème, Keynes propose donc des nouvelles politiques consistant à inverser

une synthèse des analyses keynésienne et classique ; Hansen reprendra et diffusera l'idée plus tard, en 1952, dans son livre Théorie Monétaire et Politique Fiscale. Le modèle IS-LM est considéré comme une version formalisée des idées de Keynes, une représentation algébrique et graphique d'un certain nombre de relations posées plus ou moins explicitement par Keynes dans la TG. Cependant, certains keynésiens réfutent cette idée de synthèse dont ils nient le caractère keynésien. Ainsi le débat autour du