Le Multiplicateur Keynésien

mouvement keynésien considère que l’entreprise va investir si sa demande va augmentée. * Le mouvement classique considère que l’entreprise investit si elle a les moyens de le faire. La demande effective, c’est égale à la demande anticipée : c’est-à-dire la consommation + l’investissement donc les entreprises investissent en fonction de leur demande. * Pour Keynes, un agent économique investit en fonction de la demande, l’investissement se fait dans le temps. Pour les keynésiens, il faut relancer

(entreprises) qui achète pour vendre a une troisième (ménages) qui vend pour acheter. Même si Keynes domine encore la macroéconomie contemporaine, il importe de connaître la macroéconomie « pré-keynésienne » de Quesnay et Marx. Chapitre 1 : La macro économie pré Keynésienne I. L’analyse systématique de Quesnay François Quesnay est le chef d’une école de pensée qui s’est elle même appelée la physiocratie et qui a une forte influence au milieu du 18ème siècle

Smith) ou l'interprétation marxiste. C'est donc dans ce contexte gravement troublé que Keynes apporte une vision médiane basée sur des fondements macro-économiques (à l'échelle nationale). Face à la durée de cette crise, la politique économique keynésienne est laissée de côté. Cependant, elle a connu un retour en grâce après la seconde guerre mondiale. Il est donc temps d'exposer dans les grandes lignes qu'elle était sa thèse. Selon Keynes, le constat du chômage admet un diagnostic nouveau : le chômage

décision de creuser, de dégrader franchement le déficit budgétaire. Les différentes méthodes : Mitterrand en 81 : augmentation des dépenses publiques (G κ) avec impôts inchangés (T γ) Chirac en 2002 : G γ et T μ (politique keynésienne moins interventionniste) Bush en 2001 : G κ et T μ ( la plus radicale) Pourquoi pratique-t-on des politiques de déficit budgétaire ? On considère qu'il est légitime que l'Etat intervienne dans économie lorsque celle-ci

entreprises MACROECONOMIE I Les notions relatives au chômage  Taux Chômage global : => Chômage frictionnel + chômage structurel + chômage conjoncturel MACROECONOMIE II Interprétations théoriques du chômage  Opposition classiques/keynésiens :  DIAGNOSTICS : rigidité du marché du travail v. insuffisance de la demande globale  SOLUTIONS : réforme du marché du travail (classiques) v. politiques de relance MACROECONOMIE II Interprétations théoriques du chômage a) le chômage volontaire

J.M. KEYNES (1883-1946) Introduction : la révolution keynésienne Biographie : Il est né à Cambridge. Il est issu d’une famille aisée de la fin de l’époque victorienne, dont les ancêtres ont été longtemps proches de la cour royale. Il poursuit des études de mathématiques où il excelle en collectionnant les prix. Elève d’Alfred Marshall à Cambridge, il s’éloigne de l’analyse néoclassique lorsqu’il refuse d’analyser l’économie en dehors du temps historique. Il devient professeur d’économie

* Le multiplicateur de crédit ou multiplicateur keynésien Le multiplicateur de crédit permet de comprendre comment fonctionne la création de monnaie liée aux crédits accordés par les banques commerciales. Il exprime le lien qui existe entre l’excédent de liquidités des banques et les offres de crédit des banques auprès des agents économiques (donc la création monétaire). C’est un procédé qui permet aux banques de prêter plus d’argent qu’elles n’en détiennent en réserve. MULTIPLICATEUR DE CREDIT

prestations sociales moins les prélèvements obligatoires. b) Au salaire brut moins les impôts. c) Au salaire net reçu à la fin du mois. d) Au salaire net reçu à la fin du mis plus les aides (Allocations familiales, etc.). 1 Q.6. Dans l’analyse keynésienne, la "loi psychologique fondamentale" stipule que : a) Lorsque le revenu augmente, la part consacrée à la consommation augmente. b) Lorsque le revenu augmente, la part consacrée à la consommation diminue. c) Lorsque le revenu augmente, la propension

monétaires dominantes perçoivent le rôle de la monnaie dans l’activité économique et comment elles fournissent un cadre théorique aux pratiques monétaires. Le choix se porte arbitrairement sur les principaux courants de pensée économiques (classique, keynésien, néoclassique, et marxiste), sachant qu’une stylisation et même une simplification est nécessaire. Section I – La théorie classique (18è siècle à 1936) Pour les classiques, la monnaie est un voile, en ce sens que les forces monétaires n’affectent

pays, notamment en France, et consignées dans des plans de relance économique, qui doivent contrer le recul de la demande et relancer la croissance économique. Problématique : Est-ce qu’il est aujourd’hui rationnel de mener une politique keynésienne pour relancer l’économie en France ? Afin de répondre à la problématique posé, nous verrons dans un premier temps les théories de Keynes et ses influences sur la science économique au cours du 20ème siècle et de nos jours, pour ensuite parler