Le Muralisme Mexicain

Pollock exposées, extrêmement difficiles à rassembler, raconte Marc Restellini, directeur de la Pinacothèque, sont des oeuvres de jeunesse. Elles commencent avec un paysage de mer, puis des peintures fortes aux couleurs profondes, inspirées du muralisme mexicain, lui-même sensible à la culture des Indiens. Puis plusieurs thèmes directement liés au chamanisme sont abordés: le sacrifice, la fusion homme animal, la fusion homme femme, la renaissance et l'extase. A côté d'un mât totémique de Colombie britannique

tag : c’est une signature codée marquant un territoire, souvent illisible pour les non-initiés, c’est la base de lettrage du graffe. Le tag comme le graffe s’inscrivent dans la tradition graphique issue de l’immigration hispanique avec le “Muralisme mexicain”. En 69, à New-York, le tagueur Cay qui écrivait son tag en l’occurence son surnom, sur tout le métro disait : “Le nom, c’est la religion du graffiti, je regarde mon nom qui passe !”(1). Il pouvait rester ainsi des journées entières à regarder

Boogie - boogaloo, danse debout connue en France début 80 sous le terme réducteur de smurf. L’immigration portoricaine et sud-américaine apporte à New York la tradition du mur peint (1920/30), forme artistique narrative descriptive telle que le muralisme mexicain qui se mixe avec la culture noire du ghetto. Jean-Michel Basqquiat et Keith Haring seront quant à eux influencés par la peinture européenne et la culture underground. Mais c’est la rencontre avec les tagueurs qui donnera au mouvement son souffle

Ainsi, nous nous sommes focalisés sur un pays pendant plusieurs séances ce qui nous a permis d'aborder la culture mexicaine : l'art et l'architecture précolombiens, la colonisation, la mythologie aztèque et l'héritage indigène, le syncrétisme religieux, la frontière avec les États-unis, les dichotomies zone urbaines et rurales, la peinture symbolique de Frida Kahlo, le muralisme et Diego Rivera, les masques, la gastronomie, la musiques et les traditions. Par ailleurs, depuis le mois d'avril

de D. de Rivera Le peintre mexicain Diego de Rivera est une grande figure de l’art de l’Amérique latine du XXe siècle. A partir des années 20, il choisit de mettre son art au service de son engagement politique (communisme) en s’exprimant à travers de monumentales fresques murales, accessibles au plus grand nombre car peintes sur les murs de lieux publics, au style simple et dépouillé. Cet art engagé fut nommé « le muralisme ». L’œuvre ici représentée est une partie d’un

Il était une fois le Hip‐hop...  par lil'freak pour reprezent.ch   Le graffiti L’immigration portoricaine et sud‐américaine apporte à New York la tradition du mur  peint  (1920/30),  forme  artistique  narrative  descriptive  telle  que  le  muralisme  mexicain qui se mixe avec la culture noire du ghetto.   Importée de Philadelphie en 1967, l’idée d’inscrire son nom suivi du numéro de sa  rue sur les murs de leur quartier est reprise par les premiers taggers comme Julio  204,  Frank  207  ou  encore 

Il était une fois le Hip‐hop...  par lil'freak pour reprezent.ch   Le graffiti L’immigration portoricaine et sud‐américaine apporte à New York la tradition du mur  peint  (1920/30),  forme  artistique  narrative  descriptive  telle  que  le  muralisme  mexicain qui se mixe avec la culture noire du ghetto.   Importée de Philadelphie en 1967, l’idée d’inscrire son nom suivi du numéro de sa  rue sur les murs de leur quartier est reprise par les premiers taggers comme Julio  204,  Frank  207  ou  encore 

expresarse On commencera par présenter aux élèves la situation des personnages : Lorenza (dont le diminutif est « Lolé ») et son jeune fils, Mateo, sont colombiens mais ils se sont installés en Argentine. L’enfant va à l’école où il a une institutrice mexicaine. Celle-ci a convoqué la mère pour lui parler de l’enfant. On pourra alors faire écouter une première fois l’enregistrement aux élèves après leur avoir dit que le texte comportait deux parties. Après cette première audition, on demandera aux élèves

ayer y de hoy 101 Ouverture CD classe 18 p.70-71 Présentation La fresque d’Orozco tout comme la photo du sauveteur de la Croix Rouge sont là pour attirer l’attention sur les héros du quotidien. La première image évoque les luttes des femmes mexicaines pour la défense de leurs droits. Les élèves pourront remarquer le mouvement du tableau qui souligne la détermination que l’on peut lire dans le regard des personnages. La photo du sauveteur de la Croix Rouge montre le combat des bénévoles aidants