Le Mythe De Faust

Zérodeconduite.net). La présentation de certains documents (textes, photographies ou liens vers des extraits en ligne) permettra en outre de réfléchir avec les élèves à quelques-unes des mises en scène de Dom Juan qui ont fait date. Parce qu’il met en scène un mythe, Dom Juan se prête également à l’étude des réécritures au programme de la Première L. Les réécritures peuvent être envisagées à la fois en amont de la pièce de Molière (Tirso de Molina, 1620 ; Dorimon, 1658 ; Villiers, 1659) et en aval par les multiples

GONTCHAROV décrit la société russe comme injuste et divisé, appel à la liberté via l’inaction dans Oblomov forme un mouvement d’opposition. GONTCHAROV est un critique de la littérature française et crée au travers d’Oblomov un mythe littéraire russe à l’envergure d’un Faust ou d’un Don Juan. Un grand nombre des écrivains roumains du 19è siècle on fait leurs études ou bien complété leurs études en France : Vasile ALECSANDRI, Mircea ELIADE, Ioan GANE, Alexandre MACEDONSKI etc. L’expression artistique

n’est évoquée que par la mention de certains indices disséminés dans le poème. L’association constante de l’amour et de la mort (« Aimez qui vous aima du berceau dans la bière » ; C’est la mort — ou la morte... Ô délice ! ô tourment ! ») renvoie au mythe entourant cette déesse selon lequel elle tuait ses amants. La présence d’Artémis est aussi figurée par la référence aux « fantômes blanc » qui fait écho à sa dimension lunaire. La Poésie de Nerval s'appuie sur un code, une musicalité. C'est à la fois

souplesse par rapport aux règles des unités, il choisit des actios plus simples et moins spectaculaires. Le dramaturge doit choisir dans la nature et dans l’histoire les éléments qui permettent d’élaborer une réalité grandiose à la dimension du mythe. Musset qui ne croit ni aux actions, ni aux idées, s’attache à l’analyse psychologique. 3.4.3. Une première animée 25 février 1830, la première représentation d’ « Hernani » donne lieu à une véritable bataille : partisans du théâtre classique contre

moderne (1818), avec lequel les parentés sont également d'ordre thématique : le rapport entre créateur et créature est en effet au cœur du récit de Stevenson, qui renoue avec la légende médiévale du pacte avec le diable. Modernisée, la légende de Faust se médicalise, – c'est une substance chimique qui permet à Jekyll de se muer en Hyde – ouvrant la voie à la réflexion sur les manipulations scientifiques de tous ordres. Document 7 : « L’étrange cas du docteur Jekyll et de Mr Hyde ou personnalité

fonctionnel, sans fixation à une époque déterminée. Outre un caractère provocateur, la présence de ces «anachronismes» serviraient - et servirent à créer une certaine complicité avec le spectateur d’aujourd’hui et à montrer par cette modernisation du mythe que les héros mythiques sont de tous les temps. L’inspiration mythologique est une donnée fondamentale du théâtre français de la première moitié du XXe siècle (1927 Cocteau, «Orphée», 1932 Gide, «Oedipe», 1934 Cocteau, «La Machine infernale», 1935

fonctionnel, sans fixation à une époque déterminée. Outre un caractère provocateur, la présence de ces «anachronismes» serviraient - et servirent à créer une certaine complicité avec le spectateur d’aujourd’hui et à montrer par cette modernisation du mythe que les héros mythiques sont de tous les temps. L’inspiration mythologique est une donnée fondamentale du théâtre français de la première moitié du XXe siècle (1927 Cocteau, «Orphée», 1932 Gide, «Oedipe», 1934 Cocteau, «La Machine infernale», 1935

Chamisso, mais aussi d'une persécution par le Double devenu indépendant, qui s'oppose partout et toujours à son Moi, jusqu'à l'effet catastrophique amené par l'amour. La perte de l'ombre a été utilisée aussi par Lenau dans sa poésie Anna, qui reprend le mythe suédois 1 d'une jeune fille qui craint de perdre sa beauté en devenant mère. Dans son désir de rester toujours jeune et belle, Anna court avant son mariage chez une sorcière, qui, par un sortilège, la libère des sept enfants que le destin lui assigne

représentation du démoniaque, et de manière plus générale de Satan, varie au gré des mouvances culturelles. Le dix-neuvième siècle a convoqué la figure de Satan pour circonscrire le mal, le fuir, l’exorciser ou l’encenser. On s’attendait à ce que le mythe s’évanouisse après le XVIIIe siècle qui se voulait scientifique et raisonnable. Mais, « c’était sans compter sans la passion des foules pour le merveilleux et l’insolite, que traduisit  le rapide succès remporté par les « romans noirs » et le retour

CENDRARS, L’Or, À l'aventure P. CORNEILLE, Cinna CHRETIEN DE TROYES, Yvain le chevalier au lion F. DOSTOÏEVSKI, Le Joueur R. EMMERICH, Le jour d’après FRISON-ROCHE, Premier de cordée A. GIDE, Les Caves du Vatican, le livre V (Lafcadio) W. GOETHE, Faust J. de LERY,Histoire d’un voyage en la terre du Brésil P. PONSON DU TERRAIL, Rocambole M. SHELLEY : Frankenstein ou le Prométhée moderne D. SIMMONS, Ilium R.L. STEVENSON, L’étrange Cas du docteur Jekyll et Mr Hyde E. ZOLA, Au Bonheur des Dames