Le Néoclassicisme Peinture

CITATIONS SUR L’ART, LES ŒUVRES D’ART ET LES BEAUX-ARTS Par Antoni Gelonch-Viladegut Pour la Collection Gelonch Viladegut. 1 SOMMAIRE INTRODUCTION CITATIONS SUR L’ART CITATIONS SUR L’ŒUVRE D’ART CITATIONS SUR LE DESSIN CITATIONS SUR LA PEINTURE CITATIONS SUR LA SCULPTURE CITATIONS SUR LA GRAVURE BIOGRAPHIES DES AUTEURS REPERTORIES INDEX D’AUTEURS INDEX D’IMAGES 4 9 17 21 25 30 34 36 202 206 2 3 INTRODUCTION « L’art de la citation est l’art de ceux qui ne savent pas réfléchir

consacrèrent ce climat spirituel, en présidant à l’initiation des nouveaux adeptes de la beauté. Alors que les mouvements de Jean Moréas (le « romanisme ») et Charles Maurras (le « naturisme ») s’éloignaient progressivement du symbolisme au profit d’un néoclassicisme hellénisant, Mallarmé s’attacha à définir l’esthétique idéaliste du nouveau courant dans un article (« Divagations », 1897) et dans l’avant-propos au Traité du verbe de René Ghil (1886). Rémy de Gourmont, les poètes Laurent Tailhade, Gustave Kahn

principes communs : goût de la sensualité, des extrêmes, de l'ornementation, du langage à effets. Baroque : C'est un mouvement artistique qui s'est développé en Europe durant la période 15801660 et s'est étendu à tous les domaines (architecture, peinture, sculpture). À l'origine, le mot avait des résonances péjoratives (« baroque » se disait d'une perle irrégulière) ; il caractérisait un art très orné, voire surchargé, où se donnaient libre cours la fantaisie et l'imagination ; par son exubérance

archeologie, histoire. Néoclassisicme. Stuart et Revett, Leroy, Piranèse. Boffrand, Ledoux 1, Soufflot. Robert Adam. la ville des Lumières. Les fondements du Néo-classicisme : un tournant vers le milieu du XVIIIème siècle. XVIIIème et XIXème. Néoclassicisme = période extmmt vaste. Milieu XVIIIème : énormément de tension ! Période associée à la révolution industrielle pour l’Angleterre et révolution épistémologique pour la France (nvlles idées des encyclopédistes des lumières). MS échanges internationaux

feuillée » (1276), pièce fondée sur la vie quotidienne et première pièce comique à avoir survécu. L’histoire se déroule dans une taverne. Adam veut quitter sa femme et reprendre ses études. Il va donc demander conseil à tout le monde. La pièce est une peinture de la ville d’Arras. Elle a une dimension satirique sur la question de l’amour. C’es aussi une annonce de l’absurde (pas de fin). On a donc une œuvre pessimiste, aux antipodes de l’amour courtois et des préoccupations spirituelles. Première pièce

bourgeois ». Le texte évoque ses paroles blessantes : « rabaisser ainsi, avec des expressions d’un mépris et d’un dégoût superbes ». Le discours descriptif a une intention critique, il vise à dénoncer l’orgueil et le mépris. Le texte offre aux lecteurs une peinture des caractères. Les frères Goncourt multiplient les énumérations pour montrer toute l’étendue de l’orgueil de Mme Mauperin qui n’épargne personne : elle critique « la fortune, l’origine, la position de toutes les personnes qu’elle connaissait »,

tenterait d’esquiver le caractère absolu, radical et intangible de son impératif, avant de montrer la paradoxale proximité de ce refus de tout relativisme esthétique avec la posture des artistes de jazz et de rock, pourtant décriés par Adorno. Quant à la peinture, c’est à partir de l’interrogation « Que faire ? » de Gérard Gasiorowski que Benoît Berthou révèle la modestie et la modernité de l’activité d’inventaire libre et ludique des possibilités de la création dans les écrits et la pratique de Klee et de

histoire, sociologie, civilisations étrangères ; ainsi que plus récemment épistémologie, anthropologie, éthique et philosophie de l’action ou encore sciences cognitives. Groupe C : enfin les enseignements de beaux-arts avec des « ateliers » de dessin, peinture, sculpture ou gravure ; des séminaires d’histoire, de philosophie de l’art et de musique ; mais aussi des ateliers d’architecture ou d’urbanisme, intégrant les savoir-faire les plus récents en CAO, DAO, etc. Ces cours et séminaires représentent environ

choisies, le travail des poètes à la représentation dans laquelle ils se débattent et s’inscrivent. Elle ouvrira naturellement aux études des représentations de la mort, dans un dialogue fécond avec l’art funéraire et les arts (musique, sculpture, peinture, dessin mais aussi photographie, dont le foudroiement des apparences participe pleinement de la question) sur lesquels l’écriture poétique prend plus que jamais appui, et vis-à-vis desquels elle tente de rivaliser. De Villon mimant la pierre tombale

Ensemble des disciplines artistiques. 8. Les arts libéraux, du ressort de l’intelligence et de l’esprit : au nombre de sept : grammaire, rhétorique, dialectique, arithmétique, géométrie, astronomie, musique. 9. Les beaux-arts : la musique, la peinture, la sculpture, l’architecture, l’éloquence et la poésie ; subsidiairement, la danse. 10. Les arts d’agrément : le dessin, la musique et la danse. 11. Les arts mécaniques : ceux qui exigent surtout le travail de la main. 12. Autrefois, dans