Le Néoclassicisme Peinture

dominante de l’Europe, une fois le paganisme éteint. La fable antique, considérée dès lors comme plus anodine, n’a jamais été aussi sévèrement contrôlée que l’iconographie chrétienne, même si elle a contribué aussi à nourrir le grand genre de la peinture d’histoire. Devenue essentiellement allégorique et littéraire, voire décorative, la mythologie offrait autrement plus de liberté aux artistes que les programmes inspirés par la Bible ou la Légende Dorée, l’érotisme pouvant s’y réfugier, tout comme

précédente édition du festival faisait la part belle à la peinture, technique pratiquée parmi tant d’autres par les artistes contemporains. Si la peinture comme médium artistique est quasiment absente de l’édition de Paul Ardenne, le pictural en “ce qui se rapporte à la peinture” est lui à l’inverse très présent. En quoi les photographies, vidéos et installations présentées dans l’édition 2012 du Printemps de septembre ont-elles à voir avec la peinture et quelle est la nature de ces relations sont les

Derrière l’apparence, les apparences, l’identité est recherchée, elle s’y dessine grâce à la figurativité. La science cherche à fixer cette identité comme seule et vraie réalité, tandis que l’art accepte l’apparence et l’illusion, en fiction comme en peinture, avec la perspective par exemple. L’art traduit la différence problématologique par ses dualismes du figuratif et du réalisme. La métaphorisation est de plus en plus consciente et affirmée comme telle, comme énigme, du fait que le refoulement problématologique

pas seulement en Italie mais aussi dans la zone septentrionale de l'Europe. Alberti théorise cette rupture caractérisant l'art Florentin. Le retour à l'antique permet une modernisation architecturale. En Flandre la « Renaissance » ne touche que la peinture mais elle ne se raccroche pas à la statuaire antique. L'art flamand sera au début vanté puis critiqué par les Italiens car ne se rattachant pas à la culture antique. I) La singularité florentine  Florence est une ville très touchée durant

leurs corps se faire modeler par la rigidité de ce sous-vêtement dès l'instant ou elles quittaient le maillot. Le corps à baleines disparait en 1795, en même temps que les paniers, donnant ainsi un moment de répit aux femmes. Sous l'influence du néoclassicisme du siècle des Lumières, ces dernières peuvent alors profiter d'un style plus léger inspiré de l'Antiquité, laissant ainsi plus de place aux lignes naturelles du corps. Il sera plus tard remplacé par le corset, cependant beaucoup plus souple.

l'art 2. Le déclin de l'art occidental selon Spengler 3. L'anti-art 4. Marcel Duchamp, l'inceste et le meurtre 5. Fluxus : l'art Selavy 6. La négativité dans la peinture 7. Une scolastique artistique 8. La critique situationniste 9. Ceux qui cessent 10. La mort 11. L'obsession muséographique II. Hygiène de l'art 1. Hygiène de la peinture a) Pédagogie de l'essuie-mains (1971-1974). b) La contre-empreinte de main. c) L'usage de la couleur. 2. La déchirure des oeuvres d'art 3. Les pilules anticonceptuelles

heures ainsi que l'atteste un article de Martinez - Faux comme l'antique ou les ambiguïtés du néoclassicisme, 2008 - qui comporte le sous-titre "de Gustave Flaubert à Prosper Castanier : grandeur et décadence du roman antique" ; la fiction antique serait devenue (mais ce n'est pas nouveau, loin s'en faut) le refuge d'esthètes "navrés par le monde moderne" et a désormais aussi mauvaise presse que la peinture académique façon Gérôme ou Cabanel... Il faut attendre les difficiles années 1930 pour voir

savants du siècle des Lumières. Dans son hôtel particulier de la rue Saint-Honoré, elle tenait l’un des salons les plus importants de l’époque, où se croisaient gens de lettres, artistes, ministres et ambassadeurs. Une des particularités de cette peinture est d'être accompagnée d’une planche explicative qui reprend en silhouette les personnages figurant sur le tableau et qui, par un système très simple de renvois numérotés, précise l’identité de chacun. On peut reconnaître Marie-Thérèse Geoffrin sur

architecture. La spatialité, on cherche à épurer, c’est une nouvelle rationalité, on cherche l’ouverture la transparence, la fluidité, comme le plan libre avec le Corbusier (principe d’aménagement intérieur). Jusqu’en 1938, c’est encore le néoclassicisme. Simplicité de la ligne retour à l’antique après avoir découvert Pompey. Ce style disparaît progressivement pour laisser place au romantisme, nom donné au courant littéraire de cette période. 1830/1914, de nouvelles références, par opposition

frontières nationales. Elles font bien souvent éclater le cloisonnement dans lequel étaient enfermées les différents courants esthétiques. Dans les mélodies de FAURÉ ou de DEBUSSY se mêlent la poésie symboliste et une écriture musicale évoquant la peinture impressionniste. D'autres œuvres se trouvent à la confluence de la musique, des arts plastiques, de la littérature et de la danse : ainsi la « première » de « Daphnis et Chloé » de Maurice RAVEL rassemble au théâtre du Châtelet, en , les ballets