Le Paradis Du Fruit

les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,Je vois se dérouler des rivages heureuxQu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donneDes arbres singuliers et des fruits savoureux;Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,Je vois un port rempli de voiles et de mâtsEncor tout fatigués par la vague marine, Pendant

réalité triviale. Quand Baudelaire nous parle de « l'atmosphère parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine » c'est plus un rêve de paysage qu'un paysage réel. Donc quand Baudelaire nous parle de « pots de fleurs et de gargoulettes rafraîchissantes » on est dans le cliché. C'est encore plus flagrant quand il évoque: « la chambre d'un beau navire ». les parfums se répondent : du paradis au paradis artificiel « l'odeur du tabac mêlé à l'opium et au sucre » : énumération, mélange

étonne.). Le cadre est à la limite du paradisiaque pour BAUDELAIRE, il est inspiré par la femme qui donne lieu à la naissance d'un cadre propice au rêve, ou l'on trouve de belle femme. Ainsi, l'on peut remarquer la présence de deux composant du paradis Baudelairien dans ce poème, qui sont l'exotisme ainsi que la sensualité. Questions : Ce poème est composé de 2 phrases. Je remarque une une phrase fait 2 strophe. Les phrases sont long, cela permet au poète de développer ses idées, il détaille

l’encens, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. L’ENNEMI Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j’ai touché l’automne des idées, Et qu’il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l’eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve

Cunégonde, « Un jour » NB l’archaïsme voulu de « icelui » cad « celui-ci » qui renvoie à l’univers intemporel et très ancien du conte L’élément perturbateur est une parodie de la Genèse : Adam et Eve chassés du Paradis terrestre. Ici, le tentateur est Pangloss et l’objet de la tentation – le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal - est le désir sexuel. Cunégonde // Eve. 2) Le cadre du récit Il y a des indications spatiales : « un beau château » et « Vestphalie » La première renvoie

temps des hommes,des femmes, des enfants se sont approchés et m'écoutent incrédules,sans m'interrompre une seule fois.Mon récit fini, je les questionne à mon tour: « Où suis-je, qui êtes-vous,quel est ce monde,ce paradis?» Une jeune femme m'apporte un plat garni de légumes, de fruits,d'un poisson grillé et m'explique que leur nourriture provient de l'agriculture biologique, aucun engrais et pesticide ne sont utilisés,que la viande animale est totalement proscrite de leur alimentation par souci

même temps d’associer les mots : la fable et le vrai, le mythe et le savoir, le proche et le précis. Entre les matières ici proposées la géographie n’échappe pas. Tout au long de la narration, il va dénombrer les géographies imaginaires, comme le Paradis, Atlantide et El Dorado et leurs chercheurs dans le monde réel. Focus sur la méthode extrait tiré de l’interview mené par Gaspard Turin en décembre 2018 «ma… façon de faire » (car ce n’est pas vraiment une méthode). Ce n’est rien de vraiment

les fruits du travail doivent être également répartis (--> différent de l'individualisme des 1ers troglodytes.) Ils vivent dans une société harmonieuse - bonheur, paradis sur terre --> terre fertile qui produit d'elle-même - Société harmonieuse qui se ressent: - dans le couple et dans la vie de famille - Terre fertile = référence au mythe de l'âge d'or. - Dans l'Antiquité on croyait que l'âge d'or était au commencement de la Terre. - Âge de fer = l'homme ne peut se nourrir qu'avec le fruit de son

voyageurs sont envoûtés. ( La mort nous invite à retrouver la paradis artificiel : « Par ici ! vous qui voulez manger le Lotus parfumé…fruits miraculeux…enivrer de la douceur étrange… » ( Référence à l’Asie : évocation de l’exotisme, du paradis « Lotus » ( Métaphores au sujet de la nourriture qui renforcent l’aspect paradisiaque et le pouvoir de conviction de l’appel : les fruits sont capables de miracles « Les fruits miraculeux… » ( Ouverture sur une nouvelle dimension :

éléments complémentaires : tout d’abord la conception du travail comme étant essentiel à l’homme, puis la remise en question de l’idée selon laquelle le labeur serait une punition divine à laquelle nous échapperions si nous étions, tels Adam et Eve, au paradis, ce qui permet à Kant d’établir en un troisième temps le travail comme le meilleur moyen d’échapper à l’ennui, ce qui paraît primordial si on voit en celui-ci l’occasion de se replier sur soi-même. En affirmant que le travail est une chose primordiale