Le Pater Familias

Hem d’aprofitar aquest punt de sortida per situar els personatges del conte. En Màrius  (nom típicament romà) era fill d’una família d’arrel grega (el pare es deia Semònides i  la  mare Safo). Era una  família  humil. El pare treballava a  la  factoria de  salaons  i  la  mare  portava  una  taberna   (botiga)  als  baixos  de  la  casa  on  vivien.  El  millor  amic  d’en  Màrius  era  en  Tiberi.  Aquest  era  fill  d’una  família  adinerada  d’Empúries d’ascendència romana (el pare, Antoní,  era  un  comerciant  important)

cinquantaine de familles élargies : les gens gentes, ces clans avaient peuplé les 5 collines de Rome c'est donc à partir de là que la coutume s'est développée. Ces coutumes sont extrêmement rigoureuses et placent en leurs centres la figure du pater familias (père de famille) donc tous les membres sont soumis. Il a un droit de vie et de mort sur les membres de sa famille. Ces coutumes organisent une société essentiellement rurale : ces coutumes organisent la propriété des terres et la transmission

familiale[modifier | modifier le code] Le status familiae est le statut de la femme de l'individu dans la famille. Les Patres familias ont toute l'autorité dans la famille (patria potestas), et chacun est soumis à lui sur la base de l'adgnatio (parenté seulement du côté du père). Les alieni iuris (personnes soumises complètement à l'autorité) et les sui iuris (les personnes autonomes, et celles qui peuvent prétendre au pater familias). Les fils de famille Filius familias ont le ius suffragii et le ius honorum

traditionnelle 1) Le droit Romain Il révèle la prédominance d’une conception patriarcale de la famille : la gens. Tous les descendants d’un ancêtre commun, y compris les enfants majeurs et leurs conjoints, demeuré, placé sous l’autorité du pater familias qui pouvait aller jusqu’au droit de vie ou de mort dans les temps primitifs. Le culte des ancêtres donne a cette famille étendue un caractère religieux, tandis qu’elle joue dans une société agraire un rôle économique essentiel. De plus, son poids

Hammurabi( vers 1750 AV .J.-C.) , mais aussi dans la Bible Hébraïque, où le chef de famille avait le pouvoir absolu, comme c’est symbolisé dans le conte d’Abraham, qui était disposé à sacrifier son fils Isaac […] . Aussi dans la Rome antique, le « pater familias » avait un pouvoir absolu, même sur les biens des fils et d’abord c’était à lui de rétablir l’honneur bafoué pas seulement envers soi, mais à l’égard de tous les membres de la famille. « Dans la société patriarcale » Cassar affirme «  l’honneur

de meilleurs pères ? »  Etymologiquement, la paternité est la reconnaissance sociale du lien de parenté entre un père et son enfant. L’emploi du mot « Père » du latin « Pater » appartient à la tradition antique, en particulier à Aristote, qui définit la royauté idéale comme un gouvernement paternel. En droit romain, le pater correspondait à la volonté d’un homme de se constituer père (en droit romain on dit aussi « agir en bon père de famille »). Si cette définition permet de résumer en quelques

La famille a évolué au cours de l'Histoire, la famille désignait dans l'antiquité : l'ensemble de la famille qui reposait sur le pater familias, la famille était non seulement l'épouse mais les descendants, les esclaves et toute personnes qui pensaient descendre d'un ancêtre. Aujourd'hui c'est différent la famille est un groupe de personne uni par des liens de droit. La constitution de la famille repose traditionnellement sur deux pilliers, d'abord l'union d'un homme et une femme, qui constitue le

la gens rendait un culte à l'ancêtre commun. Chaque gens avait ses coutumes et des droits personnels. Jusqu'au début du 5e siècle av. J.-C., seuls les patriciens avaient des droits politiques. Sous la Monarchie romaine, les chefs des gens (les pater familias) formaient le Sénat romain qui assistait le roi. Quand la République romaine est établie, seuls les patriciens pouvaient devenir magistrats. Ce n'est qu'en 336 av. J.-C. qu'un non-patricien (un plébéien) devient Consul, et qu'en 330 av. J.-C. qu'un

authority, conducted negotiations, while B, the pater familias was charged with the juridical effects, especially for A’s liability – whether A is a filius familias or more often a slave − so that B could suffer (third party) creditors’ executions. Scheme 1 illustrates the case. As can be seen, an obligation is established between A (the slave or the filius familias subjected to paternal authority) and T, the third party. But B, the pater familias, is not involved in this relationship at all. He

juridiquement la propriété d'une autre personne et donc négociables (achat, vente, location, ...), au même titre qu'un objet ou un animal domestique. Un esclave était un bien que l'on possédait, dénué de tout droit ; il était sous la domination du pater familias qui avait droit de vie et de mort sur lui. Le prestige d'un Romain se calcule au nombre d'esclaves qu'il possède. Certains en commandent plusieurs milliers. Le simple citoyen se satisfait d'un ou deux. N'en avoir aucun est le comble de la misère