Le Paupérisme

Hugo veut frapper l'imagination de l'auditoire dont certains sont sceptiques ou critiques, on voit clairement une détermination de l'orateur. Les principaux procédés rhétoriques sont mis au service d'une évocation pathétique de la misère, du paupérisme, il veut faire partager une émotion et une indignation. Cet auteur engagé, s'appuie de ses autres ouvrages comme "Les Misérables" pour parvenir à aider les misérables, pour qu'il n'y ai plus d'injustice.

efficace une dénonciation : -Le lecteur peut être sensible à l’éloquence d’un discours : ex : Le Discours sur la misère prononcé par Victor Hugo à l’assemblée où il cherche à convaincre et à persuader les députés de la nécessité de lutter contre le paupérisme et l’égoïsme indifférent de la société ,discours qui s’adresse autant à la raison qu’aux sentiments des destinataires. La lettre ouverte emprunte au discours son éloquence et ses procédés rhétoriques (« j’accuse » de Zola). -Le genre poétique

à Strasbourg, 1830 à Boulogne c. Refonder le bonapartisme de pouvoirNapoléon 3 retravaille sa doctrine pour pouvoir reprendre le pouv : en 1832 il publie « les rêverie politique », en 1839 « les idées napoléonienne » et en 1844 « l’extinction du paupérisme »Question de compromis entre liberté, souveraineté et pouvoir personnel. Début doctrine social, discours patriotique voir nationaliste : restaurer le prestige de la France et remettre en cause le traité de VienneIII. Le bonapartisme vers le pouvoira

le social dans l’économie. L’état providence construit à partir de l’idée de redistribution à selon lui une part de responsabilité dans l’extension ou l’approfondissement des situations de pauvreté. Plusieurs autres auteurs ont analysé le paupérisme. On peut ainsi retenir Paugam, Tocqueville, Marx et Simmel[18]. Paugam va faire une distinction dans l’Europe du XIXè siècle, les pays les plus misérables et les pays les plus opulent qui comptent le plus d’indigent. Les indigents selon lui

conditions d’emprisonnement assez confortables. Il met à profit cette captivité pour se consacrer à l’étude et faire avancer sa cause dans l’opinion par l’écriture de brochures et d’articles dans les revues locales. Il écrit notamment Extinction du paupérisme (1844), ouvrage influencé par les idées saint-simoniennes et développant un moyen populiste pour accéder au pouvoir : « Aujourd'hui, le règne des castes est fini, on ne peut gouverner qu'avec le peuple ». La révolution française de 1848, qui met

criminalité et au paupérisme. (L’état permanant de pauvreté d’une partie de la population), c’est l’indigence (misère) d’une partie de la société. Ils constatent l’importance des délie, cela leur permet de diagnostiquer une maladie du corps sociale. Cette maladie est porté par l’un de ces organes la classe laborieuse. Avec ce constat, il développe une médecine sociale qu’ils vont appliqué aux conditions de vie des familles misérable ou pauvre. Dans ces condition, le paupérisme et considéré comme

qu’est ce qui se passe ? qu’est-ce qui change pour cette catégorie de personnes ? Se poser des questions : Pourquoi le XIX°s ? • Révolution industrielle : apparition de nouveaux métiers, mécanisation permet le travail des femmes… • Exode rural • Paupérisme • Syndicalisme et grève : quelle place pour les ouvrières ? Longue durée : un siècle = y a-t-il eu des évolutions ? quelles sont les dates marquantes ? Est-ce que cela va de soi de parler d’ouvrières ? le travail de femmes est-il vu comme normal

impossible (il s'agit de la disparition de toute criminalité), car on aurait pu dire la même chose de l'esclavage dans l'antiquité, et maintenant encore du paupérisme, de la mendicité dans les rues. » Il m'est impossible d'apercevoir le rapport entre la disparition du crime et celle de l'esclavage, l'esclavage n'étant pas un crime. Quant au paupérisme, nous ne sommes guère en état de savoir s'il est destiné à disparaître. Une espérance n'est pas un fait. Et d'ailleurs, sur ce point encore, quelle relation

modèle bismarckien de protection sociale et le modèee Beveridge ? La protection sociale est récente, elle est créee au début du XX ième siècle. Elles naissent de l'impuissance de la charité avec des systèmes d'assistance à lutter contre le paupérisme qui surgit du développement industriel. Nous avant ici deux modèle de protection sociale, deux modèle qui sont bien différents. D'un côté nous avons le modèle Bismarkien qui représente l'époque du chancelier Bismark, il a pris la responsabilité

Le rapport de force est inégal : le salarié n'a aucun droit, aucun syndicat, les enfants travaillent et une nouvelle misère apparaît : l'absence de travail, autrefois compensé par la charité, devient un travail peu payé. C'est ce qu'on appelle le paupérisme : État de grand pauvreté d'une population, d'une classe sociale. Cette réalité pose la question sociale qui introduit le travail social. Le rapport de Louis-rené Villermé (1838) est une enquête demandé par la faculté de médecine. C'est un enquête