Le Père peinard

vie très faste des bourgeois et la misère des ouvriers (docs 2 et 3). Enfin, les documents 4 et 5, l’interview d’un grand industriel du temps, Henri Schneider, en 1897 et un article du syndicaliste Émile Pouget paru dans le journal satirique Le Père Peinard, nous offrent la possibilité d’analyser les aspirations politiques de chaque classe : aux théories libérales exposées par M. Schneider répond, dans un ton volontairement polémiste, la dénonciation de la frilosité du gouvernement à réduire de 10

aime pas, et puis tant pis BENABAR – ADOLESCENTE Am B7 Ta mère t'avait dis demande ce soir à ton père E7 Am il a répondu non évidemment comme pour l' scooter B7 t'as eu beau plaider qu' tes copine l'ont déjà depuis longtemps E7 Am le téléphone dans ta chambre c'est non C Dm tu quittes la table en hurlant vivement qu't'es 18 ans E7 Am ça y est ton père s'ennerve t'as gagné tu peux être contente C Rm avec ta mère on se sert la ceinture toute l'année B7

l'engagement journalistique qu'est J'accuse. L'affaire Dreyfus est en effet le premier événement sur-médiatisé en France. Des milliers de publications ont littéralement « fait » l'opinion. 3) Le document est un extrait de Octave Mirbeau tirée de « Le père Peinard » paru en octobre 1898. Cet extrait nous décrit le camp dreyfusard et le camps antidreyfusards. En effet durant «l'affaire Dreyfus», la société française se déchire entre deux camps. Les dreyfusards eux soutiennent Dreyfus. Ils font parties de

Chimène sont très amoureux... Mais le roi Don Fernand choisit Don Diègue (le père de Rodrigue ) et non Don Gomès, le jeune comte de Gormas (père de Chimène) pour exercer les fonctions de précepteur (instituteur) auprès de son fils. Très jaloux, Don Gomès donne alors une gifle à son rival. Don Diègue qui est plus âgé demande à son fils de le venger en provoquant le comte en duel. Rodrigue tue ainsi son futur beau-père et Chimène est alors obligée de demander au roi la mort de son amant .....même

d'état civil Auguste Marie Joseph Jean Léon Jaurès, est né à Castres en 1859 dans une famille de la petite bourgeoisie du Tarn (dont sont issues quelques brillantes carrières comme celle de Benjamin Jaurès, amiral et ministre de la marine en 1889). Son père, Jules Jaurès, négociant1, n'a pas réussi et se replie sur une petite exploitation agricole de 6 ha dans laquelle son fils passe son enfance et son adolescence jusqu'à l'âge de 17 ans. C'est une époque où il connaît, non pas la misère, mais peut-être

terres du Languedoc aux Pays de Loire,mais est fait prisonnier en dépit du cran de son jeune fils Philippe le Hardi qui l’accompagnait(Souvenons nous de notre temps où les instituteurs enseignaient l’histoire et de ce fils, disant à son père « père gardez vous à gauche,père gardez vous à droite » ce fils,c’était lui Philippe le Hardi , aucune allusion à une actualité récente ce serait fortuit.) … Résultat : pour la libération du Roi, une rançon de 3 millions d’écus, l’équivalent de 12,5 tonnes d’or,

vague des attentats anarchistes entre 1892 et 1894 aboutit au vote des trois « lois scélérates » en décembre 1893 et juillet 1894. Elles entraineront, pour un temps, la disparition de la quasi totalité des titres de presse libertaires, dont Le Père Peinard d'Émile Pouget et La Révolte de Jean Grave. La censure s'est maintenue durant tout le XIXe siècle et selon les différents régimes politiques au pouvoir. C'est un va-et-vient incessant entre liberté et censure plus ou moins sévère. Les journalistes

plus le bourreau mais la victime. On userait de votre humanité afin de vous la faire perdre. De même, si par mégarde vous laisseriez s’échapper vos sentiments, vos adversaires en profiteraient largement pour en abuser. Quand j’y repense, ce bon vieux père Goriot n’a pas échappé à cette règle. Il était humain, mais est mort de ses bons sentiments pour ses filles. Ce monde l’a bien eu. Ici bas, la société épie toutes vos faiblesses, toutes vos failles, toutes vos nécessités pour ensuite pouvoir mieux

parti de ce que l’on appellera à partir de 1922 des anarchosyndicaliste. Né en 1860, Emile Pouget, profondément marqué par le procès des Communard de Narbonne, s’est très tôt investie dans le mouvement ouvrier. Dès 1889, il devient l’auteur du père Peinard dans lequel il dénonce l’illusion de la lutte politique et tente d’éveiller les conscience parmi les ouvriers. Des ouvriers qui se trouvent alors devant une impossibilité à trouver une solution réformistes à leurs revendication immédiate ( se

vérité Emergence de l’objet Un cahier rouge Premiers mots Peter Stillman père Peter Stillman fils Virginia Stillman Deux parenthèses Un peu d’histoire Quelques références L’enquête Deux suspects Trois lettres Trois rencontres Première rencontre: Je nomme donc je suis 2.6.3.2. 2.6.3.3. 2.7. 2.7.1. 2.7.2. 2.7.2.1. 2.7.2.2. 2.7.3. 2.8. 2.8.1. 2.8.2. 2.8.3. Deuxième rencontre: Histoire de l’oeuf Troisième rencontre: Père et fils Paul Auster Dénégation L’ultime recours Le corps Un semblant d’analyse