Le Personnage De Pyrrhus Dans Andromaque

blanc plumage. Près d'un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec 1 Andromaque : du grec « andro » = homme et « maché » = combat » : « celle qui combat les hommes ». Dans la mythologie grecque, elle était la femme d’Hector, dont elle avait eu un fils, Astyanax. Lors de la guerre de Troie, Neoptolème, fils d’Achille, jeta Astyanax du haut des remparts, puis enleva Andromaque et l’emmena en Epire pour l’épouser. Ce personnage inspira Homère, Euripide, Virgile et Racine. 2 Simoïs : dans la mythologie

des endroits concrets de Paris (Le Caroussel, le Louvre). C’est aussi un poème-symbole de la mélancolie et de la revolte. Il a été écrit dans une période de la transformation de Paris par baron Haussmann (1553-1870). CYGNE I Andromaque, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs menteur qui par vos pleurs grandit, A fécondé soudain ma mémoire fertile, Comme

Andromaque d’Euripide, une traversée des interprétations I. La tragédie grecque ancienne Origine de la tragédie La tragédie est d’abord une performance, une fête à la fois religieuse et civique. La tradition rapporte qu’elle serait née sous l’impulsion du tyran Pisistrate qui organisa le 1er concours tragique lors des Grandes Dionysies, i.e des fêtes en l’honneur de Dionysos. Aristote la fait naître des improvisations liés au dithyrambe (dans ce chant à Dionysos un initiateur, l’exarkhos, improvisait

BIBLIOGRAPHIE Sont réunis ici quelques "classiques" qui ont inventé ou développé un style, un sous-genre, des personnages, des situations nouvelles et mémorables. Beaucoup d'entre eux reflètent leur époque (le passage à la démocratie dans l'Antiquité grecque, le mal de vivre romantique, ou l'inquiétude devant la montée du totalitarisme, par exemple). Pour ces raisons, ils sont devenus des références fréquentes pour les oeuvres ultérieures. Leur lecture constitue une base culturelle

revele des sentiments d’un personnage. Dans Dom Juan de Moliere par exemple, une bonne partie d ela piece est employer pour exprimer l’amour de Dom Juan envers les femmes. Dans Brenice de Racine, plusieurs scenes sont cnsacré a l’expression des entiment des trois personnages, Titus, Berenice et Antiochus. Enfin, dans andromaque, malgres le conflit qui regne la qusi totalité de l’oeuvre, certaine scene montre l’amur que porte un perosnnage pour un autre, tel aue Pyrrhus et Oreste pour Hermione. B

ACTE I ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V III/ETUDE DES PERSONNAGE PHEDRE HIPPOLYTE ET ARICIE OENONE les exposants THESEE ABDOU

évidence les motivations de l’âme humaine, enfin nous monterons que l’amour peut conduire à accomplir des actions extrêmes, suscitant des réactions chez le lecteur. Tout d’abord, la force incontrôlable de l’amour peut pousser les personnages à commettrent un meurtre, à se suicider, et effectuer des vengeances qui ont des conséquences terribles. Ces événements qui sont généralement utilisés par les écrivains pour créer des rebondissements, servent également à faire éprouver des émotions

prenons l’exemple de la scène durant laquelle Argan pense pouvoir devenir médecin en portant simplement l’habit de cette profession et en répétant un discours latin, totalement erroné. Cette situation est excessive, et a pour but de tourner Argan, personnage antipathique, en ridicule avec toujours le même but : le rire du spectateur. En ce qui concerne la tragédie, l’excès a pour but de déclencher de fortes émotions. C’est d’ailleurs cet excès qui provoque en nous le phénomène de catharsis, c'est-à-dire

terrain que Corneille. Racine nous y ramène dans des circonstances particulières. Auguste. la pièce de Corneille fait apparaitre à l’arrière plan d’auguste, son passé. (auguste qui s’appelait Octave) derrière Auguste, il y le souvenir d’Octave, personnage plus violent, il a conquit le pouv par la force et la cruauté. Son accession au pouv liée aux proscriptions. (proscription = qd est déclaré proscrit, on est déclaré ennemi de Rome, on perd la protection, on peut être tué par n’importe qui= sorte

Corneille » : Andromaque. L’extrait étudié ici est la dernière scène de cette œuvre, acte V, scène 5 : le personnage d’Oreste y apprend le suicide de sa bien-aimée Hermione par l’intermédiaire de son ami Pylade. En quoi cette scène présente-t-elle un dénouement typique d’une tragédie ? Nous étudierons d’abord le comportement ambigu d’Oreste face au désespoir, puis la chute du personnage vers la folie, et enfin la manière dont cette scène résout l’intrigue et le sort des personnages. Dans