Le Personnage Don Salluste

en scène des personnages autour d'une lettre. Celle ci possède diverses fonctions dans le déroulement de l'intrigue. On se demande donc quelles sont les fonctions de la lettre au sein de chaque scène. Pour répondre, nous verrons deux aspects de la lettre : un aspect dramatique, et également un aspect scénique. D'un point de vue de l'aspect dramatique de la lettre, on peut voir dans le texte 2 que cette lettre ne doit surtout pas tomber aux mains de Bartholo, le tuteur du personnage principal :

Ruy Blas, acte II scène 2,Victor HUGO INTRODUCTION : Le monologue permet au personnage, seul sur scène, de se livrer à une introspection : il peut ainsi exprimer ses sentiments ; colère, peine, détresse. Dans la scène 2 de l’acte II de Ruy Blas écrit par Victor HUGO en 1938, la Reine d’Espagne, seule dans sa chambre laisse libre cours à ses sentiments et à sa rêverie dans un long monologue lyrique. Elle y révèle ses inquiétudes et donne en même temps des informations sur R.B et D.S. PROBLEMATIQUE :

société de ce temps quels sont leurs aspects et leurs caractères ». Pensez-vous que cette affirmation rende totalement compte de la fonction du théâtre ? On dit que le théâtre est l'art de l'illusion. Shakespeare fait pourtant dire à l'un de ses personnages, dans Hamlet : « L'objet du théâtre a été dès l'origine et demeure encore de présenter pour ainsi dire un miroir de la nature et de montrer à la vertu son portrait, à la niaiserie son visage et au siècle même et à la société de ce temps quels sont

montrer l’intérêt de la lettre dans la double énonciation. 1) Tout d’abord, nous remarquons que la lettre occupe une place centrale dans les documents 1, 2 et 3 : en effet, dans le document 1 et 4, nous sommes confrontés à la présence de deux personnages (Dorante et Araminte) qui sont en train de rédiger une lettre destinée à un autre homme. Du point de vue dramatique, la lettre est un moyen pour Araminte de parvenir à ses fins : faire en sorte que Dorante lui avoue enfin ses sentiments. Nous le

l'Antiquité amplifient et déforment voix et visages pour mieux souligner l'identité du personnage : une bouche au rire largement ouvert signale le personnage comique… De même, les costumes, aux couleurs souvent tranchées, prennent une valeur symbolique : le traître de mélodrame est vêtu de noir et porte un large chapeau qui lui couvre le visage pour mieux montrer sa vilenie (on peut penser au manteau noir de Don Salluste de Hugo et à la livrée qui trahit en Ruy Blas le valet). La commedia dell'arte abondait

pour se les attacher sans retour possible. On a affirmé, je le sais, que les jeunes gens qui fréquentaient chez Catilina, y contractaient des vices contre nature ; mais c'est sur d'autres faits, et non sur des choses vues, qu'on s'est appuyé pour donner créance à ce bruit. | Sed ego quae mente agitaui, omnes iam antea diuersi audistis. Ceterum mihi in dies magis animus accenditur, cum considero, quae condicio uitae futura sit, nisi nosmet ipsi uindicamus in libertatem

La scène met aux prises Don Rodrigue, le fils de Don Diègue et Don Gomes, comte de Gormas, le père de Chimène. Au cours de la scène 3 de l'acte I, jaloux de la faveur du roi envers Don Diègue, qu'il a nommé gouverneur de son fils, l'infant de Castille, Don Gomes a souffleté le père de Rodrigue. Rodrigue vient trouver Le comte pour lui demander réparation au nom de son père, trop âgé pour venger lui-même son honneur. D'un affront si cruel Qu'à l'honneur de tous deux il porte un coup mortel :

SOMMAIRE Catégorie : Lettres modernes. Résumé : Analyse de l'acte III, scène 3, de la pièce de Victor Hugo. Cette scène est capitale : elle dresse un subtil portrait psychologique de Ruy Blas et de la reine. Les révélations commencent et les deux personnages prennent alors conscience de leur amour respectif (3 pages rédigées). Plan : Introduction I. Le jeu des sentiments 1. L'amour de la reine 2. Ruy blas se dévoile II. La vérité éclate 1. La fin de l'ambiguïté amoureuse

Ses deux dernières pièces Esther et Athalie sont des pièces de commande. Racine trouve pour Phèdre, ses sources chez Euripide dans Hippolyte voilé et Sénéque dans Phèdre (50 après J-C). A l'époque de Racine, de nombreux auteurs se sont inspirés du personnage de Phèdre : Gabriel Gilbert, Brudat... C'est en 1677, que Racine écrit la pièce Phèdre et Hippolyte jouée par l'Hotel de Bourgogone. Le titre définitif de l'oeuvre Phèdre est donné lors de la deuxième édition. L'extrait étudié est la première scène

leur existence. Le bronze représente les « Autres » qui porte un jugement sur Garcin, ce dernier a l'impression d'être assailli par ces regards cependant, ce n'est qu'un bronze et les seules personnes présentes dans la pièce sont les deux autres personnages. Tout comme les didascalies, certains objets sont important voire nécessaire au symbolisme ou bien à la compréhension d'une pièce. Tout comme les accessoires, les décors ainsi que les costumes sont indispensables à la représentation théâtrale