Le Petit Catéchisme

EPISTOLAIRE Deux aristocrates s’ennuient à mourir dans leurs somptueux salons ; l’un dans une demeure parisienne, l’autre dans un château luxueux de la campagne autour de Paris. La Marquise de Merteuil décide alors de se divertir en fomentant une petite intrigue pour son propre amusement et celui d’un ancien amant, le Vicomte de Valmont. La Marquise sait qu’une jeune fille de bonne famille, Cécile Volanges, vient juste de quitter le couvent pour être mariée au Comte de Gercourt. Or la Marquise a

la forme d’une cérémonie solennelle à la fin du catéchisme. Puis, elle devient au XIXe siècle un rite de passage de l’enfance à l’âge adulte. En 1910, le pape saint Pie X demanda qu’on admette à l’eucharistie les enfants beaucoup plus jeunes, dès "l'âge de raison" vers 7 ans. Cette cérémonie fut appelée "communion privée" ou "petite communion" et on continua à célébrer la communion solennelle" vers 12-13 ans couronnement de l’enfance et du catéchisme. Depuis les années 1970, l'ensemble "communion

Vénérable Maître. Le Vénérable Maître frappe un coup de maillet : o Qu’il entre ! Colonne d’Harmonie Le Grand Expert fait baisser (petite porte) le profane qui se relève entre les colonnes… » Je lis bien : « fait baisser le profane qui se relève » Et : « petite porte », entre parenthèses. Qu’est-elle donc, cette porte « basse », « étroite », et maintenant « petite » ? Tous ces resserrements, que laissent-ils passer ? Je suis bien passé, et me souviens de ces impressions d’initiation : « Voici

inscrire dans une paroisse, y vivre, vous y mariez. A chaque fidèle une paroisse. Le CdT dit : le curé doit connaitre ses paroissiens, doit vivre dans sa paroisse, et seul lui peut donner les sacrements. Le curé doit tenir un état des âmes = il a un petit cahier et à chaque naissance il note les enfants, les parents, date de mort, de naissance, sorte de recensement. Lorsque vous lisez un état des âmes au moment où il y a la peste, le registre s’arrête parce que curé est mort. Instrument de contrôle

pourraient y apprendre", "je croirais rendre service", ce qui implique qu'il doute de la réelle efficacité de son projet. Et de fait, on peut s'interroger sur l'efficacité morale du roman. Mme de Merteuil perd son procès, elle est défigurée par la petite vérole, mais pour autant ces déconvenues ne sont pas la conséquence de sa perfidie et de son machiavélisme, donc ne peuvent être considérées comme des "punitions" bien méritées. Seule l'opprobre général dont elle est l'objet à l'opéra lors de sa dernière

coucher. De plus, il ne se contente pas de l’acte sexuel banal, mais s’autorise, l’homosexualité et la sodomie par exemple. Cet élément ressort d’ailleurs nettement dans les liaisons dangereuses. En effet, le Vicomte de Valmont va enseigner un « catéchisme de débauche » (lettre 110, p.322) à la jeune Cécile de Volange. Il existe deux types de libertinage, le libertinage érudit qui se contente de contester les mœurs et l’Eglise par la pensée, comme le font les philosophes et le libertinage des mœurs

l'Europe médiévale occidentale, on tentait d'inculquer aux filles les principes de vertu, de piété et de bienséance. En effet, l'éducation des filles est fixée avant tout sur le point de vue religieux. On leur apprend les travaux domestiques et le catéchisme pour qu'elles puissent ensuite, élever leurs enfants dans la chrétienté. La religion passe par la femme et se transmet de mère en fille. Très peu de femmes sortent de cette sphère religieuse. Ce ci dit, pour connaître les règles de la bienséance

profit d’un métissage culturel. Au cours de notre exposé nous essayerons de le présenter en montrant sa particularité. I. BIOGRAPHIE DE LEOPOLD SEDAR SENGHOR 1. Son enfance (1906 - 1928) Léopold Sédar Senghor naît le 9 octobre 1906 à Joal, petite ville côtière située au sud de Dakar, Sénégal. Son père, Basile Diogoye Senghor, est un commerçant catholique aisé appartenant à l'aristocratie sérère du Sénégal. Originaire de Djilor, sa mère, Gnilane Ndiémé Bakhoum (?-1948), que Senghor appelle

Quoi ! Toujours la loi, rien que la loi, et jamais autre chose ? - Toujours la loi, rien que la loi, et jamais autre chose ». Au regard du droit de la Révolution et du Code civil de 1804, quelles réflexions vous inspire cet extrait du Catéchisme républicain à l’usage des sans-culottes (an II) ? - La loi - La souveraineté de la loi - La loi, expression de la volonté générale - Quelles réflexions vous inspirent ces extraits de l’Opinion sur la manière dont il convient de limiter

fait la construction d’Eglises rivales, la confessionnalisation. Chaque Eglise entreprend de limiter et la construction des infrastructures qui leurs sont propres, liturgie, théologie. Chaque Eglise entreprend de mieux instruire ses fidèles par le catéchisme. Les princes tentent de renforcer le contrôle sur la vie religieuse de leurs populations. Le Pape ayant délégué aux souverains une « mission catholique », « divine ». Le roi peut nommer ou révoquer les évêques. Dans les Etats protestants c’est aussi