Le Petit Prince Registres Utilisés

personne principal qui se prénomme Fabrice est un homme assez naïf qui ne comprend pas ce qu'il se passe à la guerre. Il ne sait pas ce qu'il se passe, il est perdu . Le personnage est aussi tellement admiratif devant ses héros comme Napoléon ou le prince de la Moskova qu'il réussit à oublier sa peur d'être tuer ou de se vexer après avoir était insulter par le maréchal. Il éprouve de la compassion pour les hommes morts à terre même si il ne sait pas qu'ils étaient leurs ennemis avant la guerre.

Paris. Le 2 Septembre 1715, le Parlement de Paris, de connivence avec le duc d'Orléans casse le testament de Louis XIV, et accorde au duc la Régence du Royaume, en échange de son droit de remontrance. Ainsi, Philippe d'Orléans devient le Régent. Ce prince s'entoure de tout un panel de lettrés et de politiciens brillant, et parmi eux, le duc de Saint-Simon. Le texte qui nous est présenté ici est un extrait de son œuvre colossale que sont ses Mémoires. Saint-Simon est né en 1675, son père a alors 68

sont pas des hommes » Ce qui conduit le lecteur à une conclusion diamétralement opposée :    (Donc nous ne sommes pas de vrais chrétiens) Linges 24-25 - « Les princes d'Europe font beaucoup de conventions inutiles »  -« Or ils n'en font pas en faveur des esclaves »  -« Donc c'est qu'il n'y a pas lieu d'en faire » (Donc les princes d'Europe sont sans cœur) 4) -Les lignes 1 et 2 « si j’avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : »sont

récit animé, vivant et pittoresque par la variété des temps employés se développe considérablement par rapport à la morale, qui loin de rester la seule finalité de la fable, en devient aussi un prétexte. Les fables de la Fontaine sont de véritable petite scène de genre, pittoresques et circonstanciées, le plus souvent humoristique, jouant sur l’alternance irrégulière de différant mètres (octosyllabes, alexandrins..) utilisant des effets complexes de rythmes, d’assonances et de rimes; La Fontaine se

intentions, pour que ses propos ne soient pas ambigus, s'applique-t-il à user de toutes les ressources du langage et du style pour dire le plus exactement possible. Le choix de la brièveté Un style rapide et concis La variété des remarques La variété des registres La variété des procédés d'énonciation La variété des discours I  POURQUOI LE CHOIX DE LA BRIÈVETÉ      Les Caractères offrent une diversité de procédés d’écriture qui rendent cette œuvre difficilement classable dans une catégorie générique précise

lauriers », avec une image de puissance, car dès sa première réplique v.228-v.229, il hésite entre deux adversaires redoutables « Le grand Sophi de Perse, ou bien le grand Mogor ». Il utilise le superlatif « grand » pour valoriser ses ennemis, et ainsi pour se valoriser lui-même (comme le faisait Jules César). Après, il utilise le champ lexical de la guerre avec « guerrier, mettre en poudre, escadron, bataille, canon, soldat, armée, ennemis, Mars » afin d’accentuer l’aspect hyperbolique de son personnage

tard des dictionnaires vont compléter et codifier ce « bon usage » en question. Mais plus encore l’âge du goût. L’âge du goût Parce que Molière : « La grande règle de toute les règles et de plaire » C’est donc séduire et pour plaire il faut le petite je-ne-sais-quoi. On cherche à plaire. Molière, Lafontaine, mais encore Bossuet, Racine.. un travail très précis sur la forme. Pascal, Boileau = sont les théoriciens du « bon goût », sont aussi les ennemis du pédantisme. L’éveil de l’esprit

et désespérée. Dès les premières lignes de l’extrait, le lecteur apprend de Jocaste, qu’elle est manipulée par Tirésias, il l’influence pour l’amener à réfléchir comme bon lui semble « ne réveille pas ces tristesses », le terme affectueux qu’il utilise à son égard « ma colombe » installe la supériorité de Tiresias en faisant d’elle un oiseau fragile. La première réplique de Jocaste installe le tragique de cet extrait. En effet, le spectateur sait déjà quel va être le destin de cette reine, Jocaste

noblesse et des titres honorifiques, comme « duc »l.1, « cour»l.3, « prince»l.4, « maison»l.6, « vidame»l.7.. . Cette noble distinction des personnages de la cour nécessite également un registre des plus soutenu pour les évoquer, ainsi madame de Lafayette semble user de mots d’un extrême raffinement tout en restant simples, comme le veut le classicisme de l’époque. On peut aussi noter que l’imparfait est le temps le plus utilisé dans cet extrait, or l’imparfait est le temps de la description, de plus

a) Récit fabuleux, souvent d’origine populaire, qui met en scène des êtres, incarnant sous une forme symbolique, les forces de la nature, les aspects de la condition humaine. b) Représentation de faits ou de personnages réels déformés. On peut utiliser le mythe comme absorbant la légende, certains mythes sont des légendes… Ex : Le mythe de Faust. c) Expression d’une idée ou d’une doctrine, d’une théorie, au moyen d’un récit poétique. Ex : Le mythe de la Caverne de Platon. d) Représentation