Le Petit Prince Stylistique

semblant de s’être cogné la tête » (sc. 2, l. 215) implique-t-elle ? Il s’agit du pantin à ficelle : Toinette tente de manipuler Argan. 2. Dans la première partie de la scène 2, quel procédé du comique de situation est employé ? Quelle caractéristique stylistique en accentue le rythme ? Il s’agit du diable à ressort. La colère d’Argan tente de repousser la supposée douleur de Toinette, le diable. La répétition de « Ha ! » (l. 220, 22, 224, 226, 236, 238 et 243) en accentue le rythme. 3. Relevez deux répliques

répandre, c’est un élément de confort. On remarque qu’ils se servaient de l’obsidienne pour faire des miroirs, les bijoux sont en pierres. Les ustensiles en bois correspondent aux « niveaux acéramiques » La poterie ( Hacilan, est un petit village de production de poteries de qualité. Les motifs sont inspirés des paniers de joncs. Il y a des décorations. Les couleurs sont rouges (oxyde de fer) sur fond vert (la terre est beige). La méthode de poterie est dite « en boudin », que l’on

facétieux essaient après dîner leur carabine à répétition. » Anti royaliste, anti empereur, anti pouvoir (chef de famille, clergé, militaires, maîtres d'école). Pour le peuple avant les anaphores finales : « J'aime bcp rire en société […] dans votre petit intérieur ». Propose un tour du monde pour que les riches voient les pauvres. Art poétique : « je ne vous ai pas demandé de penser ; je vous ai dit de regarder ». Annonce ensuite une révolution sociale. Chante le printemps. Chant final en faveur

dans le cadre d’une argumentation. 2 La progression thématique A La progression à thème constant Le même thème (ce dont on parle) est repris d’une phrase à l’autre, mais le propos (les informations) est différent. Ainsi dans cet exemple, où le prince de Clèves rencontre pour la première fois sa future femme : […] il ne savait que penser, et il la regardait toujours avec étonnement. Il s’aperçut que ses regards l’embarrassaient, contre l’ordinaire des jeunes personnes qui voient toujours avec

 il est demandé aux  élèves d’expliciter l’idée que le réalisme n’est pas la  photographie exacte du réel – photographie impossible à produire car détailler le monde serait une tâche  infinie et peu intéressante – mais l’illusion donnée par    le petit fait vrai. Dans le même ordre d’idées, pour  peindre le réel, la construction est nécessaire : il appartient à l’auteur de montrer au lecteur la logique du  monde. Ainsi s’éclaire l’apparente contradiction entre  les termes associés de « réalistes » et d’« illusionnistes »

place importante aux traditions babyloniennes, tout comme Xénophon, renchérissant sur Hérodote qui a écrit une chronique très représentative des mœurs et des coutumes perses. Dans l'Antiquité grecque, la figure du poète était incarnée par Orphée, Prince Thrace légendaire, fils de la muse Calliope, poète, musicien et chanteur, dont on dit que le génie était tel qu'il charmait même "les bêtes sauvages". La poésie apparaissait alors comme un monde divin, et le poète étant inspiré par les Muses, lui

années. » Comme le mettent en avant les découvertes archéologiques, la première civilisation d’envergure et la civilisation crétoise ou minoenne. Site Wikipédia internet [pic] [pic] Fresque reconstituée par Evans, connue sous le nom « Prince aux lis ». Stylistique [modifier] L’entrée du palais se fait sur le côté ouest du palais, par la grande cour. À première vue le palais semble être un labyrinthe mais c’est en fait un système très cohérent et logique. Ce système est dédalique. Il comporte

du poète comme totalisante et pas seulement multiple ; l’usage d’un temps du passé lui donne une profondeur temporelle. D’emblée, dès la toute première phrase du recueil le « je » se problématise en s’approfondissant. Niveau purement lexical, stylistique voire intertextuel (j’entends à l’échelle de la Saison) : le mot jadis est un mot ancien pour désigner ce qui est ancien, un mot déjà ressenti comme archaïque du temps de Rimbaud. Si je parle d’intertexte c’est que je pense que la variation diachronique

d’un souffle nouveau l’Europe toute entière. La culture et l’art de ce siècle prennent un caractère d’universalité qui ne s’était encore jamais vu auparavant. C’est qu’en effet la splendeur des cours, un mécénat munificent (celui des pages et des princes) attire écrivains, philosophes et artistes. En même temps, le développement et la multiplication des relations entre Etats, favorisent leurs voyages comme l’imprimerie permet la diffusion des œuvres de ceux qui travaillent en des centres éloignés

et variables dans chaque particulier avec une telle diversité, qu’il n’y a point d’homme plus différent d’un autre que de soi-même dans les divers temps. Un homme a d’autres plaisirs qu’une femme ; un riche et un pauvre ont en de différents ; un prince et un homme de guerre ; un marchand, un bourgeois, un paysan, les vieux, les jeunes, les sains, les malades, tous varient, les moindres accidents les changent.16 Il se retrouve donc face à une impasse : il se doit de convaincre ses lecteurs mais