Le Piano Verlaine

Paul Eluard, " La courbe de tes yeux… ", Capitale de la douleur. 1926. (Manuel des technologiques, p. 172) Jacques Prévert, "  La promenade de Picasso ", Paroles. 1947. Une lecture cursive au choix : Anthologie de la poésie française de Villon à Verlaine, Le Livre de poche ou 128 poèmes en langue française… de Jacques Roubaud, bibliothèque Gallimard. Des reproductions de tableaux : Une vanité d’un peintre espagnol du XVII Antonio de Pereda y Salgado : " El Sueno del caballero ", 1670. " Caprices "

de front une carrière journalistique et politique, soit à Lérida, soit à Barcelone. En 1885, il se fixe dans cette ville avec sa famille afin que ses deux fils aînés puissent continuer leurs études : pour Jose l’école d’ingénieur, pour Ricardo le piano et l’École de Musique. Cette même année 1885 il est admis au Collège des Professeurs de Catalogne, et un an plus tard il entre au ministère de l’Agronomie. Le 12 octobre 1887, il accompagne à Paris sa femme et son fils Ricardo, afin que celui-ci

les ciseler. Ceci est particulièrement vrai de la poésie qui dès son origine, se fait connaître comme un des arts majeurs de la parole. C’ est un point de vue que semble partager le poète Paul Valery dans un article consacré aux poètes « Villon et Verlaine » intitulé Variété in Oeuvres I dans la collection La Pléiades , qui, parlant du rapport à la langue qui lie le poète à son oeuvre affirmait en 1957 : « le lyrisme est la voix du moi, portée au ton le plus pur, sinon le plus haut. ».Paul Valéry

France Activité principale Auteur-compositeur-interprète, scénariste, metteur-en-scène, acteur Genre musical Chanson française, jazz, mambo, cha cha cha, variété française, reggae, pop, rock progressif, new wave, funk, rap, ballade, world Instruments Piano, guitare, basse, accordéon, harmonica Années actives 1957 – 1991 Labels Philips (groupe Universal Music) modifier Serge Gainsbourg (Lucien Ginsburg) (né le 2 avril 1928 à Paris - mort le 2 mars 1991 à Paris) est un artiste peintre, auteur-compositeur-interprète

raisonné dérèglement de tous les sens ». Selon Paul Verlaine, Rimbaud a composé son plus beau poème en vers suite à la semaine sanglante : Les Veilleurs17 ; son sujet était la douleur sacrée causée par la chute de la Commune. Vilains Bonshommes[modifier] « Coin de table », assis à gauche : Paul Verlaine et Arthur Rimbaud (Henri Fantin-Latour, 1872, Musée d'Orsay). Il est difficile de situer le début de la relation épistolaire avec Verlaine. Celui-ci prétend avoir reçu très peu de courriers et

lyrisme, en littérature et en musique. -En Europe, la musique évolue: la symphonie se développe avec Beethoven ou encore Schubert.L’orchestre est étoffé pour faire entendre le rugissement des tempêtes ou l’inflexion d’un coeur qui s’abandonne. Le piano devient un instrument permettant aux artistes comme Chopin d’exprimer la gamme des sentiments intimes dans des écritures variés comme le prélude ou le nocturne. -En littérature, le lyrisme est associé à la figure d’Orphée, prophète primitif à l’unisson

non pas refléter la réalité mais la transformer; ils nous font entrer dans leurs rêves: - Nerval ou " l'épanchement du songe dans la vie réelle " (l'importance du "rêve") - Rimbaud, " voyant " et " voleur de feu " (l'importance des images) - Verlaine, le charme de la suggestion Introduction En poésie, le sens est-il jamais l'essentiel? Un poème se résume mal, se traduit difficilement. Les mots priment avec leurs sons, leurs oppositions, leurs formes. Montaigne résumait ainsi la poésie:

fleurs sont vos fleurs et vous dites que vous ne les reconnaissez pas.  Et ces pieds sont vos pieds, mais voici que je marche sur la mer et que je foule les eaux de la mer en triomphe! À une demoiselle, dans Les amours jaunes de Corbière Pour piano et chant La dent de ton Erard, râtelier osanore,  Et scie et broie à cru, sous son tic-tac nerveux,  La gamme de tes dents, autre clavier sonore...  Touches qui ne vont pas aux cordes des cheveux !  - Cauchemar de meunier, ta : Rêverie agile

étrangement pittoresque». Depuis lors, la renommée et l'influence du recueil n’ont fait que croître. À la suite de Baudelaire, nombreux furent les écrivains qui ont invoqué (ou à propos desquels on a pu invoquer) le patronage d’Aloysius Bertrand : Paul Verlaine, Lautréamont, Joris-Karl Huysmans, Villiers de L’Isle-Adam, Jules Laforgue, Stuart Merrill, Maurice Rodenbach, Jean Moréas. Au nom de tous les poètes, Mallarmé le déclara «par sa forme condensée et précieuse, un de nos frères» ; et quand il affirma

artificiels). ➢ Lectures analytiques : [entre 4 et 6 dans la liste suivante] 1) Victor Hugo, « Rêverie », Les Orientales, 1829 2) Aloysius Bertrand, « Un rêve », Gaspard de la Nuit, 1842 3) Paul Verlaine, « Mon rêve familier », Poèmes saturniens, 1866 4) Lautréamont, « Chaque nuit, à l’heure où le sommeil…comme un morceau de matière mollasse… », Les Chants de Maldoror, extrait du Livre V, 1869 5) Arthur Rimbaud, « Aube »