Le Piège diabolique

Attention ! Les indications en couleurs ne sont qu’une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. Néron, Don Salluste, Lucrèce Borgia, Caligula, Ubu 1… Le théâtre offre une galerie de monstres, de traîtres, de personnages diaboliques qui incarnent la noirceur des hommes et du monde et l’on se presse de venir frémir aux pièges insidieux de ces êtres du mal. Dès l’Antiquité, et plus encore au e XVII siècle, la querelle sur la moralité du théâtre pose le problème de ses fonctions

scène particulièrement tragique de la scène la plus comique du Dom Juan. En habillant Charlotte et Mathurine de façon similaire, c'est à dire à la manière de poupées de porcelaine, il fait de celles-ci des marionnettes prises par le piège fatal tendu par le diabolique Dom Juan. Une musique lugubre renforce la dimension tragique et offre au spectateur une nouvelle lecture de la scène. Quelque soit sa lecture du texte d'origine le metteur en scène ajoute donc des effets de sens à l’œuvre sans dénaturer

cinq actes en vers de cette pièce, le valet, personnage principal qui donne son nom à l’œuvre, fait face à un maître diabolique, Don Salluste prêt à tout pour se venger de la reine. Celui-ci se sert de son domestique pour tenter d’y parvenir. L’extrait de la première scène de l’acte IV que nous avons ici, est un monologue caractéristique : on y voit un jeune homme tourmenté, piégé, désabusé, incarnation même du héros romantique. Comment V. H. parvient-il à le mettre en valeur ? Nous verrons

Girard ( lecture psychanalitique des contes de Grimm ) : « Un teint à la fois blanc , rouge et noir fut jadis considéré comme tellement parfait , qu’on l’attribuait naturellement à la mère du Christ » . Quand au .. piège final , celui de la pomme empoisonnée , il représente un diabolique retournement de l’harmonie et des valeurs originelles .. On retrouve plusieurs symboles de couleurs , tout au long du conte : la pomme avec un côté rouge et un autre blanc , le corbeau noir , la colombe blanche

lui reproche ainsi sa pusillanimité : « Etait-il saoul l’espoir, dans lequel vous étiez vêtu ? et a-t-il dormi depuis ? Et se réveille-t-il maintenant pour regarder pâle et vert ce que librement il voulait ? » (I,7, 59). De fait, Macbeth est pris au piège d’une volonté qui ne trouve pas à se réaliser dans l’action, « laissant « je n’ose pas » veiller sur « je voudrais », comme le pauvre chat du proverbe. » (I,7 59) Inversement, Lady Macbeth non seulement accueille d’emblée le mal, mais, rejetant frénétiquement

Encerclement visuel ensuite, la place est investie par les agents « quatre hommes se montrèrent à la porte du salon ». Ils entrent « Les pensionnaires se séparent pour livrer passage à trois de ces hommes » D'autres paraissent ensuite aux issues. Le piège est refermé (8 agents dans la maison + d'autres dans le jardin et la rue). Beaucoup d'hommes contre un seul, montre férocité et supériorité du forçat. L'encerclement à une fonction théâtral grâce aux assaillants nombreux, un cercle comme une scène

texte est le retournement de situation brutal qui survient au cours de la dispute. On peut remarquer au fur et à mesure de la lecture que le personnage de Laura avait tout prémédité, et c’est ce qui dès le début condamna son mari à tomber dans son piège. Le plan machiavélique de Laura consiste d’abord à rester passive en étudiant le terrain. On peut le constater dans les didascalies qu’elle reste à sa place d’origine même au moment où le Capitaine avance menaçant dans sa direction. Cela donne l’impression

liaisons dangereuses de Stephen Frears - Les liaisons dangereuses 60 de Vadim - La discrète de Christian Vincent 5°/ lectures analytiques (ou linéaires) : a- ouvertures b- choix de lettres : lettre n° partie 1 2 : le piège de M 4 : le défi de V 21: un exploit de V (la charité) (V à M) 34 : fonctions de la lettre (V à M) 48 : le « pupitre » partie 2 63 : le triomphe de mme de Merteuil 81 : Merteuil se raconte partie 4 125 : la victoire Valmont

attentat énorme contre les ordres de la Providence. À ces causes et autres, pour l’édification des fidèles et pour le bien de leurs âmes, nous leur défendons de jamais lire aucun livre, sous peine de damnation éternelle. Et, de peur que la tentation diabolique ne leur prenne de s’instruire, nous défendons aux pères et aux mères d’enseigner à lire à leurs enfants. Et, pour prévenir toute contravention à notre ordonnance, nous leur défendons expressément de penser, sous les mêmes peines ; enjoignons à tous

irrationnelle et occulte. [17] Dans un deuxième mouvement du portrait, Enéas parle le l’aspect physique de la prêtresse. Elle apparaît comme l’image de la vieillesse, laideur et son aspect fait peur. En plus, lui est attribué une allusion au diabolique. Ici, l’image d’elle tourne pour le lecteur du sublime positif au physique négatif. Quand même qu’elle soit un personnage païen, l’influence du Moyen Âge chrétien est visible dans la cette accentuation sur la bonté de l’âme et sur la mauvaiseté