Le Port de l'angoisse

qu’ils daignent considérer. Ceci ferme définitivement les portes à tout ce qui est différent et rend impossible toute forme d’innovation. Ce sont des gens qui refusent consciemment de laisser une place à ce qui bouscule leurs propres modes de vie ou de pensée. Ensuite, le inquiets conscient de la différence, convaincus de son intérêt mais mal à l’aise quand il sera question de l’accueillir. Non par égoïsme mais parce que l’angoisse et la remise en question induites par ce qui sort de l’ordinaire

demande. L’Homme est tout à la fois dépendant et pourvoyeur selon la période de sa vie et ses rencontres. Ce sont ses premières dépendances qui détermineront son mode de relation. L’enfant est dépendant du parent, toutefois celle-ci est réciproque. L’angoisse du parent de voir s’éloigner son enfant est parfois si forte qu’il peut mettre en place une relation même inconsciente de domination- sujétion à laquelle l’enfant répond par la provocation, la recherche d’autonomie, de limites. La culture est une

pousse a accomplir des actions. (EX: Nourriture) MAIS, L'animal fait ça aussi.... Pour que le Désir soit humain et non simplement un Désir il faut qu'il porte sur un objet non matériel. Pour que mon désir se distingue du besoin animal il doit se porter sur un autre désir. Tout Homme a me désir d'être désiré. ••Désir de reconnaissance•• Pour obtenir la reconnaissance je dois prouver a l'autre que je ne suis pas un animal, je dois faire quelque chose qu'un animal ne peut pas faire. Je dois alors

envahit l'âme du poète, son émouvante sollicitude pour tous les êtres, ce don de pitié et de sympathie par lequel il ressent la souffrance universelle et enfin son inquiétude mystique et son désir pathétique de fixer contre des retours menaçants de l'angoisse, la paix que lui a apportée une vision bénéfique. Résumé Gérard par sa faute vient de perdre Jenny, qu'il s'appelle désormais Aurélia. Il porte en lui une image qui, nuit et jour, le hante. Un soir il croit distinguer son fantôme puis pendant

et bruyante. De plus elle est aménagée par de grand couloirs très peu décoré et de couleur très pale. Ces facteurs ne facilitent pas l’enfant à se sentir sécurisé, contenu et protégé mais au contraire crée de l’angoisse et de l’anxiété. Tous ces temps de transitions génèrent de l’angoisse qui peut provoquer des situations de violence. Cette démonstration n’est qu’un moyen d’illustrer une souffrance occasionnée par des incapacités et autres désavantages dus à ses perturbations. En cela, je veux

voire ses agresseurs. Si la gravité du racket l'impose, il est possible de porter plainte dans un commissariat de police ou auprès de la gendarmerie. S'il y a crainte de représailles, la loi autorise les victimes qui portent plainte à se domicilier au commissariat. Le racketteur risque 7 ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende. Puni par la loi, le racket n'est pas à prendre à la légère. L'enfant mineur ne peut porter plainte seul pour des faits dont il a été victime. Les jeux « interdit

final devant laquelle tout le monde est égal. Le fait de prendre Don Juan comme exemple est significatif car c’est un héros sensé être intouchable mais même lui est jugé comme un homme normal. Angoisse de la mort : Ce poème est significatif de l’angoisse du poète envers la mort tous les termes qui sont utilisés pour décrire ce monde sont chacun des termes péjoratifs : vers 3 : sombre mendiant/ vers 6 : se tordaient/ vers 4 : vengeur/ vers 7 : victimes offertes/ vers 13 : maigre. De plus le vers

disparaître progressivement les portes, les fenêtres, les murs de la salle du trône. Ce jeu de décor est très important. Maintenant, il n'y a plus rien sur le plateau sauf le Roi sur son trône dans une lumière grise. Puis, le Roi et son trône disparaissent également. Enfin, il n'y a plus que cette lumière grise. (...) Le Roi assis sur son trône doit rester visible quelque temps avant de sombrer dans une sorte de brume. Ionesco voulait extérioriser l'angoisse de ses personnages dans les objets

ces petits navires de reconnaissance qui sont au service du port. Sa dextérité à rendre compte du monde marin se prolonge de façon plus technique encore lorsque l’auteur évoque l’art de la navigation. Il use ainsi d’un lexique spécifique aux hommes de mer par souci du détail. Mais les précisions que donne l’auteur concernant le décor marin permettent un rapprochement avec la nature terrestre. En effet, rappelons à titre d’exemple que le port du Havre est comparé à « un grand bois mort ». De la même

quittaient, violemment. À peine séparés, ils ne pensaient plus qu’à se retrouver. » l.15/16 chap. 11, ou Anton : « Il l’appelle souvent "mon amour", cela lui donne des ailes » l.42 chap. 18. Il en découle parfois un désir d’indépendance, mais « l’angoisse les étreignait dès qu’ils croyaient vraiment se perdre », l. 32/33 chap. 19. D’autre part, ils sont les uns comme les autres solidaires en ces périodes troublées, d’où l’intervention de Steph dans l’autocar lorsque extirpant une petite fille