Le Port de l'angoisse

intériorisée, en vertu de l'instauration d'un Surmoi. Alors les phénomènes de conscience (morale) se trouvent élevés à un autre niveau, et l'on ne devrait parler de conscience et de sentiment de culpabilité qu'une fois ce changement opéré 2. Dès lors l'angoisse d'être découvert tombe aussi, et la différence entre faire le mal et vouloir le mal s'efface totalement, car rien ne peut rester caché au Surmoi, pas même des pensées. Toutefois la gravité réelle de la situation a disparu du fait que l'autorité

Alchimie poétique, S12- LL3 1ère « Spleen »(« Quand le ciel bas et lourd… »)Prépa : L.L .DST : Q + LL : Faire la correction puis LLIntroduction (Présentation générale : à développer) Charles Baudelaire est un poète de la modernité inclassable : ni tout à fait romantique, ni tout à fait parnassien et précurseur du symbolisme. Le recueil les Fleurs du Mal , publié en 1857, au titre oxymorique, évoque la quête d’un héros

bateau où il travaillait comme forçat. Il passe pour un noyer. Puis on voit dans quel état réel se trouve l’enfant de 8 ans. On la voit envoyée à la nuit chercher un grand seau d’eau pour abreuver un cheval. A son retour comme elle n’arrive pas à le porter une main l’aide. C’est Jean Valjean (on le croit) . Pourquoi l’auteur s’obstine t il à ne pas dévoiler son identité. Une hypothèse fausse : recherche du suspens car l’identité est évidente et puis ce suspens n’aurait guère d’enjeu dramatique. Le vrai

            Cette psychanalyste considère que le sadisme est d'une importance capitale au début de la constitution du moi puisque l'excès de sadisme fait naître l'angoisse et mobilise les premières réactions de défense du moi. Chez Dick, nous pouvons constater à travers l’analyse de Klein que son sadisme est inhibé, et qu’il n’a pas accès à l’angoisse et donc aux prémisses du moi. Pour l’enfant, la première défense du moi se réfère, pour Klein, à deux sources de danger : le propre sadisme du sujet et l'objet

que celle-ci soit totalement infondée, elle représente un besoin indispensable pour l’esprit humain. Et enfin pour terminer, Freud constate que l’illusion religieuse permet ainsi de faire avancer l’homme, de l’éclairer face aux ignorances qu’il peut porter à l’égard du monde dans lequel il vit. Premièrement selon Freud, « Les idées religieuses qui professent d’être des dogmes, ne sont pas le résidu de l’expérience ou le résultat final de la réflexion » (l1 à 2), mais ce n’est pas non plus le fruit

descente aux Enfers et son tiraillement entre spleen et idéal, entre le sublime et le sordide. Le recueil traduit l’itinéraire de cette âme en quête d’idéal mais qui se confronte inévitablement au spleen...Dernier dans la série des quatre poèmes à porter le titre Spleen, poème de 5 quatrains à rimes croisées, ce poème situé sans la section spleen et idéal, évoque une phase aiguë du mal être baudelairien. Certes, il s’agit bien, comme dans d’autres spleen, de tristesse, d’abdi- cation de l'Espérance

Scène d'exposition a) le décor est planté - par de nombreuses didascalies : on ressent l'importance du détail pour Ionesco. (fenêtres, escabeau, portes, chaises...) b) le lieu - on est sur une ile isolée, entourée d'eau, où il n'y a rien à faire. C'est un lieu de solitude et pourtant il y a une ouverture vers l'extérieur grâces aux portes et aux fenêtres. c) le temps - il faut nuit - univers un peu fantastique car le temps est déréglé (on fait perdre les repères de lieu

1893), tous deux élèves de Charcot pour désigner un trouble psychique (hystérie, obsession, phobie). Tous deux voient en la névrose une organisation secondaire destinée à la fois à permettre une assimilation maladroite de l’évènement et à éluder l’angoisse qui jaillirait d’une prise en charge directe de celui-ci. Mais leur descriptions et analyses respectives tiennent compte de leur conception : • Freud : la névrose est un mode de solution à la question de la castration par fixation à un scénario

preuve de beaucoup de réalisme, de fantaisie et de pessimisme, ce qui est rare et choquant pour la bourgeoisie de l’époque. On retrouve tous ces aspects dans le roman Pierre et Jean ainsi que les thèmes fétiches  de Maupassant qui sont : le Havre, le port, la mer et la famille. Ce roman raconte l’histoire d’une famille, dont un fils, Pierre, apprend par hasard l’illégitimité de son frère, Jean, et cette révélation le pousse à quitter le milieu familial. Au cours de la lecture du roman, le lecteur est

de tous les manques et de toutes les lacunes qu’ils ont éprouvés au cours de la vie. L’absence des êtres tend à être comblée par les chaises vides, mais c’est le renforcement de cette sensation qui est mis en relief. Ionesco cherche à traduire l’angoisse du vieux couple face à la solitude déchirante et à la condition humaine pénible et pathétique. Néanmoins, cette scène vide, par le départ de l’orateur et à la suite de la mort du vieux couple, s’avère n’être rien qu’un désert abandonné, plongé