Le Portrait Ovale Résumé

Balzac définit son œuvre : La Comédie Humaine est la peinture de la société. Expliquez-moi... Balzac. 3 Eugénie Grandet Édition de référence : Paris, Alexandre Houssiaux, Éditeur, 1855. 4 À Maria. Que votre nom, vous dont le portrait est le plus bel ornement de cet ouvrage, soit ici comme une branche de buis bénit, prise on ne sait à quel arbre, mais certainement sanctifiée par la religion et renouvelée, toujours verte, par des mains pieuses, pour protéger la maison. DE

Arthur l’écrivain fait la description suivante du valet «Ses yeux clairs riaient dans sa face de jeune sauvage. On ne peut le voir sans le tenir pour un peu fou, mais ceux qui le voyaient le tenaient aussi pour beau et noble »9 Nous voyons qu’il s’agit ici d’un portrait psychologique du jeune homme. On pourrait penser qu’il est un peu fou mais si on regarde bien il est aussi beau et noble. L’aspect du jeune homme est trompeur. Par la conversation du jeune homme avec sa mère, nous apprenons des choses sur notre personnage

supporteraient des bibelots : des agates et des œufs de pierre, des boîtes à priser, des bonbonnières, des cendriers de jade, une coquille de nacre, une montre de gousset en argent, un verre taillé, une pyramide de cristal, une miniature dans un cadre ovale. Plus loin, après une porte capitonnée, des rayonnages superposés, faisant le coin, contiendraient des coffrets et des disques, à côté d'un électrophone fermé dont on n'apercevrait que quatre boutons d'acier guilloché, et que surmonterait une gravure

dresser : «  Ce n’est pas tout de boire, il faut sortir d’ici  » et qui sonne déjà comme une petite morale. b) Récit de la sortie Alors que les fables antiques sont bien plus courtes que les siennes, on constate que La Fontaine ne livre qu’un sobre résumé de la sortie, que ses devanciers prennent le temps de narrer : «  Le Renard sort du puits  ». Probablement, La Fontaine a voulu éviter la répétition de la description de l’escalade du Renard… En tout cas, cela met en évidence le discours direct du

d’une bonne partie de leurs objets dans leurs déplacements et ne gardaient que ce qui est le plus utiles. IV. Quelques aspects généraux de l’art africain : Les traits de l’art africain, auquel cette séance souhaite vous introduire, ne peuvent être résumé dans une seule et même définition, puisque chaque tribu a un style spécifique, une conception de l’espace et un traitement du langage plastique différents. 1- Matériaux utilisés : Terre cuite : Aux origines de la sculpture africaine, on retrouve

dans la vie, des façons de l’atténuer et, puisque l’on ne peut pas éliminer complètement le stress dans notre vie, des conseils pour composer avec les agents stresseurs de la vie. Le vieillissement Page 7 Tu trouveras dans cet article un portrait du vieillissement en Amérique du Nord. On commence par le définir pour ensuite en élaborer les causes. On termine l’article par une présentation de quelquesunes des perspectives sociétales sur le vieillissement. La fin de la vie Page 9 Cet

ample moisson détudes sur les nobles montagnes, les plaines majestueuses, les lacs, les cataractes, les fleuves, les chasses, les tribus sauvages de ces territoires fantastiques. Il était beau garçon; son visage un peu pâle, coloré sur les joues, dun ovale distingué annonçait une complexion délicate mais aristocratique, On naurait pu le considérer comme un gandin, cependant il affichait de grandes prétentions à lélégance, et possédait au grand complet les qualités sterling dun gentleman. La jeune lady

dans la série animale, que je ne doutais pas du succès de l'opération, même sur un homme. À moi seul, je ne pouvais ranimer et sauver Mr le colonel; mais j'avais dans mon laboratoire tous les instruments nécessaires pour le dessécher sans aide. En résumé, trois partis s'offraient à moi: 1° laisser Mr le colonel dans la tour crénelée, où il aurait péri le jour même par congélation; 2° le ranimer par des excitants, au risque de le tuer, et pourquoi? pour le livrer, en cas de succès, à un supplice inévitable;

marqueterie, dont le dessus faisait échiquier, était placée dans le tableau qui séparait les deux fenêtres. Au-dessus de cette table, il y avait un baromètre ovale, à bordure noire, enjolivé par des rubans de bois doré, où les mouches avaient si licencieusement folâtré que la dorure en était un problème. Sur la paroi opposée à la cheminée, deux portraits au pastel étaient censés représenter l’aïeul de madame Grandet, le vieux monsieur de La Bertellière, en lieutenant des gardes françaises, et défunt madame

marqueterie, dont le dessus faisait échiquier, était placée dans le tableau qui séparait les deux fenêtres. Au-dessus de cette table, il y avait un baromètre ovale, à bordure noire, enjolivé par des rubans de bois doré, où les mouches avaient si licencieusement folâtré que la dorure en était un problème. Sur la paroi opposée à la cheminée, deux portraits au pastel étaient censés représenter l'aïeul de madame Grandet, le vieux monsieur de La Bertellière, en lieutenant des gardes françaises, et défunt madame