Le Pouvoir Dans Britannicus

Néron, fils d’Agrippine, essaie de la détrôner du pouvoir ainsi que Britannicus (fils de l’Empereur Claude). Il cherche à épouser de force Junie, qui aime Britannicus (aimé de Junie). Narcisse, le confident de Britannicus, trahit ce dernier et aide Néron à persécuter Junie. Burrhus, confident de Néron, essaie d’empêcher le conflit entre Néron et Britannicus en s’alliant avec Agrippine. Junie révèle son amour à Britannicus. Néron fait arrêter Britannicus et Agrippine puis menace Burrhus. Croyant reprendre

l'epoque , amis du senat. Il avait un caractere faible et avait une voix s'apparentant aux pachydermes marins comme le relate Sénèque . III. Il arrivit au pouvoir agé d'une cinquantaine d'année , si tard car ce fut le dernier homme de la famille suite a l'assassina de Caligula . IV. Lors de son régne , Claude donna souvent trop de pouvoir a la plèbe et surtout aux provinces romaines . Il décida que les Gaulois ( où il naquit ) pouvait devenir citoyen romain et devenir sénateur , les troyens ne

ｫUlysseｻ et pleins d'autres, il est donc imp駻atif de conna羡re le personnage dont il est question et un peu de leur passpour suivre le fil de l'histoire et conna羡re l'identitde certains personnages. Par exemple dans la sc鈩e 1 de l'acte 1 de l'oeuvre Britannicus, Agrippine et Albine 騅oquent ｫClaudiusｻ, ｫAugusteｻ, ｫDomitiusｻ ｫCaiusｻ. Ne pas conna羡re ces personnages peuvent compromettre la compr馼ension de certains d騁ails du passe qui ne sont pas expliqu駸: Le fait que Neron est monstrueux et que son r鑒ne sera

Dissertation - Britannicus « Il n’y a point de cabale qu’ils n’aient faite, point de critique dont ils ne se soient avisés. ». Selon Racine, Britannicus fut une œuvre qui souleva largement la critique et tout ce qui pouvait être jugé et réprouvé le fut. Dans la préface de 1970, il revient sur les nombreux points sensibles qui ont soulevé le débat. Parmi ceux-là est évoqué le cas du personnage de Néron et c’est pourquoi il est intéressant de revenir sur la déclaration de l’auteur : « D’autres

hors du commun : par sa position, sociale et politique ; par son pouvoir ; par la grandeur de ses qualités, ou de ses vices ; parfois, par son malheur. Un puissant détenteur de l ’autorité La tragédie grecque et classique ne met en scène que des rois (ou des reines), des empereurs, des généraux. En fait, peu importe leur titre, qui correspond aux exigences historiques de l’intrigueI. Seul compte le fait qu’ils détiennent le pouvoir, et qu’ils le détiennent absolument. Plusieurs conséquences en

dés le vers 2 : « Faut-il que vous veniez attendre son réveil ? » L’action L’élément-clé (l’élément perturbateur) est révélé progressivement au cours du texte : v.10 – 14 : « Contre Britannicus, Néron s’est déclaré / L’impatient Néron cesse de se contraindre / Las de se faire aimer, il veut se faire craindre, / Britannicus le gêne … » Mais il faut attendre le vers 54 pour en connaître la nature exacte : « Et ce même Néron, que la vertu conduit, / Fait enlever Junie au milieu de la nuit ». On remarque

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean RACINE (France) (1639-1699) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Andromaque’’, ‘’Britannicus’’, ‘’Bérénice’’, ‘’Iphigénie’’, ‘’Phèdre’’) Bonne lecture ! Il avait un an quand mourut sa mère, trois ans quand son père à son tour disparut. Ils n'étaient ni riches ni lettrés. Rien ne le disposait mieux que cette entrée difficile sur la scène du monde à en être le

surtout l'empoisennent de Britannicus dont il était jaloux "aemulatione" l9-10, et les stratagèmes atroces auxquels Néron a eu recours: il demanda à la fameuse "Locusta" l12 de l'empoisonner "venenorum" l12. Néron, trouvant le processus inefficace: " verberavit mulierem sua manu" l14. Ainsi, "coegit" l16 Locuste à faire cuire un poison "praesentaneum" l17 puis l'essaya sur un "haedo" l18 ainsi que sur un "porcello" l19. Une fois satisfait, il ordonna de le faire boire à Britannicus qui succomba. Dans sa

ethnographique de Darwin qui suppose, à l'origine de l'humanité une horde primitive. Pour Freud la horde primitive correspond à la société originelle. La horde primitive ou la tribu est un ensemble d’individus dirigés par le père (le mâle dominant) qui a tout pouvoir sur eux (Freud les appelle « frères ») et qui possède seul l’accès aux femmes. Ces individus, qui sont donc des frères, ne pouvant posséder aucune femme, devinrent jaloux du père, se rebellèrent et le tuèrent pour le manger en un repas que Freud appelle

responsabilité de la protection de l’empereur.  Cette  charge,  qui  à  l’apogée  de  l’empire  fera  de  son  titulaire  le  deuxième  personnage de l’état, est loin d’être une sinécure dans un contexte politique où  les  conditions  de  l’accès  et  du  maintien  au  pouvoir  suprême  dépendent  d’un  fragile  équilibre  entre  les  volontés  et  les  intérêts  de  l’armée  d’une  part,  du  sénat d’autre part, équilibre sans cesse menacé par le choc des rivalités et des  ambitions personnelles.  C’est avec cette nom